LA PAZ, 11 novembre (Reuters) - Le contesté président bolivien Evo Morales a dénoncé dimanche ce qu'il a décrit comme un mandat d'arrêt policier "illégal" le visant, quelques heures après avoir annoncé qu'il allait démissionner.

Dans un communiqué publié sur Twitter, le dirigeant socialiste a déclaré que son domicile avait été attaqué par des "groupes violents".

Reuters n'a pas pu confirmer dans l'immédiat l'existence d'un mandat d'arrêt visant Morales.

(Daniel Ramos; Jean Terzian pour le service français)