Une réunion gouvernementale doit avoir lieu lundi pour décider s'il y a lieu de sanctionner le groupe de médias français au motif qu'il n'a pas respecté l'obligation légale d'informer les services du président du Conseil sur le fait qu'il avait pris le contrôle de fait de l'opérateur télécoms historique italien.

La source a ajouté que l'amende "sera de moins de 300 millions d'euros; on ne peut pas étrangler les entreprises".

Vivendi et TIM se sont abstenus de tout commentaire.

Vivendi, principal actionnaire de TIM avec une participation de 24%, a démenti à plusieurs reprises contrôler TIM.

(Alberto Sisto, Wilfrid Exbrayat pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Vivendi, Telecom Italia