Le torchon continue de brûler entre les deux "partenaires", Renault et Nissan. Le constructeur japonais a confirmé ce matin l'information Reuters selon laquelle le français bloquait la réforme de sa gouvernance. La marque au losange, qui détient 43,4% du capital, s'inquiète d'être sous-représentéeau sein des comités de Nissan, dont la création a été décidée à la suite de l'arrestation en novembre dernier de l'ancien patron de Nissan et Renault Carlos Ghosn. Le groupe japonais regrette hautement cette décision qui va selon, lui, à l'encontre des efforts entrepris pour améliorer sa gouvernance.