Le mariage entre le français Alstom et l'allemand Siemens, avec lequel Bombardier avait auparavant discuté, fournit des "occasions d'aller de l'avant", a dit Alain Bellemare lors d'une conférence organisée par Goldman Sachs, sans préciser son propos.

"A court terme - un an, deux ans, trois ans - je ne m'attends à aucun changement pour être honnête", a-t-il poursuivi. "Et même ces grandes fusions vont prendre du temps, en supposant qu'elles obtiennent le feu vert."

(Allison Lampert; Bertrand Boucey pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Alstom, Siemens, Bombardier, Inc.