Le président de Qualcomm, Paul Jacobs, a opposé une fin de non-recevoir à de nombreux investisseurs qui l'enjoignaient à se séparer de l'activité "puces électroniques" de l'entreprise. En avril, le fonds spéculatif Jana Partners avait estimé que la division puces de Qualcomm ne valait "pratiquement rien", exhortant la société à s'en défaire. Pragmatique, le président de Qualcomm a néanmoins ajouté que l'entreprise passait constamment en revue ses options et que les choses étaient susceptibles d'évoluer à l'avenir.