nnn“Nous sommes fiers de dévoiler aujourd’hui ces trois nouveaux véhicules, fruits de la coopération entre Toyota Motor Europe et PSA Peugeot Citroën. Cet accord nous a permis de développer une nouvelle base véhicule efficiente pour offrir à nos clients dans le monde entier des produits modernes et particulièrement compétitifs dans leur segment” a déclaré Patrice Lucas, Directeur des programmes et de la stratégie chez PSA Peugeot Citroën. nnnnLes véhicules Toyota Proace étaient basés depuis 2013 sur les véhicules de génération existante Peugeot Expert et Citroën Jumpy. L’accord signé en 2012 prévoyait également le développement commun de véhicules de prochaine génération, et que cette collaboration s’étendrait au-delà de 2020.nnLe but de la collaboration pour les deux groupes est de proposer un produit concurrentiel dans les segments des véhicules utilitaires légers de taille moyenne, des Navettes et des Combi, grâce à l'optimisation des coûts de développement et de fabrication. Les véhicules sont produits à l’usine de PSA Peugeot Citroën de Sevelnord, à Valenciennes, en France. nnAOF - EN SAVOIR PLUSnn=/ Les points forts de la valeur /=n- Deuxième constructeur européen derrière Volkswagen, sous les marques Peugeot, Citroën et DS pour le segment luxe, et septième mondial, avec une diversification dans l’équipement automobile sous la marque Faurecia ; n- Management visionnaire sur la problématique des économies d’énergie pour les petites voitures ; n- Fortes positions en Europe (les 2/3 des ventes) ainsi qu’en Chine, premier marché à l’international, et Asie du sud-est (1/4 des ventes) où le groupe va ouvrir une 4ème usine en 2016, visant 1,5 million de véhicules vendus en 2020 ;n- Retour à une meilleure compétitivité industrielle – recul du prix de revient et hausse à 79 % du taux d’utilisation des capacités ;n- Amélioration de la rentabilité de la filiale bancaire PSA Finance grâce aux partenariats en France et au Royaume-Unin- Poursuite du redressement de la rentabilité opérationnelle et de la génération de cash engagés en 2014;n- Stratégie de montée en gamme dans les pays émergents.nn=/ Les points faibles de la valeur /=n- Marché automobile déstabilisé par la crise de confiance provoquée par les mensonges de Volkswagen ;n- Montée des incertitudes en Chine, Ukraine, Russie, Argentine et Brésil ;n- Surcoûts réglementaires dans la zone euro ;n- Recul de l’activité au Moyen-Orient-Afrique et en Inde-Pacifique (6 % des ventes) où le groupe ne vise pas le retour à l’équilibre avant 2017.nn=/ Comment suivre la valeur /=n- Valeur de redressement, ultra-cyclique ;n- 4 objectifs opérationnels : différenciation des marques par un positionnement prix, stratégie produit ciblée au niveau mondial, croissance rentable à l’international, hausse de la compétitivité ;n- Exécution du plan 2014/2018 « Back in the race » : free cash flow positif dès 2016 et marge opérationnelle de 2 % en 2018 pour la division automobile et une cible de 5 % pour 2023, différenciation des 3 marques Peugeot, Citroën et DS, marque premium, croissance offensive en Chine avec un doublement du réseau entre 2013/2014, grâce au partenariat avec DFM, réduction à 22 du nombre de modèles d’où une production plus rationnelle ;n- Réussite du nouveau positionnement de Citroën, qui lance 2 nouveaux modèles, la C4 Cactus et la C1, assortis de modes de commercialisation en leasing, et accueil réservé aux Peugeot 391 et 408 ;n- Retombées de l’accord de coopération avec le groupe Bolloré – véhicule électrique d’auto-partage produit par PSA et distribué par Citroën ;n- Spéculations sur une cession totale ou partielle de la participation dans l’équipementier Faurecia ;n- Rumeurs de retour au CAC 40 ;n- Incertitudes sur la gouvernance et l’unité de la famille Peugeot depuis l’entrée du chinois Dongfeng dans le capital, à hauteur de 14 %.nn=/ Automobiles - Constructeurs /=nLe marché automobile français devrait demeurer stable en 2015. Ces perspectives tranchent avec le rebond du marché européen, pour lequel les ventes ont progressé de 6,5% entre janvier et octobre 2014. D'après l'agence de notation Fitch, le secteur de l'automobile serait confronté à des surcapacités de production en Europe mais aussi au Brésil et en Russie. Les constructeurs ont significativement investi dans ces deux pays pour répondre à la forte croissance des marchés. Ces derniers sont néanmoins très vulnérables aux fluctuations. En décembre 2014, les ventes de véhicules en Russie avaient baissé de 11% depuis le début de l'année. Sur le marché brésilien, les ventes avaient chuté de 10% au premier semestre 2014. Ces deux marchés se retrouvent donc en sous-consommation, mettant à mal les constructeurs.nn