Bpifrance, qui détient une participation de 9,4% et 10,8% des droits de vote, et DNCA (7,9% du capital et 7,7% des droits de vote) se sont engagés à voter en faveur de ce plan de sauvetage, détaille CGG dans un communiqué.

"Cette décision (de Bpi) s'inscrit dans le cadre des engagements pris par CGG et certains créanciers dans le cadre de la procédure de sauvegarde, portant notamment sur l'emploi et l'ancrage français du groupe", écrit le groupe.

"CGG a par ailleurs demandé au Tribunal de commerce de prendre acte de ces engagements dans son jugement arrêtant le plan", ajoute-t-il.

CGG a besoin de l'accord des deux tiers des actionnaires présents ou représentés lors de cette assemblée générale afin de mettre en oeuvre son plan, qui doit lui permettre de réduire sa dette et de lever 500 millions de dollars (420 millions d'euros environ) après des années plombées par la réduction drastique des investissements des grandes compagnies pétrolières.

(Bertrand Boucey pour le service français)