GLOL BIOE : A suivre aujourdhui... GLOBAL BIOENERGIES
Le 21 octobre 2014 à 08:05
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Global Bioenergies a accusé au premier semestre 2014 une perte nette de 3,888 millions d'euros contre 2,937 millions un an plus tôt. Le résultat d'exploitation du groupe de biologie industrielle développant des procédés de production biologique d'oléfines légères s'est établi à -4,043 millions contre - 2,984 millions un an auparavant. Les produits d'exploitation sont ressortis à 1,287 million après 0,576 million au premier semestre 2013.
Global Bioenergies a rappelé que les produits d'exploitation restaient variables d'un semestre sur l'autre tant que des licences d'exploitation, seules à même d'amener du chiffre d'affaires récurrent, n'auront pas été signées.
Les capitaux propres de Global Bioenergies s'élevaient à 19,6 millions d'euros à fin juin. Le groupe n'ayant eu recours à aucune augmentation de capital significative au cours du premier semestre 2014, la baisse des capitaux propres s'explique essentiellement par la perte enregistrée au 30 juin 2014.
La trésorerie de 19,5 millions d'euros au 30 juin 2014 assure une bonne visibilité au groupe.
François-Henri Sahakian, directeur administratif et financier de Global Bioenergies, a déclaré : « Au premier semestre, le barycentre de Global Bioenergies s'est fortement déplacé vers l'industrialisation du procédé Isobutène. Nos yeux sont maintenant tournés vers notre premier pilote industriel ».
Global Bioenergies convertit des ressources végétales en composés utilisés en cosmétique ainsi que dans les domaines de l'énergie et des matériaux. Après avoir lancé en 2021 la première marque de maquillage longue-tenue et naturelle LAST®, Global Bioenergies commercialise à présent l'Isonaturane®12, son ingrédient-clé, aux grands acteurs de la cosmétique afin d'améliorer la naturalité de leurs formulations et leur empreinte environnementale. Son procédé a de nombreuses applications en chimie de spécialité, ainsi que dans le domaine des polymères. A terme, Global Bioenergies porte la perspective de réduire les émissions de CO2 du transport aérien en développant des carburants durables et de contribuer ainsi à limiter le réchauffement climatique