Wall Street s'en tire bien, très bien même, sur une apparente stabilité puisque le S&P500 termine sur une hausse symbolique de +0,05%, et le Dow Jones engrange près de +0,5%, clôturant proche de ses niveaux d'ouverture à 27.665.

Mais la Bourse de New York s'est de nouveau fait peur (pas autant que vendredi dernier), avec un nouveau trou d'air à mi-séance, avec un S&P500 en repli de -0,8% et le Nasdaq qui décrochait de -1,6%, ce qui portait son repli hebdo à environ -5% (plus de 11% de repli par rapport à son zénith du 3 septembre, si proche, mais les sommets paraissent déjà si lointains).

La Nasdaq ne cède finalement que -0,58% à 10.855 mais chute de -4,1% sur la semaine, contre -2,2% pour le 'S&P' et -1,7% pour le 'Dow'.

Wall Street ne s'est guère ému du CPI (inflation US) qui ressort en hausse de +0,4% au mois d'août (contre 0,3% attendu), la hausse des prix s'établit à +1,3% en rythme annuel.
Le secteur le plus perforant fut celui des pétrolières (le baril de WTI finit pourtant inchangé à 37,3$) avec un gain de +1,5%, après une semaine terrible et des écarts moyens de -10% depuis vendredi dernier.

Le Nasdaq a été plombé par AMD -3,3%, Paypal -3,2%, Splunk -3,1%, Salesforces, Citrix et Amazon -1,9%, Apple -1,3%, Nvidia -1,2%.

Quelques rachats sur Moderna +3,1%, Micron +2,7%, CSX +1,8%.

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