"C'est tout à fait possible, en tout cas nous y sommes prêts", a déclaré Isabelle Kocher, sur Europe 1, en réponse à une question sur l'hypothèse d'une réduction supplémentaire de la participation de l'Etat.

L'Etat, qui avait déjà cédé 4,1% du capital d'Engie en début d'année, a placé à nouveau 4,1% du capital début septembre pour 1,53 milliard d'euros, ramenant sa participation dans Engie à 24,1%.

(Gilles Guillaume, édité par Jean-Michel Bélot)