L'Arabie saoudite devrait être contrainte à terme de limiter son offre de pétrole, selon JPMorgan AM
Bien que certaines de ces dépenses correspondent à des frais exceptionnels liés à la récente transition à la tête du royaume, une grande partie a servi à financer des salaires et des investissements à la suite de la chute des revenus provoquée par la baisse de 50 % des prix du pétrole l'an dernier, indique la société de gestion.
Selon elle, le rythme de diminution des réserves de change soulève la grave question de savoir combien de temps l'Arabie saoudite pourra laisser les cours du pétrole flotter avant de limiter l'offre pour soutenir un environnement de prix plus élevés à l'échelle mondiale.