* SAFRAN et ZODIAC. Suspendue mercredi, la cotation des deux titres doit reprendre à l'ouverture du marché parisien après la présentation des nouvelles modalités de l'offre d'achat de Safran sur Zodiac, simplifiée et réduite à 25 euros par action.

* ROCHE - Une encéphalopathie a été diagnostiquée chez un patient traité à l'Ocrevus, le nouveau traitement de la sclérose en plaques développé par le groupe suisse, ce qui a conduit à l'ouverture d'une enquête, a annoncé Roche mercredi soir, précisant que le patient avait auparavant été traité pendant trois ans au Tysabri de Biogen.

* FIAT CHRYSLER AUTOMOBILES estime qu'une mise à jour logicielle peut permettre de répondre aux inquiétudes des autorités américaines sur les émissions polluantes de ses véhicules diesel, a déclaré un avocat du groupe lors d'une audience mercredi à San Francisco.

* STADA - Le consortium réunissant Shanghai Pharmaceuticals et les groupes de capital-investissement Advent, Permira ne présentera pas de contre-offre sur le groupe allemand face à celle de Bain et Cinven, a-t-on appris de plusieurs sources proches du dossier.

* BNP PARIBAS a conclu un accord avec le Département des services financiers (DFS) de l'Etat de New York prévoyant le paiement d'une amende de 350 millions de dollars pour clore une enquête sur les activités de la banque sur le marché des changes. La banque a précisé que l'amende était couverte par des provisions existantes.

* AIRBUS - Steven Mnuchin, le secrétaire au Trésor des Etats-Unis, a dit mercredi que ses services réexaminaient les licences permettant à Boeing et à son concurrent européen de vendre des avions à l'Iran.

* ZALANDO - Global Founders, holding des investisseurs Oliver, Marc et Alexander Samwer, a cédé 3,78% du capital du groupe allemand de commerce électronique, ramenant sa participation à 4,99%, montre une notification aux autorités boursières publiée mercredi soir.

* TATE & LYLE - Le groupe britannique de produits pour l'industrie agroalimentaire a fait état jeudi d'une hausse de 17% de son chiffre d'affaires annuel et d'un bond de 85% de son bénéfice imposable, grâce à la dépréciation de la livre sterling. Hors effets de change, les profits ont progressé de 20% avec l'augmentation des marges.

(Marc Angrand)