November 8, 2011

Sondage CROP en Abitibi-Témiscamingue 87  % DES MALARTICOIS FAVORABLES À LA MINIÈRE OSISKO

(Montréal, le 8 novembre 2011) 87 % des résidents de Malartic ont une bonne opinion d'Osisko, la minière québécoise qui exploite une mine à ciel ouvert dans les limites de leur ville.  Telle est une des conclusions d'un sondage effectué par la firme spécialisée CROP du 26 septembre au 12 octobre dernier.

Six mois après la mise en exploitation de sa mine de Malartic, Osisko a voulu faire le point objectivement sur le degré d'acceptation de sa mine par la population de Malartic et d'Abitibi-Témiscamingue. Elle a donc mandaté CROP pour mener un sondage afin de connaître les perceptions et préoccupations des Malarticois et des Témiscabitibiens vis-à-vis d'Osisko et, de façon plus générale, de l'industrie minière.

CROP a mené le sondage auprès d'un échantillon de 1 010 Témiscabitibiens entre le 26 septembre et le 12 octobre dernier. La marge d'erreur maximale associée à l'échantillon est de 3,1 %, 19 fois sur 20.  Pour les statistiques relatives à la seule ville de Malartic, la marge maximale est de 5,7 %.  Le rapport de CROP est disponible sur le site web d'Osisko, à l'adresse www.osisko.com .

Voici les faits saillants de ce sondage.

Impact positif et appui de la population
Selon le rapport de CROP, « l'industrie minière en général a un impact favorable pour l'ensemble des répondants de la région de l'Abitibi-Témiscamingue. »  En effet 95 % des résidents de l'Abitibi-Témiscamingue estiment que l'industrie minière a un impact très favorable ou plutôt favorable sur leur région.  Par ailleurs :

  • 87 % des résidents de Malartic ont une opinion très bonne (55 %)  ou plutôt bonne (32 %) d'Osisko.
  • 81 % des Malarticois considèrent qu'ils ont maintenant de meilleures perspectives de développement à cause de l'arrivée d'Osisko à Malartic.
  • 92 % des résidents de Malartic considèrent qu'Osisko contribue beaucoup (75 %) ou assez (17 %) à l'économie de Malartic.  Ils soulignent notamment l'intérêt des emplois stables (86 %) et bien payés  (87 %) pour les Malarticois, de même que l'offre de travail aux fournisseurs et sous-traitants locaux (80 %).
  • 89 % des résidents de Malartic considèrent qu'Osisko contribue beaucoup (64 %) ou assez (25 %) à la vie sociale et culturelle de Malartic.
  • 88 % des Malarticois considèrent qu'Osisko a beaucoup (68 %) ou assez (20 %) amélioré leurs équipements collectifs.

« Ce sondage confirme de façon objective ce que nous indiquent nos rapports quotidiens avec nos concitoyens de Malartic, a expliqué la directrice des communications d'Osisko, Hélène Thibault.  Nous bénéficions d'un solide appui des Malarticois, qui reconnaissent en grande majorité notre contribution au développement économique, social et culturel de leur ville.  Le sondage nous indique qu'une minorité reste à convaincre et nous ne ferons jamais l'unanimité.  Mais nous continuerons à poser des gestes nécessaires pour mériter l'appui du plus grand nombre. »

La qualité de vie : impact plutôt positif, mais aussi des zones d'inquiétude
« Globalement, Osisko a un impact positif sur la qualité de vie des citoyens », indique le rapport CROP. 

  • Globalement 67 % des Malarticois estiment que la mine d'Osisko dans leur ville a un impact positif sur la qualité de vie des citoyens. 
  • Pour près de la moitié des Malarticois jugeant l'impact positif, la construction de nouvelles écoles (30 %) et de nouvelles maisons (18 %) est la principale source de cet impact.  Pour 32 % de ceux qui voient un impact positif, celui-ci découle de l'effet d'Osisko sur l'économie.  De nouvelles infrastructures et équipements (routes, hôpital, commerces, parcs, aires de jeu et autres) sont aussi mentionnés par une pluralité de Malarticois interrogés.
  • 21 % des Malarticois estiment que la nouvelle mine a un impact négatif sur leur qualité de vie, principalement en raison du bruit, de la poussière et d'une notion plus générale de pollution.
  • La présence de la mine ne soulève pas d'inquiétude chez 64 % des Malarticois. En revanche 36 % expriment une ou plusieurs inquiétudes, principalement en ce qui a trait à l'impact environnemental, à l'éventuelle fermeture de la mine, à la crainte pour la santé des citoyens, ainsi qu'aux vibrations associées aux sautages.

«  La mine est opérationnelle depuis quelques mois seulement et nous sommes en rodage, a noté Hélène Thibault.  Notre performance est déjà bonne, mais nous allons nous améliorer et réduire l'impact réel et perçu de nos opérations sur la communauté. » 

La relocalisation, généralement bien perçue
L'aménagement de la nouvelle mine a nécessité la relocalisation d'un quartier de Malartic, représentant à peu près 20 % de la population de la ville.  Cette relocalisation « est globalement bien perçue par les citoyens », conclut CROP.

  • Les trois quarts des résidents d'Abitibi-Témiscamingue sont d'avis que cette opération a été effectuée dans le respect des citoyens relocalisés.  Cette proportion est de 79 % à Malartic même.
  • 81 % des Malarticois sont d'avis que les citoyens relocalisés ont un milieu de vie de meilleure qualité qu'auparavant.  Le quart de ceux-ci (soit presque 20 % des Malarticois) basent ce jugement sur leur expérience personnelle de relocalisé(e).  C'est donc dire que la quasi-totalité des personnes relocalisées  
  • Seulement 5 % des Malarticois estiment que la relocalisation a donné un milieu de vie de moins bonne qualité aux gens relocalisés, alors que 9 % croient que la qualité du milieu de vie est identique à ce qu'elle était dans l'ancien quartier.

« La relocalisation a été une opération complexe et, comme tout déménagement, elle a apporté son lot de surprises et de désagréments, a expliqué Hélène Thibault.  Mais une fois l'opération complétée, le sondage confirme que, à quelques exceptions près, les gens sont très satisfaits de leur nouveau milieu de vie. »

La communication d'Osisko
Selon le rapport de CROP, les communications d'Osisko sont bien perçues par les citoyens.  « Osisko écoute, consulte et informe adéquatement. »

  • 82 % des Malarticois connaissent les campagnes d'information d'Osisko, et 81 % trouvent qu'Osisko est beaucoup ou assez à l'écoute de la population de Malartic; 72 % estiment qu'Osisko consulte beaucoup ou assez la population de Malartic. 
  • Plus de la moitié des Malarticois pensent même qu'Osisko consulte la population davantage que les autres minières en Abitibi-Témiscamingue.
  • 85 % des Malarticois affirment qu'Osisko informe très bien ou bien la population de Malartic.

« La communication avec la communauté doit être bilatérale, rappelle Hélène Thibault.  Bien qu'une majorité de Malarticois affirment que nous consultons davantage que les autres minières, nous voyons qu'on peut encore s'améliorer.  Notre performance est bonne, mais elle n'est pas à la hauteur des attentes d'une minorité de Malarticois. »

Osisko et l'environnement
Selon CROP, « Les citoyens sont conscients des efforts mis en œuvre par Osisko pour respecter l'environnement. »  En particulier,

  • Bien que 36 % d'entre eux croient que les mines souterraines respectent davantage l'environnement que les mines à ciel ouvert, 81 % des Malarticois pensent néanmoins qu'Osisko fait beaucoup ou assez d'efforts pour respecter l'environnement.
  • Encore une fois, la poussière et le bruit sont les deux préoccupations majeures des Malarticois.

« Nous sommes extrêmement fiers des résultats de ce sondage, a conclu Sean Roosen, président et chef de la direction de la Corporation Minière Osisko.  Ils confirment le degré élevé d'acceptation de notre projet dans la communauté malarticoise, la première concernée.  Mais ils confirment également que nous devons continuer de nous améliorer à certains égards.  En outre il semble que la conformité aux normes ne suffise pas toujours à rassurer la population.  Autant par l'innovation que par une meilleure communication, il nous incombe de répondre aux préoccupations et inquiétudes exprimées dans ce sondage. Nous allons prendre les moyens pour y arriver. »

À propos d'Osisko
Corporation Minière Osisko exploite la mine d'or Canadian Malartic à Malartic, Québec et poursuit ses activités d'exploration sur diverses propriétés, dont le projet aurifère Hammond Reef dans le nord de l'Ontario.  Osisko emploie plus de 700 personnes.