"La Commission a conclu que l'opération envisagée ne soulèverait pas de problème de concurrence du fait de la faiblesse relative des parts de marchés combinées à l'issue de l'opération", lit-on dans un communiqué de l'exécutif européen.

Le rachat de 100% de la filiale pétrolière d'A.P. Moller–Maersk, la plus grosse acquisition opérée par Total depuis celle d'Elf Aquitaine en 2000, vise à renforcer nettement les réserves du groupe français et à accroître sa production en mer du Nord.

(Jacob Gronholt-Pedersen, Véronique Tison pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Total, AP Moller-Maersk