La Commission européenne (CE) avait ouvert en juillet une enquête approfondie sur cette opération de 4,4 milliards de livres (6,3 milliards d'euros).
Ball a dit la semaine dernière qu'il comptait boucler la fusion au premier semestre, à la suite de l'acceptation conditionnelle de l'exécutif européen.
Les deux groupes ont proposé de vendre 12 sites en Europe, dont quatre en Allemagne et trois en Grande-Bretagne. Ball vend en outre huit sites aux Etats-Unis et plusieurs au Brésil, pour les mêmes motifs.
Ball et Rexam et les candidats potentiels à la reprise des actifs se sont refusé à tout commentaire ou n'étaient pas disponibles dans l'immédiat.
(Arno Schütze, avec Greg Roumeliotis, Wilfrid Exbrayat pour le service français)