Celgene Corporation (NASDAQ : CELG) a annoncé aujourd’hui la mise à jour des résultats de survie globale issus d’une analyse rétrospective de son étude MPACT (Metastatic Pancreatic Adenocarcinoma Clinical Trial - essai clinique sur l’adénocarcinome pancréatique métastatique) de phase III sur l’ABRAXANE® (particules de paclitaxel liées à des protéines pour suspension injectable) (liée à l’albumine) en combinaison avec la gemcitabine chez des patients jamais traités pour un cancer pancréatique métastatique. Une discussion sur une affiche portant sur l’analyse est programmée pour le dimanche 1er juin à 11h30 HC lors de la 50ème réunion annuelle de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago, dans l’État de l’Illinois.

Les données étendues sont tombées lors du verrouillage final de la base de données le 23 mai 2013 et ont permis une analyse des données matures sur la survie globale concernant 90 % des patients participant à l’étude. L’analyse étendue indiquait que l’ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine démontrait une amélioration de la survie globale du groupe en intention de traiter par rapport à des patients ayant reçu de la gemcitabine seule [(survie globale médiane de 8,7 contre 6,6 mois) (RH 0,72, P<0,0001), une différence de 2,1 mois]. L’analyse a démontré une hausse de survie atteignant jusqu’à 3,5 années dans le groupe sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine (3 % des patients en vie contre 0 % avec la gemcitabine seul). Les taux de survie de 1 et 2 ans étaient cohérents par rapport à l’analyse principale.

L’analyse indiquait également que l’effet du traitement sur la survie globale pour les sous-groupes spécifiés au préalable, qui a été analysé lors de l’essai, restait cohérent à travers l’ensemble des sous-groupes de patients. Plus précisément, les patients dont le statut de performance de Karnofsky (KPS) était de 90 à 100 présentaient une survie globale médiane supérieure avec un traitement sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine par rapport au groupe sous gemcitabine seule [survie globale médiane de 9,7 mois contre 7,9 mois (RH 0,77, P=0,0053)]. Les patients avec un KPS de 70 à 80 conservaient également un avantage [survie globale médiane de 7,6 mois contre 4,3 mois (RH 0,59, P<0,0001)].

Cette analyse actualisée évaluait également les effets prévisionnels de l’antigène CA19-9 et du rapport entre les neutrophiles et les lymphocytes (NLR). Des taux élevés de CA19-9 et de NLR ont tous deux été associés à une survie inférieure. De plus, le traitement sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine semblait réduire l’effet du CA19-9 en tant que facteur prévisionnel médiocre, car une survie globale similaire a été observée quel que soit le niveau de CA19-9.

Lors de l’étude MPACT, les événements indésirables les plus courants de grade ≥ 3 liés au traitement sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine par rapport à la gemcitabine seule étaient : neutropénie, neuropathie périphérique et fatigue. Dans le groupe sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine, 17 % des patients ont souffert d’une neuropathie périphérique de grade 3 (aucun cas de grade 4 ; 54 % présentaient une neuropathie périphérique de tout grade). Sept pour cent des patients dans le groupe sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine ayant été traités pendant la durée moyenne ont présenté une neuropathie de grade 3. Le délai médian d’amélioration de la neuropathie périphérique d’un grade 3 à un grade ≤ 1 était de 29 jours, et 44 % des patients ont repris le traitement sous ABRAXANE. Des cas de fatigue de grade ≥ 3 ont été observés chez 18 % des patients. Les résultats principaux de l’étude MPACT issus de l’analyse spécifiée préalablement depuis septembre 2012 ont été publiés dans le New England Journal of Medicine, dans l’édition du 31 octobre 2013.

Détails de l’affiche de présentation lors de l’ASCO :

  • Extrait : N°4027/Affiche N°46 : Analyses de la survie globale actualisée et de l’effet prévisionnel du rapport entre les neutrophiles et les lymphocytes (NLR) et CA 19-9 issues de l’étude MPACT de phase III sur le nab-paclitaxel (nab-P) en combinaison avec la gemcitabine (Gem) contre la Gem seule pour les patients (pts) atteints d’un cancer pancréatique métastatique. Affiche : dimanche 1er juin, de 8h00 à 11h00 HC, Lieu : E 354b ; discussion sur l’affiche : dimanche 1er juin, de 11h30 à 12h45 HC, Lieu : E Hall D2.
  • Ces résultats proviennent d’une analyse expérimentale rétrospective.

À propos de l’étude MPACT

Lors de l’étude MPACT (Metastatic Pancreatic Adenocarcinoma Clinical Trial), une étude internationale randomisée en ouvert parrainée par Celgene, un total de 861 patients ont été randomisés sur une base 1:1 (431 patients dans le groupe sous ABRAXANE/gemcitabine et 430 patients dans le groupe sous gemcitabine). Le critère d’évaluation principal pour l’étude était la survie globale. Les critères d’évaluation secondaires étaient une survie sans progression de la maladie et un taux de réponse global déterminés par un examen radiologique indépendant. D’autres critères d’évaluation incluaient la survie sans progression de la maladie et un taux de réponse global déterminés par l’investigateur, ainsi que la sécurité et la tolérabilité de la combinaison dans ce groupe de patients.

À propos du cancer du pancréas

Le cancer du pancréas est la quatrième cause majeure de décès dus au cancer aux États-Unis et en Europe. Le pancréas compte deux types de cellules principales : exocrines et endocrines. L’adénocarcinome est un sous-type de tumeurs exocrines qui représente environ 95 % des cancers du pancréas. Dans le cas du cancer du pancréas tous stades confondus, le taux de survie sur cinq ans aux États-Unis est d’environ 6 % et, dans l’UE, de 5,7 %. Dans le cas du cancer pancréatique métastatique, le taux de survie sur cinq ans est d’environ 1 % aux États-Unis.

À propos d’ABRAXANE®

ABRAXANE est une forme de paclitaxel liée à l’albumine fabriquée à l’aide de la technologie brevetée nab®. ABRAXANE est préparé avec de l’albumine, une protéine humaine et exempte de solvants.

En septembre 2013, la FDA (des États-Unis) a approuvé ABRAXANE comme traitement de première intention chez les patients atteints d’un adénocarcinome pancréatique métastatique, en association avec la gemcitabine. En décembre 2013, ABRAXANE en association avec la gemcitabine a été approuvé en Europe comme traitement de première intention chez les patients atteints d’un adénocarcinome pancréatique métastatique.

Informations importantes relatives à la sécurité selon l’étiquette approuvée aux États-Unis

 

AVERTISSEMENT - NEUTROPÉNIE

 

 

Ne pas administrer l’ABRAXANE à des patients présentant une numération des neutrophiles de base inférieure à 1 500 cellules/mm3. Pour surveiller les signes de dépression médullaire, principalement la neutropénie, qui peut être grave et entraîner une infection, il est conseillé de procéder fréquemment à des numérations globulaires du sang périphérique sur tous les patients sous ABRAXANE

 

 

Remarque : une forme d’albumine du paclitaxel peut considérablement affecter les propriétés fonctionnelles d’un médicament par rapport à celles d’un médicament en solution. NE PAS REMPLACER PAR D’AUTRES FORMULATIONS DE PACLITAXEL

 

CONTRE-INDICATIONS

Numération des neutrophiles

  • L’ABRAXANE ne doit pas être utilisé chez des patients qui présentent une numération de neutrophile de base < 1 500 cellules/mm3

Hypersensibilité

  • Les patients qui présentent une réaction d’hypersensibilité grave à l’ABRAXANE ne doivent pas reprendre le médicament

AVERTISSEMENTS ET PRÉCAUTIONS

Effets hématologiques

  • La dépression médullaire (principalement neutropénie) dépend du dosage et d’une toxicité limitant la posologie de l’ABRAXANE. Lors d’une étude clinique, des cas de neutropénie de grade 3 à 4 sont survenus chez 38 % des patients atteints d’un cancer du pancréas
  • Surveiller la myélotoxicité en procédant fréquemment à une numération globulaire complète, notamment avec le dosage, les 1er, 8e et 15e jours, dans le cas du cancer du pancréas
  • Ne pas administrer l’ABRAXANE à des patients présentant une numération absolue des neutrophiles de base inférieure à 1 500 cellules/mm3
  • Chez les patients atteints d’un adénocarcinome du pancréas, suspendre un traitement sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine si la numération absolue des neutrophiles est inférieure à 500 cellules/mm3 ou si les plaquettes sont inférieures à 50 000 cellules/mm3 et reporter le début du cycle suivant si la numération absolue de neutrophiles est inférieure à 1 500 cellules/mm3 ou si la numération plaquettaire est inférieure à 100 000 cellules/mm3 le 1er jour du cycle. Reprendre le traitement avec la réduction appropriée du dosage si cela est recommandé

Système nerveux

  • La neuropathie sensorielle dépend du dosage et de la planification
  • Les cas de neuropathie sensorielle de grade 1 ou 2 ne nécessitent généralement aucune modification du dosage
  • Si une neuropathie sensorielle de grade ≥ 3 se développe, suspendre le traitement sous ABRAXANE jusqu’à une résolution à un grade ≤ 1, suivie d’une réduction du dosage pour tous les cycles d’ABRAXANE suivants

Sepsie

  • Des cas de sepsie se sont produits chez 5 % des patients avec ou sans neutropénie qui ont reçu de l’ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine
  • L’obstruction biliaire ou la présence d’une endoprothèse biliaire constituaient des facteurs de risques de sepsie grave ou fatale
  • Si un patient devient fébrile (quelle que soit la numération absolue de neutrophiles), lancer un traitement sous antibiotiques à large spectre
  • En cas de neutropénie fébrile, interrompre l’ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine jusqu’à la disparition de la fièvre et que la numération absolue de neutrophiles soit ≥1 500 cellules/mm3, puis reprendre le traitement à des niveaux de dosage réduits

Pneumonite

  • Des cas de pneumonite, dont certains ont été fatals, sont survenus chez 4 % des patients sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine
  • Surveiller si les patients présentent des signes et des symptômes et interrompre l’ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine en cours d’évaluation d’une pneumonite présumée
  • Arrêter définitivement le traitement sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine en cas de diagnostic d’une pneumonite

Hypersensibilité

  • Des réactions d’hypersensibilité graves et parfois fatales, notamment des réactions anaphylactiques, ont été signalées
  • Les patients qui présentent une réaction d’hypersensibilité grave à l’ABRAXANE ne doivent pas reprendre ce médicament

Trouble hépatique

  • Du fait qu’il est possible que l’exposition et la toxicité du paclitaxel augmentent en cas de trouble hépatique, l’administration de l’ABRAXANE à des patients atteints d’un trouble hépatique doit être effectuée avec prudence
  • Dans le cas de l’adénocarcinome pancréatique, l’ABRAXANE n’est pas recommandé pour les patients présentant un trouble hépatique modéré à grave

Albumine (humaine)

  • L’ABRAXANE contient de l’albumine (humaine), un dérivé du sang humain

Utilisation en cours de grossesse : catégorie de grossesse D

  • L’ABRAXANE peut nuire au fœtus lorsqu’on l’administre à une femme enceinte
  • Si ce médicament est utilisé en cours de grossesse ou si la patiente tombe enceinte tandis qu’elle est traitée sous ce médicament, il faut l’informer du risque potentiel pour le fœtus
  • Il faut conseiller aux femmes en âge de procréer d’éviter de tomber enceinte lors d’un traitement sous ABRAXANE

Utilisation chez les hommes

  • Il faut conseiller aux hommes de ne pas concevoir un enfant lorsqu’ils sont traités sous ABRAXANE

RÉACTIONS INDÉSIRABLES

  • Parmi les réactions indésirables les plus courantes (≥20 %) observées lors de l’étude de phase III, celles dont l’incidence était supérieure de ≥5 % dans le groupe sous ABRAXANE/gemcitabine par rapport au groupe sous gemcitabine sont : neutropénie (73 %, 58 %), fatigue (59 %, 46 %), neuropathie périphérique (54 %, 13 %), nausées (54 %, 48 %), alopécie (50 %, 5 %), œdème périphérique (46 %, 30 %), diarrhée (44 %, 24 %), pyrexie (41 %, 28 %), vomissements (36 %, 28 %), diminution de l’appétit (36 %, 26 %), éruptions cutanées (30 %, 11 %) et déshydratation (21 %, 11 %)
  • Parmi ces réactions indésirables les plus courantes, celles présentant une incidence supérieure de ≥2 % de toxicité de grade 3 à 4 dans le groupe sous ABRAXANE/gemcitabine par rapport au groupe sous gemcitabine, incluaient respectivement : neutropénie (38 %, 27 %), fatigue (18 %, 9 %), neuropathie périphérique (17 %, 1 %), nausées (6 %, 3 %), diarrhée (6 %, 1 %), pyrexie (3 %, 1 %), vomissements (6 %, 4 %), diminution de l’appétit (5 %, 2 %) et déshydratation (7 %, 2 %)
  • Des cas de thrombocytopénie (de tous grades) ont été signalés chez 74 % des patients dans le groupe sous ABRAXANE/gemcitabine par rapport à 70 % chez les patients du groupe sous gemcitabine
  • Les réactions indésirables graves les plus courantes à l’ABRAXANE (avec une incidence supérieure de ≥1 %) étaient : pyrexie (6 %), déshydratation (5 %), pneumonie (4 %) et vomissements (4 %)
  • Les réactions indésirables les plus courantes entraînant un arrêt définitif de l’ABRAXANE étaient : neuropathie périphérique (8 %), fatigue (4 %) et thrombocytopénie (2 %)
  • Les réactions adverses les plus courantes entraînant une réduction du dosage d’ABRAXANE étaient : neutropénie (10 %) et neuropathie périphérique (6 %)
  • Les réactions indésirables les plus courantes entraînant une suspension ou un report du dosage d’ABRAXANE étaient : neutropénie (16 %), thrombocytopénie (12 %), fatigue (8 %), neuropathie périphérique (15 %), anémie (5 %) et diarrhée (5 %)
  • D’autres réactions indésirables sélectionnées avec une incidence supérieure de ≥5 % pour une toxicité de tout grade dans le groupe sous ABRAXANE/gemcitabine par rapport au groupe sous gemcitabine étaient respectivement : asthénie (19 %, 13 %), mucosite (10 %, 4 %), dysgueusie (16 %, 8 %), céphalée (14 %, 9 %), hypokaliémie (12 %, 7 %), toux (17 %, 7 %), épitaxie (15 %, 3 %), infection urinaire (11 %, 5 %), douleurs dans les extrémités (11 %, 6 %), arthralgie (11 %, 3 %), myalgie (10 %, 4 %) et dépression (12 %, 6 %)
  • D’autres réactions indésirables sélectionnées avec une incidence supérieure de ≥2 % pour une toxicité de grade 3 à 4 dans le groupe sous ABRAXANE/gemcitabine par rapport au groupe sous gemcitabine étaient : thrombocytopénie (13 %, 9 %), asthénie (7 %, 4 %) et hypokaliémie (4 %, 1 %)

Pharmacovigilance post-commercialisation avec l’ABRAXANE et d’autres formulations du paclitaxel

  • Des réactions d’hypersensibilité graves et parfois fatales ont été signalées avec l’ABRAXANE. L’utilisation de l’ABRAXANE chez des patients présentant des antécédents d’hypersensibilité à une injection de paclitaxel ou à l’albumine humaine n’a pas été étudiée
  • Des cas d’insuffisance cardiaque congestive, de dysfonction ventriculaire gauche et de bloc atrio-ventriculaire ont été signalés avec l’ABRAXANE, principalement chez des individus présentant des antécédents cardiaques sous-jacents ou une exposition antérieure à des médicaments cardiotoxiques
  • Des cas d’extravasation de l’ABRAXANE ont été signalés. Compte tenu du risque d’extravasation, il est conseillé de surveiller de près que le site d’infusion d’ABRAXANE ne présente pas d’infiltration en cours d’administration du médicament

INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES

  • Il faut être prudent lors de l’administration de l’ABRAXANE conjointement à des médicaments connus pour inhiber ou induire la CYP2C8 ou la CYP3A4

UTILISATION SUR DES GROUPES SPÉCIFIQUES

Mères allaitantes

  • On ne sait pas si le paclitaxel est excrété dans le lait humain. Du fait que beaucoup de médicaments sont excrétés dans le lait humain et en raison du risque de réactions indésirables graves chez les nourrissons, il faut décider d’arrêter d’allaiter ou d’arrêter le médicament, en tenant compte de l’importance du médicament pour la mère

Pédiatrie

  • La sécurité et l’efficacité de l’ABRAXANE chez les patients en pédiatrie n’ont pas été évaluées

Gériatrie

  • Les cas de diarrhée, de diminution de l’appétit, de déshydratation et d’épitaxie étaient plus fréquents chez les patients de 65 ans et plus par rapport aux autres patients traités sous ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine contre l’adénocarcinome du pancréas

Insuffisance rénale

  • L’utilisation de l’ABRAXANE n’a pas été étudiée chez les patients souffrant d’insuffisance rénale

POSOLOGIE ET ADMINISTRATION

  • Suspendre l’ABRAXANE si la bilirubine ≥1,26 x LSN ou si AST > 10 x LSN
  • Des réductions ou des interruptions du dosage peuvent être nécessaires selon la gravité de la toxicité hématologique, neurologique, cutanée ou gastrointestinale
  • Surveiller les patients de près

Veuillez consulter les informations posologiques complètes, notamment les AVERTISSEMENTS sur l’emballage à l’adresse http://abraxane.com/downloads/Abraxane_PrescribingInformation.pdf

À propos de Celgene

Celgene Corporation, basée à Summit dans l’État du New Jersey, est une société pharmaceutique internationale intégrée qui se consacre principalement à la découverte, au développement et à la commercialisation de thérapies innovantes pour le traitement du cancer et de maladies inflammatoires à travers la régulation des gènes et des protéines. Pour des informations complémentaires, veuillez visiter www.celgene.com. Suivez-nous également sur Twitter @Celgene.

Énoncés prospectifs

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs ne constituant généralement pas des faits historiques. Les énoncés prospectifs peuvent être identifiés par l’utilisation des termes « s’attend à », « anticipe », « pense que », « envisage », « estime », « prévoit », « perspectives », et par l’emploi du futur ou d’expressions similaires. Ces énoncés prospectifs sont fondés sur les prévisions, les estimations, les projections et les hypothèses actuelles de la direction et ne sont valables qu’à la date de leur formulation. Celgene Corporation n’assume aucune obligation d’actualiser ces énoncés prospectifs, que ce soit en raison de nouvelles informations ou d’événements futurs, sauf si la loi l’exige. Les énoncés prospectifs comportent des risques et des incertitudes inhérents, dont la plupart sont difficilement prévisibles et échappent généralement à notre contrôle. Les résultats réels peuvent être sensiblement différents de ceux sous-entendus dans les énoncés prospectifs en raison de l’impact d’un certain nombre de facteurs, notamment ceux évoqués plus en détail dans le rapport annuel de Celgene Corporation sur formulaire 10-K et dans les autres rapports déposés auprès de la Commission américaine de contrôle des opérations boursières (la « SEC »).

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.