Sprint est détenu à environ 85% par le japonais SoftBank Group et T-Mobile est contrôlé à 63% par l'allemand Deutsche Telekom.

L'une des sources a précisé que l'accord envisagé par les deux maisons mère permettrait à Deutsche Telekom de consolider la nouvelle entité dans ses comptes sans pour autant détenir un part majoritaire dans le groupe.

L'entité issue de la fusion aurait plus de 127 millions d'abonnés et serait mieux à même de concurrencer les numéro 1 et 2, à savoir Verizon Communications et AT&T, dans la course aux services 5G.

En novembre, Sprint et T-Mobile avaient mis fin une deuxième fois à des discussions, déclarant alors n'être "pas parvenus à s'entendre sur des conditions mutuellement acceptables."

Personne n'a répondu dans l'immédiat à une demande de commentaire.

(Greg Roumeliotis et Liana B. Baker à New York et Pamela Barbaglia à Londres, avec la contribution de Jessica Toonkel à New York, Benoit Van Overstraeten pour le service français)