Dans la perspective du Climate Finance Day de Casablanca et de la COP22 à Marrakech, Crédit Agricole a décidé de ne plus financer de nouvelles centrales ou extensions de centrales électriques au charbon. Plus aucun nouveau financement ne sera donc accordé au-delà des engagements déjà pris.

Cette mesure étend les engagements pris en mai 2015 puis en septembre 2015, en amont de la COP21, par la banque de ne plus financer les mines de charbon ou les exploitants spécialisés dans cette activité dans le monde ni de nouvelles centrales électriques au charbon dans les pays à haut revenu.

"Les politiques d'engagement du Groupe dans les secteurs sensibles pour l'environnement et le climat continueront d'être adaptées pour répondre au mieux, avec nos clients, aux grands enjeux collectifs", a précisé Crédit Agricole.
Cette annonce enrichit les engagements de Crédit Agricole CIB, banque de financement et d'investissement du groupe, annoncés lors de la COP21, de structurer 60 milliards d'euros de nouveaux financements climat d'ici fin 2018. Entre le 1er janvier et le 30 septembre 2016, cet engagement a d'ores et déjà été réalisé à hauteur de 22,5 milliards d'euros.