UTC compte décider d'ici fin 2018 s'il est mieux valorisé en tant que conglomérat ou en trois entités distinctes, a dit Greg Hayes.

"La véritable question est de savoir si on parvient à un développement multiplié de manière significative en ayant des entreprises distinctes par rapport au conglomérat? Ce sont des questions très, très difficiles. Je vous dirais que nous regardons toutes ces possibilités", a-t-il déclaré.

Si le groupe devait se scinder, la division aérospatiale afficherait des ventes d'environ 45 à 50 milliards de dollars, les ascenseurs Otis d'environ 12 à 13 milliards et les systèmes d'air conditionné d'environ 17 à 18 milliards.

"C'est une question posée au conseil d'administration. C'est une question que nous continuons d'examiner", a dit Greg Hayes.

(Ankit Ajmera à Bangalore; Bertrand Boucey pour le service français)