"Si aucun argent n'arrive d'ici au 9 avril, nous commencerons par payer les salaires et les retraites ici, en Grèce, et ensuite nous demanderons à nos partenaires étrangers d'admettre et de comprendre que nous ne pouvons pas payer à l'échéance les 450 millions d'euros au FMI", a dit Nikos Voutsis au Spiegel Online.

Il a ajouté que la Grèce et ses créanciers devaient se mettre d'accord sur un rééchelonnement afin qu'Athènes ne fasse pas défaut sur sa dette.

"Il y a assez d'argent jusqu'à la mi-avril", a-t-il dit.

(Michelle Martin et Madeline Chambers, Marc Angrand pour le service français)