Société Générale annonce être "entrée dans une phase de discussions plus actives avec les autorités américaines dans le but de mettre un terme à ces deux dossiers dans les prochaines semaines". La banque fait référence à l'enquête initiée par les autorités américaines (US Department of Justice et Commodity Futures Trading Commission) concernant les soumissions IBOR ainsi que l'enquête du DOJ sur les transactions impliquant des contreparties libyennes.

Bien que l'impact financier des litiges ne puisse pas être déterminé avec certitude, Société Générale dispose dans ses comptes au 31 décembre 2017 d'une provision pour litiges d'un montant de 2,3 milliards d'euros conformément aux normes IFRS. Au sein de cette provision, environ 1 milliard en contre-valeur Euro est alloué aux dossiers IBOR et LIA.