EDF annonce un résultat net part du groupe de 2,1 milliards d'euros au titre du premier semestre, en repli de 17,2%, en lien essentiellement avec des dépréciations d'actifs.

Le résultat net courant de l'électricien s'établit à trois milliards d'euros, en hausse de 1,4%, avec 0,3 milliards d'effet positif de l'allongement à 50 ans de la durée d'amortissement du palier REP3 900 MW.

A 8,9 milliards d'euros, l'EBITDA se montre quasi stable (-0,7% de variation organique) dans des conditions de marché difficiles en France et au Royaume-Uni, mais avec des progressions en Italie et dans les autres divisions.

Le groupe affiche une production nucléaire en baisse de 2,5% en France, due notamment à des contrôles supplémentaires entraînant la prolongation de certains arrêts programmés, mais en hausse de 1,8% au Royaume Uni. La production d'EDF Énergies Nouvelles augmente quant à elle de 16%.

EDF maintient ses objectifs financiers pour 2016 d'un EBITDA de 16,3-16,8 milliards d'euros, d'un ratio d'endettement financier net/ EBITDA entre deux et 2,5 fois (contre 2,1 fois au 30 juin, stable sur six mois) et d'un taux de distribution du résultat net courant de 55% à 65%.

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