Les valeurs à suivre aujourd'hui à la Bourse de Paris

MONCEAU FLEURS
Le groupe Monceau Fleurs a annoncé vendredi la sortie du capital de l'un de ses actionnaires, Laurent Amar, petit-fils du fondateur de l'enseigne, à la suite de divergences. Le premier fleuriste en France, a indiqué dans un communiqué qu'à la suite du désengagement de Laurent Amar, GMF Holding, structure faîtière de Monceau Fleurs, sera contrôlée à 100% par le fonds Perceva. GMF Holding détiendra quant à elle 89,5% du capital de Monceau Fleur.

PIERRE & VACANCES-CENTER PARCS
Le Groupe Pierre & Vacances-Center Parcs a confirmé mercredi soir que les opérations de défrichement du projet Center Parcs en Isère n'étaient pas suspendues. Le groupe de tourisme se pourvoit en cassation auprès du Conseil d'Etat. Selon le groupe, l'interprétation des ordonnances rendues le 23 décembre 2014 par le Tribunal Administratif de Grenoble a prêté à confusion quant à la légitimité de la poursuite des travaux.

PUBLICIS
Publicis Groupe a annoncé mercredi soir l'extension de la période d'offre publique précédemment annoncée en vue de l'acquisition de la totalité des actions en circulation de Sapient Corporation pour un montant en numéraire de 25 dollars par action Sapient. L'expiration de l'offre est maintenant prévue à la fin de la journée, immédiatement après 23h59, heure de New York, le 7 janvier 2015, sous réserve d'une nouvelle extension de l'Offre. Tous les autres termes et conditions de l'offre demeurent inchangés.

RIBER
Riber a enregistré la vente d'un système de recherche Compact 21 à l'Académie des Sciences de Saint Pétersbourg. Cette machine, dont la production a été anticipée par RIBER, sera livrée en 2014 au Centre d'Excellence MBE dirigé par le Professeur Zhores Alferov, Académicien et Prix Nobel de Physique. Le groupe est partenaire de longue date de ce centre de recherche destiné à promouvoir la technologie MBE et former des utilisateurs issus de différents laboratoires dans le monde.

VINCI et EIFFAGE
Le secrétaire d'Etat au transport Alain Vidalies a démenti dimanche l'idée de compenser un prix plus faible des péages des autoroutes pour les véhicules électriques par des hausses importantes pour les véhicules diesel. Plus tôt, le Journal du Dimanche avait annoncé qu'engagés dans un bras de fer depuis le mois de septembre, l'état et les sociétés d'autoroutes travailleraient à un projet de tarification écologique des péages. Négociant avec les sociétés d'autoroutes sur les tarifs des péages, le gouvernement envisagerait de faire payer moins les véhicules propres.