Worldline devait être le grand perdant du rachat de Gemalto par sa maison-mère Atos. Ce rapprochement n’ayant pas lieu après la surenchère de Thales, l’action du spécialiste des paiements et des services transactionnels bondit de 7,11% à 40,70 euros. Invest Securities rappelle que les activités de Gemalto qu’aurait pu récupérer la filiale d’Atos ne collaient en rien avec la stratégie présentée au marché, à savoir d’être le consolidateur des services de paiement en Europe.

Au-delà du rebond qu'il attendait ce matin et qui s'est matérialisé, l'analyste prévient que cet épisode pourrait avoir instillé un doute sur la stratégie de croissance externe de Worldline.

Valeurs citées dans l'article : Worldline, AtoS SE, Gemalto NV, Thales