À La Centrale des SCPI, nous pensons qu'il faut raison garder et que, toutes choses égales par ailleurs, les souscriptions nettes de 2016 en SCPI, soit 5,5 milliards d'euros, ne constituent qu'une faible part des flux financiers épargnés par les ménages Français.
 
En outre, l'encours total des SCPI qui a dépassé 43 milliards d'euros, est inférieur à la capitalisation de la société Air Liquide ou de la société Danone à l'heure où cet article est écrit. Pour mémoire, il s'agit des 10ème et 11ème sociétés françaises en termes de capitalisation.
 
Ce qui a effectivement surpris les observateurs, c'est l'appétence croissante de nos compatriotes pour ce placement en épargne immobilière assistée. Il s'avère en effet que les Français souhaitent diversifier leur patrimoine et qu'ils sont attachés à la pierre. Pourrait-on leur en faire grief ? Non, et ce d'autant moins que la détention de parts de SCPI de rendement a rapporté en moyenne 4,63 % aux associés l'an dernier, sans oublier une revalorisation moyenne du prix des parts de 2,34 %. Effectivement, c'est mieux que la rémunération offerte par l'épargne réglementée et par l'assurance-vie en euros.
 
Au-delà du rendement, il apparaîtrait que le marché immobilier serait sur-valorisé. C'est peut-être vrai pour certaines parties du territoire européen et pour certains biens pris individuellement. D'un point de vue économique, la loi de l'offre et de la demande joue bien évidemment en immobilier et l'afflux de capitaux a conduit à une revalorisation du prix des actifs, donc de celui des parts. Peut-on pour autant parler de bulle ? Pas forcément de manière générale, et les immeubles achetés par les gestionnaires de SCPI ne sont pas destinés à être rapidement cédés mais plutôt à être conservés dans une optique de long terme.
 
Parce que c'est sur cette notion de long terme que repose la philosophie des SCPI. Ce bouclier patrimonial n'est en aucun cas un outil spéculatif. Acheter des parts de SCPI n'a pas le moindre lien avec une mise sur un numéro à la roulette. 
 
Lionel Benhamou, Grégorie Moulinier et Véronique Baron - les trois associés-fondateurs de La Centrale des SCPI – et l’ensemble de leurs équipes sont des spécialistes des marchés immobiliers. Leur métier, c'est la distribution de parts de SCPI. Ils ne font pas confiance au hasard pour conseiller à leurs clients les meilleures SCPI. Ils réalisent au préalable une analyse du patrimoine et des objectifs de chacun. Ils savent que chaque SCPI est unique, tout comme chaque situation patrimoniale. C'est pour cela qu'ils ont déjà déconseillé l'achat de parts de SCPI à des personnes qui ne pouvaient les conserver sur une durée d'au moins huit ans.
 
Parce qu'ils sont indépendants, ils conseillent les SCPI qu'il leur semble opportun de préconiser. Ils n'affirment pas, et n'affirmeront jamais, qu'un portefeuille de parts de SCPI doit représenter 100 % du patrimoine de quelqu'un. En revanche, dans les limites du raisonnable, et dans une optique de diversification de patrimoine, ils sont persuadés du fait que la pierre digitale a toute sa place dans un portefeuille, en vue notamment de préparer sa retraite ou de compléter immédiatement ses revenus.
Acheter des parts de SCPI ce n'est pas miser sur la chance, c'est investir en immobilier. Comme tout marché, l'immobilier est sujet à des cycles et c'est pour cela qu'il convient, ici comme ailleurs, de faire preuve de discernement. La Centrale des SCPI vous apporte certes un conseil gratuit et sans engagement mais c'est vous, et vous seul(e) qui déciderez au final d'investir ou non. 
 
Il est probable que la bonne santé des SCPI suscite des convoitises de la part des thuriféraires d'autres placements. Ce sentiment est humain. Ce qui importe, en réalité, c'est que les investisseurs faisant confiance aux SCPI gagnent de l'argent sur le long terme, c'est-à-dire au bout de huit ans.
 
Alors, ne vous fiez pas au hasard pour choisir les meilleures SCPI, puisque, comme l'a écrit Nietzsche dans son ouvrage Le Gai savoir : "Nul vainqueur ne croit au hasard."
 
Corum, Epargne pierre, Primovie, Vendôme régions, PFO, Epargne foncière … ou une des 174 autres SCPI. Laquelle achèterez-vous pour préparer votre avenir ?
 
 
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AVERTISSEMENT :
L'investissement dans une SCPI n'est pas garanti, tant du point de vue des dividendes perçus que de celui de la préservation du capital. Les SCPI dépendent en effet des fluctuations des marchés immobiliers.
Avant toute décision d'achat de parts de SCPI, faites-vous conseiller par un professionnel afin d'être certain(e) que ce placement correspond à votre profil patrimonial.
Enfin, comme tout investissement immobilier, tenez compte du fait que les SCPI sont des placements de long terme dont la durée de détention minimale ne saurait être inférieure à huit ans.