KERING : Un juge US annule une partie de la plainte Kering contre Alibaba
Le 04 août 2016 à 20:23
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NEW YORK, 4 août (Reuters) - Un juge américain a rejeté
jeudi une partie de la plainte pour contrefaçon déposée l'an
dernier par Kering contre le géant chinois du
e-commerce Alibaba Group.
Kevin Castel, juge du tribunal du district du Manhattan, a
rejeté les accusations de racket portées par Gucci, Yves Saint
Laurent et d'autres marques de luxe du groupe français, en
faisant valoir que leur plainte ne comportait pas de faits
étayant ces accusations.
Kering avait déposé sa plainte en mai 2015 en accusant
Alibaba d'offrir une vitrine à la contrefaçon et d'avoir
sciemment rendu possible la commercialisation de produits
contrefaits.
(Nate Raymond à New York, Véronique Tison pour le service
français)
Groupe de Luxe mondial, Kering regroupe et fait grandir un ensemble de Maisons emblématiques dans la Mode, la Maroquinerie et la Joaillerie : Gucci, Saint Laurent, Bottega Veneta, Balenciaga, Alexander McQueen, Brioni, Boucheron, Pomellato, Dodo, Qeelin, Ginori 1735, ainsi que Kering Eyewear et Kering Beauté.
En plaçant la création au coeur de sa stratégie, Kering permet à ses Maisons de repousser leurs limites en termes d'expression créative, tout en façonnant un Luxe durable et responsable. C'est le sens de sa signature : Empowering Imagination.
En 2023, Kering comptait 48,964 collaborateurs et a réalisé un CA de 19,6 MdsEUR.
A fin 2023, le Groupe détenait un réseau de 1 771 magasins gérés en propre, implantés notamment en Europe de l'Ouest (367), en Amérique du Nord (316), au Japon (238) et dans les pays émergents (698).
La répartition géographique du CA est la suivante : Europe de l'Ouest (27,6%), Japon (7,2%), Asie-Pacifique (35%), Amérique du Nord (23%) et autres (7,2%).