Goldman Sachs sur les actions américaines : après le 'Bernanke put' le 'Yellen call'
Mais elle anticipe aussi un contraction du PER du marché, qui devrait passer de 17,1 à 16,3, comme cela est traditionnellement le cas lors des cycles de hausse des taux. Sa baisse pourrait même être plus marquée, avertit Goldman Sachs. La Fed ayant tardé avant de durcir sa politique monétaire, les bonnes surprises à propos de la croissance qui accompagnent habituellement les hausses des taux ont en effet probablement déjà été annoncées.
Goldman Sachs entrevoit également le risque que le 'Bernanke put' soit graduellement remplacé par le 'Yellen call', c'est-à-dire qu'une politique monétaire réagissant agressivement aux mauvaises nouvelles soit remplacée par une politique monétaire réagissant agressivement aux bonnes nouvelles.