Tom Enders a jugé le moment venu d'"envisager sérieusement de regrouper et de fusionner les efforts", estimant qu'"il n'y a pas de place pour trois programmes différents, ni même pour deux".

Ni Airbus et ni BAE Systems n'ont pu être contactés.

(Alistair Smout, Jean-Philippe Lefief pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Airbus SE, BAE Systems