Les obligations des sociétés non-financières demeurent attrayantes en termes relatifs, souligne Generali Investments Europe dans sa publication Perspectives de Marchés de février 2015. Quoique les obligations d'entreprises ne soient pas incluses dans le programme d'assouplissement quantitatif de la BCE, le gestionnaire s'attend à ce que les investissements privés se reportent sur cette classe d'actifs.

Au-delà de l'apport de liquidités, la solidité des fondamentaux de ces entreprises et les taux extrêmement bas qui caractérisent l'environnement actuel pèseront encore plus sur les spreads des émetteurs non financiers dans les semaines à venir.