Il a ajouté espérer une décision finale sur l'offre de Fincantieri à l'occasion du conseil franco-italien de mercredi.

La décision du gouvernement français de procéder fin juillet à la nationalisation des chantiers navals de Saint-Nazaire face au refus de Fincantieri d'accepter un partage à parité du capital avait jeté un froid entre Paris et Rome mais des sources françaises ont dit lundi croire à la conclusion d'un accord "équilibré" à l'occasion de la rencontre de mercredi à Lyon.

(Bureau de Milan, Véronique Tison pour le service français)