Le chiffre d'affaires consolidé de Weborama au titre du premier trimestre 2014 s'est élevé à 5,237 millions d'euros, en diminution de 14 %. En neutralisant la forte dégradation du rouble sur la période et à périmètre constant, l'activité du spécialiste de la publicité en ligne a reculé de 7,6%. « En France, la conquête des partenaires Data se poursuit, mais les progrès accomplis tant du côté des publishers que des annonceurs n'ont pas permis de compenser la chute sensible des revenus publicitaires », a précisé la société.
En Russie, l'activité a été très dynamique. La plateforme RTB (enchère en temps réel) séduit de nombreux annonceurs (Exxon, Red Bull, Unilever, Mazda.) et les solutions Rich Media pour mobile se sont développées (en coopération avec Mail.ru). Les revenus du groupe ont été pénalisés par une forte dégradation du rouble.
Dans les autres pays européens, la transformation en Data Company s'est poursuivie avec une compensation de la perte des revenus publicitaires par la progression des revenus « Data ».
Par ailleurs, la société a ouvert un bureau à Miami, afin d'accompagner ses clients en Amérique latine et d'explorer les développements prometteurs de ces marchés.
L'activité internationale a représenté 66% des revenus du groupe au premier trimestre.
Depuis 1998, Weborama innove dans le domaine de la data. En utilisant le Traitement Automatique du Langage (TAL) et l'analyse sémantique, la société bâtit des taxonomies, des bases de données de profils et des outils technologiques afin de permettre d'améliorer la gestion des contenus digitaux et l'optimisation du marketing digital.
Avec 1 500 millions de profils, et actif dans 30 pays, Weborama est la première data company européenne. Plus de 400 annonceurs, éditeurs et agences font confiance à la société, comme Axa, La Redoute, le groupe Les Echos ou encore le groupe La Poste.