Alexion Pharmaceuticals, Inc. (Nasdaq : ALXN) a annoncé aujourd’hui la présentation par les chercheurs de nouvelles données issues d’une grande étude rétrospective des antécédents naturels de patients souffrant d’hypophosphatasie périnatale et infantile grave, un trouble métabolique héréditaire rare qui peut entraîner l’endommagement progressif de plusieurs organes vitaux, la destruction et la déformation des os, et le décès. L’étude des antécédents naturels détaille la nature dévastatrice de cette maladie, avec une mortalité de 73 % signalée à cinq ans. De plus, des améliorations précoces et durables ont été observées chez les nourrissons, les enfants et les jeunes recevant de l’asfotase alfa, un traitement expérimental contre la HPP, dans le cadre de la phase de prolongation sans insu de deux études cliniques de Phase II en cours. Les données ont été présentées lors de sessions de présentation d’affiche au congrès conjoint des Sociétés académiques de pédiatrie (SAP) et de la Société asiatique pour la recherche pédiatrique, à Vancouver, en Colombie-Britannique, au Canada.

« Les patients souffrant d’hypophosphatasie ont un pronostic sombre, en raison de la détérioration progressive des os et de la faiblesse musculaire, qui peuvent entraîner une altération de la fonction respiratoire, l’invalidité et le décès », explique Martin Mackay, Ph.D., vice-président exécutif et directeur mondial de la Recherche et du Développement chez Alexion. « L’étude des antécédents naturels confirme la mortalité élevée chez les patients atteints de HPP périnatale et infantile qui reçoivent les soins de soutien actuellement disponibles ; ceci illustre le besoin pour un traitement efficace. Les dernières données des études portant sur l’asfotase alfa se fondent sur des résultats précédemment publiés et offrent des données d’innocuité et d’efficacité à long terme supplémentaires chez les nourrissons, les enfants en bas âge et les jeunes atteints de HPP qui ont été traités jusqu’à concurrence de trois ans, et chez lesquels des améliorations précoces et durables de toutes les mesures de résultat ont été observées. »

Étude rétrospective des antécédents naturels chez les patients atteints de HPP périnatale et infantile

Lors de la session de présentation d’affiche d’aujourd’hui, les chercheurs ont fait part que les formes périnatales et infantiles de HPP (c.-à-d. celles se présentant avant l’âge de 6 mois) sont associées à des taux de mortalité élevés, avec un taux de mortalité global de 73 % à 5 ans. Ces conclusions ont été dérivées d’une grande étude multicentrique, multinationale, rétrospective des antécédents naturels où les chercheurs ont étudié les dossiers médicaux des patients (vivants et décédés) souffrant d’une HPP périnatale et infantile grave documentée, âgés de 5 ans ou moins au moment du diagnostic avec apparition des symptômes avant l’âge de 6 mois.1

Les résultats ont montré que :

  • Parmi les 48 patients inscrits à l’étude, 13 (27 %) étaient vivants au moment de la collecte des données et 35 (73 %) étaient décédés.
  • Tous les patients testés avaient un faible taux de phosphatase alcaline sérique (ALP) documenté avant l’inscription, indiquant une HPP.
  • La majorité des patients (58 %) sont décédés dans l’année suivant la naissance. Le temps médian jusqu’au décès était de 8,9 mois (intervalle de confiance [IC] à 95 % : 5,1, 14,1).
  • Une déformation de la cage thoracique (91 %), le retard de croissance (76 %), la craniosténose (fermeture précoce d’une partie ou de la totalité des sutures du crâne du nourrisson, 61 %) et la néphrocalcinose (calculs rénaux, 25 %) ont été signalés chez la majorité des patients pour lesquels des données étaient disponibles.
  • Un système respiratoire compromis, particulièrement nécessitant une ventilation mécanique par intubation ou trachéostomie, était associé à des résultats défavorables, y compris le décès.
  • Les convulsions répondant au traitement par vitamine B6 et l’insuffisance respiratoire étaient associées à une forte mortalité (100 %).

« Cette étude rétrospective des antécédents naturels des nourrissons atteints de HPP souligne la nature potentiellement mortelle de la forme grave de ce trouble », ajoute Michael P. Whyte, M.D., directeur médico-scientifique du Centre pour les maladies métaboliques osseuses et la recherche moléculaire de l’Hôpital Shriners pour enfants, à St Louis, dans l’État du Missouri. « Nos constatations confirment que la présence de convulsions et d’insuffisance respiratoire indique une mortalité élevée. Les patients qui ont besoin d’un soutien respiratoire, surtout d’une ventilation invasive par intubation ou par trachéostomie, ont des résultats particulièrement sombres, y compris le décès. Nos constatations sont conformes à l’expérience clinique qui montre que la déformation de la cage thoracique qui nuit à la fonction respiratoire de ces jeunes patients entraîne souvent une pneumonie et le décès. »

L’asfotase alfa chez les nourrissons et les enfants en bas âge : Résultats de l’étude de prolongation

Dans une affiche présentée le 4 mai, le Dr Whyte et ses collègues ont expliqué que le traitement par asfotase alfa pendant un maximum de trois ans avait entraîné une amélioration rapide et durable de la minéralisation squelettique et de l’état respiratoire des nourrissons et des enfants en bas âge atteints de HPP potentiellement mortelle.2 Les résultats proviennent de la phase de prolongation d’une étude multinationale sans insu de phase II, déjà publiée, lors de laquelle de l’asfotase alfa était administré jusqu’à concurrence de 48 semaines avec une amélioration de la minéralisation squelettique, de l’état respiratoire, de la fonction physique et du développement cognitif ; jusqu’à 90 % des patients présentaient une importante guérison squelettique à 48 semaines.3 Les résultats de la phase de prolongation actuelle démontrent une efficacité durable à l’échelle de tous ces paramètres à 3 ans. Onze patients ont participé à la phase initiale de l’étude. Un patient a été retiré après la dose intraveineuse initiale en raison d’une réaction associée à l’injection. Parmi les 10 patients qui ont poursuivi le traitement, 9 patients ont survécu (l’unique décès de patient était imputable à une sepsie et le chercheur a jugé qu’elle n’était pas associée au traitement à l’étude) jusqu’à la dernière évaluation de l’essai de prolongation, pour un taux de survie à 3 ans d’environ 90 %.2Les résultats de survie sont contraires aux études précédentes dans des populations de patients similaires, où les taux de mortalité signalés étaient supérieurs à 50 %.1,4

Le principal critère d’efficacité était un changement des manifestations squelettiques de la HPP, comme évalué par radiographie. La réponse au traitement était définie comme une amélioration moyenne de deux point ou plus, dans un score composé de la poitrine, des poignets et des genoux, comme noté par un panel de trois radiologues indépendants avec insu au point de traitement, sur une échelle à sept gradations, connue sous le nom d’échelle d’impression globale de changement radiographique (RGI-C), où les scores varient de -3 (aggravation sévère du rachitisme) à +3 (guérison complète ou quasi complète du rachitisme). À l’aide de l’échelle RGI-C, un répondant était défini comme étant un patient qui avait un score moyen de +2 ou supérieur à un point quelconque. Les changements squelettiques ont également été évalués à l’aide de l’échelle de sévérité du rachitisme à sept gradations (RSS), qui mesure les anomalies squelettiques aux poignets et aux genoux, avec des scores variant de 10 (rachitisme grave) 0 (absence de rachitisme). Les chercheurs ont fait rapport des résultats suivants :2

  • Amélioration significative du rachitisme signalé dès 3 mois (p = 0,03). Améliorations continues et maintenues sur 3 ans (p = 0,008).
  • À 6 mois, l’analyse du critère principal, le score RGI-C médian, avait significativement augmenté (+2, p = 0,004).
  • Pour les huit patients ayant des données évaluables à trois ans, le traitement par asfotase alfa était associé à une amélioration durable par rapport à la référence du score RGI-C médian (+2,50 ; p = 0,008) et de l’évolution médiane du score RSS (-6,25 ; p = 0,016), tous deux des marqueurs de la santé osseuse.
  • Huit des dix participants inscrits à la phase de prolongation de l’étude ont nécessité un soutien respiratoire à un moment quelconque de l’étude. Trois patients recevaient toujours un soutien respiratoire au moment de leur inscription à la phase de prolongation de l’étude. Un seul patient continuait de recevoir un soutien respiratoire (oxygène supplémentaire) lors de la dernière évaluation de l’essai de prolongation (3,5 années).

« Nos résultats de la phase de prolongation de cette étude soutiennent les résultats que nous avons publiés et montrent que les nourrissons et les enfants en bas âge atteints de HPP potentiellement mortelle et traités par l’asfotase alfa affichent une amélioration précoce de la minéralisation squelettique qui était durable sur trois ans », souligne le Dr Whyte. « Aujourd’hui, tous sauf un des patients ne nécessitent aucun soutien respiratoire et la survie s’est établie à 90 %. En revanche, notre étude rétrospective des antécédents naturels d’une population de patients similaire montre des taux de mortalité supérieurs à 50 %. »

L’asfotase alfa était bien tolérée pendant l’étude de prolongation. Les événements indésirables (EI) les plus courants étaient les réactions faibles ou modérées au site d’injection chez six patients et une infection des voies respiratoires supérieures chez six patients. Trois EI graves ont été signalés comme potentiellement associés au traitement : la craniosténose, surdité de transmission et l’hépatite chronique bénigne. Le rapport d’hépatite s’est fait chez un patient qui prenait un médicament contre l’asthme qui a été arrêté; les tests d’exploration fonctionnelle hépatique se situaient dans les limites normales lors de la dernière évaluation. La craniosténose et la surdité de transmission ont été signalées chez le même patient et ces résultats avaient déjà été décrits comme étant associés à HPP.2

L’asfotase alfa chez les jeunes : Résultats de l’étude de prolongation

Lors d’une autre affiche présentée aujourd’hui, les chercheurs ont montré que les jeunes compromis par le rachitisme et une fonction physique entravée par la HPP présentaient une amélioration significative précoce et durable de la santé osseuse, de la fonction motrice générale, de la force, de l’agilité et de l’endurance avec un traitement continu par l’asfotase alfa. Les données venaient de la phase de prolongation d’une étude randomisée, multinationale, sans insu de 6 mois de l’asfotase alfa chez les patients âgés de 5 à 12 ans. Douze des 13 patients (un s’est retiré pour une chirurgie élective) ont participé à l’étude de prolongation et ont reçu au moins 3 ans de traitement au total. Seize patients non traités du même âge souffrant de HPP ont servi de témoins historiques (TH), dont 15 qui avaient des radiographiques notées sur une période de deux ans.5

Comparativement aux patients témoins historiques, les patients de l’essai traités par asfotase alfa présentaient des améliorations significatives de la gravité de leur rachitisme (RGI-C) à 6 mois (critère principal, p = 0,0007), qui se sont maintenues à 2 ans (p = 0,0011). Plus précisément, le score RGI-C médian des patients témoins historiques était de 0 à 6 mois et à 2 ans, indiquant une absence de changement de la santé osseuse, tandis que le score RGI-C chez les patients traités par asfotase alfa était de +2 aux deux points chronologiques, indiquant une importante guérison osseuse. Comparativement à la référence, les patients traités par asfotase alfa présentaient une amélioration significative et précoce (6 semaines, p< 0,0001) de la santé osseuse, qui s’est maintenue sur 3 ans de traitement ( p = 0,0078).5

L’amélioration de la santé osseuse était accompagnée d’une amélioration significative de la fonction physique :5

  • La distance médiane parcourue en six minutes à pied a augmenté de 242 mètres, de 350 mètres à la référence à 592 mètres après 3 ans de traitement par asfotase alfa. En général, la distance médiane parcourue en 6 minutes s’est améliorée de 61 % prévue pour des enfants sains de sexe, d’âge et de taille comparables à la référence à 85 % prévue à 6 mois et 86 % prévue à 3 ans (p ≤ 0,0001 à tous les points chronologiques) de traitement, indiquant une normalisation précoce et durable du déplacement de ces patients, qui avaient tous une démarche ou une manière de marcher ou de courir anormale à la référence. 6
  • La force et l’agilité, mesurées ensemble à partir des sous-tests de vitesse de course/agilité et de force du Test Bruininks-Oseretsky Test of Motor Proficiency, Second Edition (BOT-2), se sont également améliorées de bien en deçà de la normale à la référence à des améliorations significatives à 3 mois (p = 0,004) et à l’atteinte de scores normaux après 3 ans de traitement par asfotase alfa (p< 0,0001).

« Les enfants souffrant de rachitisme, de difficulté à marcher et de faiblesse musculaire associés à la HPP ont vu des améliorations précoces et durables de la minéralisation osseuse avec des gains significatifs de la fonction physique sur 3 ans de traitement par asfotase alfa », a commenté la chercheuse principale, Katherine L. Madson, M.D., Ph.D., endocrinologue pédiatrique au Centre pour les maladies métaboliques osseuses et la recherche moléculaire de l’Hôpital Shriners pour enfants, à St Louis. « Bien que ces enfants se soient inscrits à l’étude avec de graves déficiences de la fonction motrice générale, après trois ans leur distance parcourue à pied en six minutes a augmenté de près de 250 mètres, environ 2 terrains et demi de football américain. Ces améliorations de la fonction motrice générale et de l’endurance étaient significatives et ont permis à ces enfants souffrant de HPP de progresser de bien en deçà de la normale de la fonction physique à la plage normale, dans plusieurs cas. »

L’asfotase alfa était bien tolérée pendant l’étude. Les EI les plus courants étaient les réactions légères à modérées au site d’injection, qui sont survenues chez tous les patients. Il n’y a eu aucun décès, aucun EI grave et aucun EI nécessitant l’abandon de l’étude pendant les 3 années de traitement de cette étude chez les jeunes.5

À propos de l’hypophosphatasie (HPP)

L’hypophosphatasie est une maladie métabolique, chronique, héréditaire, rare et potentiellement mortelle qui se caractérise par une minéralisation anormale du squelette qui peut entraîner la destruction ou la difformité des os, une grave faiblesse musculaire, des convulsions et l’insuffisance respiratoire.8-11

La HPP est causée par des mutations qui désactivent l’ALPL, le gène qui code l’enzyme phosphatase alcaline non tissu-spécifique (TNSALP).12

La carence héréditaire de la HPP peut toucher les gens de tous les âges.8 La HPP est traditionnellement classée selon l’âge du patient lors de l’apparition des symptômes de la maladie. Les patients souffrant de HPP périnatale présentent les premiers signes de la maladie pendant la gestation ou à la naissance. Cette forme de la maladie entraîne souvent la mort au moment de la naissance, ou peu de temps après. Les patients qui survivent à la naissance souffrent souvent de rachitisme grave et d’une fonction respiratoire gravement compromise.13

Les patients souffrant de HPP infantile présentent les premiers signes ou symptômes de HPP avant leurs 6 mois. Ceux souffrant de cette forme de la maladie développent un rachitisme, des anomalies squelettiques, des fractures, un retard de croissance et l’insuffisance respiratoire. Le pronostic de ces patients peut être sombre, avec une forte mortalité.8

Les patients atteints de HPP juvénile présentent les premiers signes ou symptômes de HPP après 6 mois et avant 18 ans. Ceux atteints cette forme de la maladie sont à risque pour le rachitisme, les complications squelettiques, comme les fractures, et peuvent présenter un retard du développement moteur selon l’âge en raison de l’hypominéralisation du squelette et de la faiblesse musculaire, qui peut nécessiter une aide pour marcher; certains ne marcheront jamais.8

À propos de l’asfotase alfa

L’asfotase alfa est le premier traitement enzymatique substitutif ciblé expérimental et hautement novateur de sa classe. L’asfotase alfa a été conçu en fonction de la cause sous-jacente de la HAPP en normalisant le processus métabolique héréditaire défectueux et en prévenant ou en faisant régresser les complications graves et souvent létales causées par les dérèglements permanents du métabolisme minéral.

Au mois d’avril 2014, Alexion a annoncé que la Société avait lancé le processus de soumission de demande d’une licence de produit biologique (Biologics License Application - BLA) visant l’asfotase alfa pour le traitement des patients atteints de HPP. En 2013, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accordé la désignation de traitement révolutionnaire (Breakthrough Therapy) à l’asfotase alfa pour la HPP pédiatrique, définie comme étant les patients présentant les premiers symptômes de HPP avant l’âge de 18 ans, y compris les formes périnatale, infantile et juvénile de la maladie. Selon la FDA, la désignation de traitement révolutionnaire est utilisée pour accélérer le développement d’un médicament destiné au traitement d’une maladie grave ou potentiellement mortelle lorsque les preuves cliniques préliminaires indiquent que le médicament pourrait être une amélioration nettement meilleure par rapport aux traitements existants pour un ou plus des critères cliniquement significatifs. La désignation de traitement révolutionnaire fait partie de la loi FDA Safety and Innovation Act (FDASIA) de 2012.14

À propos d'Alexion

Alexion est une société biopharmaceutique qui se consacre au service des patients atteints de troubles graves et rares à travers l’innovation, le développement et la commercialisation de produits thérapeutiques révolutionnaires. Alexion est le leader mondial dans l’inhibition du complément et elle a développé et commercialise le Soliris® (éculizumab) en tant que traitement destiné aux patients atteints d’hémoglobinurie paroxysmique nocturne (HPN) et du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa), deux troubles invalidants extrêmement rares et potentiellement mortels provenant de l’activation chronique incontrôlée du complément. À ce jour, Soliris est approuvé dans près de 50 pays pour le traitement de la PNH et du SHUa. Alexion évalue actuellement d’autres indications potentielles du Soliris dans d’autres troubles graves et extrêmement rares en plus de la HPN et du SHUa et elle développe d’autres produits candidats hautement biotechnologiques et innovants, dont l’asfotase alfa, à travers plusieurs secteurs thérapeutiques. Le présent communiqué de presse et des informations complémentaires sur Alexion se trouvent à l’adresse : www.alexionpharma.com.

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, y compris des déclarations concernant les avantages médicaux potentiels de l’asfotase alfa pour le traitement de l’hypophosphatasie (HPP). Ces énoncés prospectifs sont assujettis à des facteurs susceptibles d’entraîner des écarts entre les résultats et les plans d’Alexion et ses attentes, y compris, par exemple, les décisions des organismes de réglementation relatives à l’approbation ou la restriction considérablement de la commercialisation de l’asfotase alfa pour la HPP, les retards dans la mise en œuvre d’une capacité de fabrication satisfaisante et d’une infrastructure commerciale pour l’asfotase alfa pour la HPP, la possibilité que les résultats des études cliniques ne soient pas indicateurs de l’innocuité et de l’efficacité de l’asfotase alfa pour la HPP sur une plus grande population de patients ou chez une population différente, le risque que des payeurs tiers (y compris les organismes gouvernementaux) ne remboursent pas l’utilisation de l’asfotase alfa pour la HPP selon des termes acceptables ou ne les remboursent pas du tout, le risque que les estimations concernant le nombre de patients prenant de l’asfotase alfa contre la HPP soient inexactes et que les observations concernant les antécédents naturels des patients avec l’asfotase alfa pour la HPP soient inexactes et divers autres risques indiqués de temps à autre dans les documents déposés par Alexion auprès de la Securities and Exchange Commission, y compris, mais ne s’y limitant pas, les risques présentés dans le rapport trimestriel sur le formulaire 10-Q d’Alexion pour l’exercice ayant pris fin le 31 mars 2014. Alexion ne s’engage aucunement à mettre à jour ces énoncés prospectifs pour refléter les événements ou les circonstances se produisant après la date de ce communiqué, sauf si la loi l’exige.

[ALXN-G]

Références

1.     Whyte MP, Leung E, Wilcox W, et al. Hypophosphatasia: a retrospective natural history study of the severe perinatal and infantile forms. Affiche présentée lors du congrés conjoint 2014 des Sociétés académiques de pédiatrie (SAP) et de la Société asiatique pour la recherche pédiatrique, à Vancouver, C.-B., Canada, 5 mai 2014. Résumé 752416.
2. Whyte MP, Simmons JH, Bishop N, et al. Asfotase alfa: sustained efficacy and tolerability in infants and young children with life-threatening hypophosphatasia. Affiche présentée lors du congrés conjoint 2014 des Sociétés académiques de pédiatrie (SAP) et de la Société asiatique pour la recherche pédiatrique, à Vancouver, C.-B., Canada, 4 mai 2014. Résumé 752396.
3. Whyte MP, Greenberg CR, Salman NJ, et al. Enzyme-replacement therapy in life-threatening hypophosphatasia. N Engl J Med. 2012;366(10):904-13.
4. Rockman-Greenberg C. Hypophosphatasia. Pediatr Endocrinol Rev. 2013;10(Suppl 2):380-8.
5. Madson KL, Rockman-Greenberg C, Whyte MP, Melian A, Moseley S, Odrljin T. Asfotase alfa: long-term safety and efficacy in children with hypophosphatasia. Affiche présentée lors du congrés conjoint 2014 des Sociétés académiques de pédiatrie (SAP) et de la Société asiatique pour la recherche pédiatrique, à Vancouver, C.-B., Canada, 4 mai 2014. Résumé 752577.
6. Henricson E, Abresch R, Han JJ, et al. Percent-predicted 6-minute walk distance in duchenne muscular dystrophy to account for maturational influences. PLoS Curr. 2012; 25 janv. [révisé 2 févr. 2012]; 4:RRN1297.
7. Deitz JC, Kartin D, Kopp K. Review of the Bruininks-Oseretsky Test of Motor Proficiency, Second Edition (BOT-2). Phys Occup Ther Pediatr 2007;27(4) 87-102.
8. Whyte MP. Hypophosphatasia. In: Glorieux FH, Jueppner H, Pettifor J, eds. Pediatric bone: biology and diseases. 3rd ed. San Diego, CA: Academic Press, 2012: 771-94.
9. Seshia SS, Derbyshire G, Haworth JC, Hoogstraten J. Myopathy with Hypophosphatasia. Arch Dis Child. 1990; 65(1):130-1.
10. Whyte MP. Hypophosphatasia: Nature's window on alkaline phosphatase function in humans. In: Principles of Bone Biology, 3rd Ed. Part II, Chapter 73: Molecular Mechanisms of Metabolic Bone Disease, Academic Press, 2008: 1573-98.
11. Silver MM, Vilos GA, Milne KJ. Pulmonary hypoplasia in neonatal hypophosphatasia. Pediatr Pathol. 1998; 8:483-93.
12. Whyte MP. Hypophosphatasia. In: Thakker RV, Whyte MP, Eisman J, Igarashi T, eds. Genetics of Bone Biology and Skeletal Disease. Amsterdam: Elsevier/Academic Press; 2013.
13. Whyte MP. Hypophosphatasia and the extracellular metabolism of inorganic pyrophosphate: Clinical and laboratory aspects. Crit Rev Clin Lab Sci. 1991; 23:175-195.
14.

Public Law 112-144. U.S. Government Printing Office, 9 juillet 2012. http://www.gpo.gov/fdsys/pkg/PLAW-112publ144/pdf/PLAW-112publ144.pdf.

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