Bank of America : déclare un résultat net de 4,5 milliards USD, soit 0,37 USD par action diluée pour le troisième trimestre 2015

Bank of America Corporation a déclaré aujourd'hui un revenu net de 4,5 milliards USD, soit 0,37 USD par action diluée, pour le troisième trimestre 2015, par rapport à une perte nette de 232 millions USD, soit 0,04 USD par action diluée, pour la période correspondante de l'exercice précédent.

« Nous avons constaté de solides résultats ce trimestre en continuant à exécuter notre stratégie à long terme », a annoncé le président-directeur général, Brian Moynihan. « Les principaux déterminants de notre entreprise -- la collecte de dépôts et les prêts à nos clients d'affaires et aux particuliers -- ont pris la bonne direction ce trimestre et les résultats de nos opérations au nom des clients sont restés relativement stables dans le contexte des marchés financiers difficiles. Notre approche équilibrée envers le service fourni à nos clients est en bonne voie alors que l'économie continue de s'améliorer. »

« Nos résultats de ce trimestre reflètent nos efforts continus visant à améliorer notre levier d'exploitation en continuant d'investir dans notre entreprise », a déclaré le directeur financier, Paul Donofrio. « Nous avons porté le capital et la liquidité à des niveaux record et augmenté le total des prêts pour le deuxième trimestre consécutif, tout en continuant d'opérer dans notre cadre de gestion des risques. »

^{1 La base équivalente pleinement imposable (EPI) de la société est une mesure financière non définie par les PCGR. Pour plus d'informations, se reporter à la note en fin de texte G. Le revenu net d'intérêts sur une base PCGR se chiffrait à 9,5 milliards USD, 10,5 milliards USD et 10,2 milliards USD pour les trois mois clos les  30 septembre 2015,  30 juin 2015 et  30 septembre 2014, respectivement. Le chiffre d'affaires total, hors intérêts débiteurs, selon les PCGR, se chiffrait à 20,7 milliards USD, 22,1 milliards USD et 21,2 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015,  30 juin 2015 et 30 septembre  2014, respectivement.
2 Les charges autres que d'intérêts comprennent des frais de litiges de 231 millions USD, 175 millions USD et 6,0 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement.}

Le chiffre d’affaires, net des charges d’intérêts, sur une base EPI, s'élevait à 20,9 milliards USD^(G), en baisse de 521 millions USD par rapport au troisième trimestre 2014. Ceci était largement attribuable à une hausse des ajustements négatifs liés aux marché sur le portefeuille de titres de créance de la société en réponse à la baisse des taux d'intérêt à long terme, en partie compensée par une hausse des ajustements de l’évaluation des débits (DVA) nets positifs par rapport au trimestre de l'exercice précédent. Le trimestre actuel incluait 597 millions USD d'ajustements négatifs liés au marché et 313 millions USD de DVA positifs nets.

Le revenu net d'intérêts sur une base EPI s'élevait à 9,7 milliards USD au troisième trimestre 2015, en baisse de 7 %, soit 702 millions USD, par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent. En excluant l'impact des ajustements liés au marché, le revenu net d'intérêts s'élevait à 10,3 milliards USD au troisième trimestre 2015, par rapport à 10,0 milliards USD au trimestre précédent et à 10,5 milliards USD au trimestre correspondant précédent^(G). Le déclin par rapport au troisième trimestre 2014 était attribuable à une baisse des soldes de prêts à la consommation et à une baisse des rendements, en partie compensées par une croissance des prêts commerciaux et une baisse des soldes de dettes à long terme.

Le revenu autre que d'intérêts était en hausse de 2 %, soit 181 millions USD, par rapport au trimestre correspondant de l'année précédente, à 11,2 milliards USD. Les résultats du trimestre le plus récent reflétaient des augmentations en glissement annuel du revenu des opérations bancaires d'hypothèque et des cartes, une hausse des honoraires de gestion d'actifs et d'autres revenus, en partie contrebalancés par une baisse du chiffre d'affaires des marchés financiers et une baisse du revenu des placements en actions.

La provision pour créances irrécouvrables a augmenté de 170 millions USD par rapport au troisième trimestre 2014, pour atteindre 806 millions USD. Les créances irrécouvrables nettes s'élevaient à 932 millions USD au troisième trimestre 2015, par rapport à 1,1 milliard USD au deuxième trimestre 2015 et 1,0 milliard USD au troisième trimestre 2014. Le ratio des créances irrécouvrables nettes s'est amélioré pour atteindre 0,42 % au troisième trimestre 2015 par rapport à 0,46 % au trimestre correspondant de l'exercice précédent. La baisse des créances irrécouvrables nettes était essentiellement attribuable à une amélioration des tendances des portefeuilles de prêts aux particuliers, en partie contrebalancée par une hausse des créances irrécouvrables commerciales. Au troisième trimestre 2015, la libération de réserves nette s'élevait à 126 millions USD, par rapport à une libération de réserves nette de 407 millions USD au troisième trimestre 2014.

Les charges autres que d'intérêts ont baissé de 6,3 milliards USD, soit 31 % par rapport au troisième trimestre 2014, à 13,8 milliards USD. À l'exclusion des frais de litiges de 231 millions USD au troisième trimestre 2015 et de 6,0 milliards USD au trimestre correspondant de l'exercice précédent, les charges autres que d'intérêts ont baissé de 4 % comparé au trimestre de l'exercice précédent à 13,6 milliards USD, reflétant une baisse des charges du segment Actifs patrimoniaux et Gestion hypothécaire ^(A). Des efforts continus de gestion des coûts ont permis à la société de continuer à investir dans des opportunités de croissance tout en maintenant les dépenses relativement stables comparé au trimestre précédent.

Le taux d'imposition effectif était de 26 % pour le troisième trimestre 2015, y compris les bénéfices liés à la restructuration de certaines filiales non américaines.

Résultats par segment d’activité

La société déclare les résultats en se servant de cinq segments d’activité :  Services bancaires aux particuliers, Gestion mondiale de patrimoine et d'investissements (GWIM), Services bancaires mondiaux, Marchés internationaux, et Actifs patrimoniaux & Gestion hypothécaire (LAS), avec les opérations restantes qui sont enregistrées dans Autres postes.

^{1 Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, se reporter aux pages 22 à 24 du présent communiqué de presse.}

Faits saillants de l'exploitation

• Les soldes des dépôts moyens ont augmenté de 34,3 milliards USD, soit 7 % par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent, pour atteindre 548,9 milliards USD.
• La société a émis 13,7 milliards USD de prêts hypothécaires résidentiels de premier rang et 3,1 milliards USD de prêts sur valeur domiciliaire au troisième trimestre 2015, par rapport à 11,7 milliards USD et 3,2 milliards USD, respectivement, au trimestre correspondant de l'exercice précédent.
• Les actifs de courtage clients ont augmenté de 8,7 milliards USD, soit 8 % par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent pour atteindre 117,2 milliards USD, essentiellement en réponse à des flux de comptes solides, en partie contrebalancés par une baisse des évaluations boursières.
• La société a émis 1,3 million de nouvelles cartes de crédit à la consommation au troisième trimestre 2015, en hausse par rapport à 1,2 million de cartes émises au trimestre correspondant de l'exercice précédent.

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Services bancaires aux particuliers a enregistré un résultat net de 1,8 milliard USD, en hausse de 5 % par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent. L'entreprise a constaté une activité accrue de la part des clients durant le trimestre avec des augmentations en glissement annuel des dépôts, émissions de prêts hypothécaires, émissions de cartes de crédit et actifs de courtage. En outre, le nombre d'utilisateurs de services bancaires mobiles a augmenté de 14 % par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent, à 18,4 millions.

Le chiffre d'affaires était en hausse de 1 % par rapport au troisième trimestre 2014 à 7,8 milliards USD, la hausse du revenu non productif d'intérêts étant largement contrebalancée par une baisse du revenu net d'intérêts. Le revenu net d'intérêts a baissé, le bénéfice de la hausse des dépôts étant plus que contrebalancé par l'impact de l'attribution des activités de gestion actif-passif (ALM) et de la baisse des rendements de cartes. Le revenu non productif d'intérêts était en hausse de 6 % à 2,8 milliards USD, en réponse aux gains sur les dessaisissements et à une hausse du revenu sur les cartes, en partie contrebalancés par une baisse des charges de service.

La provision pour créances irrécouvrables a baissé de 20 millions USD par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent pour atteindre 648 millions USD, en réponse à une amélioration continue de la qualité du crédit, essentiellement liée aux portefeuilles des petites entreprises et des cartes de crédit.

Les charges autres que d'intérêts ont baissé de 1 % par rapport au troisième trimestre 2014 à 4,4 milliards USD, alors que la société continuait d'optimiser son réseau de prestations et à réinvestir certaines des économies de ces initiatives dans l'entreprise en recrutant des spécialistes des ventes. Au cours des 12 derniers mois, la société a ajouté plus de 300 agents de prêts hypothécaires, conseillers en solutions financières et spécialistes des petites entreprises afin de mieux servir ses clients et approfondir les relations.

Stimulée par la croissance continue des services bancaires mobiles et d'autres points de contact de libre-service client, la société a fermé ou cédé 244 agences et ajouté 38 agences depuis le troisième trimestre 2014, pour donner au total 4 741 centres financiers à la fin du troisième trimestre 2015.

Le rendement sur capital alloué moyen était de 24 % au troisième trimestre 2015, par rapport à 22 % au troisième trimestre 2014.

^{1 Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour obtenir un rapprochement des mesures financières PCGR, se reporter aux pages 22 à 24 de ce communiqué de presse.
2 Les soldes totaux des clients sont définis comme étant les actifs sous gestion, actifs de courtage clients, actifs sous conservation, dépôts et prêts clients (y compris les créances sur marges).}

Faits saillants de l'exploitation

• Le nombre de conseillers en patrimoine a augmenté de 998 par rapport au trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 18 037, en réponse à l'investissement continu dans le programme de développement des conseillers, un recrutement compétitif amélioré et des taux d'attrition historiquement faibles des conseillers. Cette augmentation inclut 174 conseillers en services bancaires aux particuliers, alors que la société continue d'étendre son réseau d'experts pour élargir et approfondir la relation client.
• Au deuxième trimestre 2015, les flux d’actifs sous gestion à long terme (AUM) de 4,4 milliards USD représentaient le 25^e trimestre consécutif de flux positifs.
• Les soldes de dépôts moyens ont augmenté de 2 %, soit 4,6 milliards USD, par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent pour atteindre 244,0 milliards USD, et les soldes de prêts moyens ont augmenté de 10 % par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent à 133,2 milliards USD, ce qui représentait le 22^e trimestre consécutif de croissance des soldes de prêts.
• Les honoraires de gestion d'actifs ont augmenté de 2 % par rapport au troisième trimestre 2014 pour atteindre 2,1 milliards USD.

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Gestion mondiale du patrimoine et des investissements a déclaré un revenu net de 656 millions USD, par rapport à 812 millions USD au troisième trimestre 2014. Le chiffre d'affaires était en baisse de 198 millions USD à 4,5 milliards USD, la hausse des honoraires de gestion d'actifs ayant été plus que contrebalancée par la baisse du chiffre d'affaires transactionnel et l'impact de l'attribution des activités ALM par la société sur le revenu net d'intérêts. Il s'agit là de la continuation d'une tendance en termes de chiffre d'affaires transactionnel, alors que les clients continuent de migrer du courtage aux relations gérées, ce qui est exacerbé par une baisse des marchés et une activité de nouvelles émission atone.

La marge avant impôt du troisième trimestre 2015 était de 23 %, en baisse par rapport aux 27 % du trimestre correspondant de l'exercice précédent.

Les charges autres que d'intérêts ont augmenté légèrement par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent à 3,4 milliards USD, les coûts liés aux litiges étant supérieurs et le nombre de conseillers en patrimoine ayant augmenté de 6 % par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent.

Le bénéfice de la provision pour créances irrécouvrables a baissé de 13 millions USD par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent, à un bénéfice de 2 millions USD, en réponse à une hausse des recouvrements enregistrés au trimestre de l'exercice précédent.

Le rendement sur capital alloué moyen était de 22 % au troisième trimestre 2015, par rapport à 27 % au trimestre correspondant de l'exercice précédent.

^{1 Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, se reporter aux pages 22 à 24 du présent communiqué de presse.}

Faits saillants de l'exploitation

• Bank of America Merrill Lynch a généré des frais bancaires d'investissement de 1,3 milliard USD pour l'ensemble de la société, hors transactions auto-dirigées, au troisième trimestre 2015, retenant sa 3ème place au classement mondial^(H).
• Bank of America Merrill Lynch a été classée parmi les trois premières institutions financières à l'échelle mondiale, en termes de dette d’entreprise à rendement élevé, prêts à effet de levier, titres adossés à des prêts hypothécaires, titres adossés à des actifs, de dettes convertibles, dette de société de catégorie investissement, crédits syndiqués et marchés des capitaux d'emprunt au troisième trimestre 2015^(H).
• Les honoraires de consultation de 391 millions USD à l'échelle de la société arrivaient au deuxième rang des résultats depuis la fusion Merrill Lynch.
• Les soldes de prêts et crédit-baux moyens ont augmenté de 26,8 milliards USD, soit 9 % par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent, pour atteindre 310 milliards USD, largement en réponse à la croissance des portefeuilles commerciaux et industriels et du portefeuille immobilier commercial.

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Services bancaires mondiaux a déclaré un bénéfice net de 1,3 milliard USD au troisième trimestre 2015, par rapport à 1,5 milliard USD au troisième trimestre 2014. La solide croissance des prêts et dépôts et la hausse des honoraires de consultation ont été contrebalancées par une baisse du revenu net d'intérêts et une baisse des honoraires de placeurs en ligne en parallèle à la baisse des volumes du secteur.

Le revenu net d'intérêts était en baisse de 105 millions USD, reflétant l'impact de l'attribution des activités ALM de la société et des coûts de liquidité, ainsi que la compression des marges sur prêts. Ce qui a été partiellement compensé par la croissance des prêts. Le total des frais bancaires d'investissement à l'échelle de l'entreprise, hors transactions auto-dirigées, a chuté de 1,3 milliard USD au troisième trimestre par rapport à 1,4 milliard USD au trimestre de l'exercice précédent. La hausse des honoraires de consultation a été plus que contrebalancée par la baisse des frais d'émission d'actions.

Le rendement sur capital alloué moyen était de 14 % au troisième trimestre 2015, par rapport à 18 % au trimestre de l'exercice précédent.

La provision pour créances irrécouvrables a augmenté de 243 millions USD par rapport au trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 179 millions USD, en réponse à une hausse des soldes de prêts et une hausse des libérations de réserves au cours de l'exercice précédent. Les charges autres que d'intérêts étaient relativement inchangées par rapport à l'exercice précédent à 2,0 milliards USD.

^{1 Représente une mesure financière non PCGR. Les gains DVA nets s'élevaient à 313 millions USD, 102 millions USD et 205 millions USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015, 30 juin  2015, et 30 septembre  2014, respectivement.
2 Le rendement sur capital alloué moyen est une mesure financière non conforme aux PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, se reporter aux pages 22 à 24 du présent communiqué de presse.}

Faits saillants de l'exploitation

• Le chiffre d'affaires du segment Ventes et négociation d'actions, hors DVA net, ont augmenté de 12 % par rapport au trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 1,2 milliard USD, en réponse à une solide performance des produits dérivés, reflétant une conjoncture favorable du marché^(I).
• L'équipe de recherche sur les titres américains de Bank of America Merrill Lynch a été classée No. 1 dans le sondage All-America Institutional Investor 2015.

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Marchés internationaux a annoncé un résultat net de 1,0 milliard USD au troisième trimestre 2015, par rapport à 371 millions USD au trimestre correspondant de l'exercice précédent, les charges autres que d'intérêts, principalement les litiges, était en partie contrebalancées par une baisse des chiffres d'affaires des ventes et opérations du segment Titres à revenu fixe, Devises et Produits de base (TFDP).

Les recettes ont baissé de 90 millions USD, soit 2 %, par rapport au trimestre de l'année précédente, à 4,1 milliards USD. Hors DVA net, le chiffre d'affaires a baissé de 198 millions USD, soit 5 %, à 3,8 milliards USD^(J). Les gains DVA nets se chiffraient à 313 millions USD, par rapport à 205 millions USD au trimestre de l'exercice précédent.

Le chiffre d'affaires des ventes et opérations était relativement inchangé par rapport au trimestre de l'exercice précédent à 3,5 milliards USD. Hors DVA net, le chiffre d'affaires des ventes et opérations était en baisse de 4 % par rapport au troisième trimestre 2014 à 3,2 milliards USD. Le chiffre d'affaires des ventes et opérations d'actions a été plus que contrebalancé par une baisse du chiffre d'affaires des ventes et opérations FICC^(I).

Le chiffre d'affaires des ventes et opérations du segment Titres à revenu fixe, Devises et Produits de base, hors DVA net, a baissé de 11 % par rapport au trimestre de l'exercice précédent, en réponse aux baisses des activités liées au crédit, en partie compensées par une amélioration des produits de taux^(I). Le chiffre d'affaires des ventes et négociations d'actions, hors DVA net, ont augmenté de 12 % par rapport au trimestre de l'exercice précédent, en réponse à une solide performance des produits dérivés, reflétant une conjoncture favorable du marché^(I).

Les charges autres que d’intérêts de 2,7 milliards USD ont baissé à 674 millions USD par rapport au trimestre de l'exercice précédent en réponse à une baisse des dépenses en litige. Le trimestre de l'exercice précédent incluait environ 600 millions USD de frais de litiges dont la majorité était non déductibles à des fins fiscales. Hors litiges, les charges autres que d'intérêts ont baissé de 4 % en réponse à une baisse des dépenses liées au chiffre d'affaires^(K).

Le retour sur capital alloué moyen était de 11 % au troisième trimestre 2015.

^{1 Les charges autres que d’intérêts incluent des frais de litiges de 228 millions USD, 59 millions USD et 5,3 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre  2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014.}

Faits saillants de l'exploitation

• Le nombre de premiers prêts hypothécaires gérés par LAS en souffrance pendant plus de 60 jours a chuté à 114 000 prêts à la fin du troisième trimestre 2015, une baisse de 18 000 prêts, soit 14 % par rapport au trimestre précédent et une baisse de 107 000 prêts, soit 48 %, par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent.
• Les charges autres que d'intérêts, hors litiges, se chiffraient à 0,9 millions USD au troisième trimestre 2015, par rapport à 0.9 milliard USD au deuxième trimestre 2015 et 1,3 milliard USD au troisième trimestre 2014^(B).

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Actifs patrimoniaux et Gestion hypothécaire a déclaré une perte nette de 196 millions USD au troisième trimestre 2015, par rapport à une perte nette de 5,1 milliards USD pour la même période en 2014, en réponse à une baisse des frais de litiges. Le chiffre d'affaires a augmenté au troisième trimestre 2015, avec l'amélioration de la performance hors couverture des droits de gestion hypothécaire (MSR) et la baisse de la provision pour représentations et garanties, en partie compensées par la baisse des honoraires de gestion hypothécaire. Les honoraires de gestion hypothécaire étaient en baisse de 27 % par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent à 345 millions USD avec la baisse du nombre de prêts de premier rang et de deuxième rang gérés par LAS par rapport au troisième trimestre 2014.

La provision pour créances irrécouvrables a baissé de 261 millions USD par rapport au troisième trimestre 2014, à 6 millions USD, essentiellement attribuable aux coûts liés à la portion d'aide au consommateur du règlement du Département de la justice des États-Unis au trimestre correspondant de l'exercice précédent.

Les charges autres que d'intérêts ont baissé de 5,5 milliards USD par rapport au trimestre de l'exercice précédent, à 1,1 milliard USD, essentiellement en réponse à une baisse de 5,1 milliards USD des frais de litige et à une baisse des dépenses de gestion hypothécaire liées aux défaillances. Hors litiges, les charges autres que d'intérêts s'élevaient à 0,9 milliard USD au troisième trimestre 2015, relativement inchangées par rapport au trimestre précédent et en baisse de 430 millions USD, soit 32 %, par rapport au troisième trimestre 2014, le nombre de premiers prêts hypothécaires gérés par LAS en souffrance pendant plus de 60 jours ayant baissé de 48 % à 114 000 prêts^(B).

^{1 Autres postes regroupe les activités ALM, les investissements de capitaux propres, les cartes de crédit à la consommation internationales, les entreprises en liquidation, la répartition des dépenses résiduelles et autres. Les activités ALM englobent les titres hypothécaires résidentiels, les titres de créance, les activités de gestion des taux d'intérêt et des risques des devises étrangères, y compris la répartition du revenu net d'intérêts résiduel et l’impact de certaines méthodologies de répartition et de l’inefficacité de la couverture comptable. En 2014, nous avons commencé avec des nouveautés, en retenant certains prêts hypothécaires résidentiels dans le segment Services bancaires aux particuliers, en conformité avec l'activité où l'ensemble de la relation est gérée ; auparavant ces types de prêts hypothécaires figuraient dans le segment Autres postes. Par ailleurs, certains prêts hypothécaires résidentiels gérés par le segment Actifs patrimoniaux et Gestion hypothécaire sont présentés dans le segment Autres postes. Les résultats de certaines activités ALM sont répartis entre nos segments d'activité. Le segment Placements en actions inclut notre coentreprise de services aux commerçants ainsi que le segment Investissements principaux mondiaux qui est constitué d'un portefeuille de titres, d'immobilier et d'autres investissements non traditionnels.}

Le segment Autres postes a déclaré un revenu net de 4 millions USD au troisième trimestre 2015, par rapport à 509 millions USD pour le trimestre de l'exercice précédent.

Le revenu net d'intérêts a baissé de 570 millions USD par rapport au trimestre de l'exercice précédent, en réponse à l'impact négatif des ajustements liés au marché sur les titres de créance de la société, dûs à une baisse des taux d'intérêts à long terme. Le revenu non productif d'intérêts a augmenté de 123 millions USD par rapport au trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 12 millions USD, essentiellement en réponse à des gains d'environ 400 millions USD sur les ventes de prêts immobiliers, par rapport à environ 230 millions USD de gains au trimestre de l'année précédente. Le revenu non productif d'intérêts pour le troisième trimestre 2015 incluait également une charge de 303 millions USD pour la provision d'assurance de protection de paiement (PPI) dans le segment des cartes au Royaume-Uni et 385 millions USD de gains de vente de titres de créance. Ceci se compare à une variation PPI de 298 millions USD et des gains sur titres de créance de 410 millions USD au troisième trimestre 2014.

La provision pour créances irrécouvrables était un bénéfice de 67 millions USD, par rapport à un bénéfice de 265 millions USD au troisième trimestre 2014. La société a libéré des réserves plus lentement qu'au trimestre de l'année précédente.

Les charges autres que d'intérêts ont baissé de 174 millions USD, reflétant une amélioration des litiges et des coûts de personnel et d'infrastructure, en partie contrebalancée par une hausse des honoraires professionnels. Le troisième trimestre 2015 incluait des économie d'impôts de 507 millions USD, par rapport à des économie d'impôts de 541 millions USD au troisième trimestre 2014.

^{1 Exclut des radiations des prêts PCI de 148 millions USD, 290 millions USD et 246 millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement.
2 Les ratios des créances irrécouvrables sont calculés en tant que créances irrécouvrables nettes annualisées divisées par la moyenne de l'encours des prêts et baux pendant la période.
3 Les ratios des prêts, baux et propriétés saisies non productifs sont calculés en tant que prêts, crédits-baux et propriétés saisies non productifs divisés par l'encours des prêts, baux et propriétés saisies en fin de cette période.
4 La provision pour le ratio des pertes sur prêts et crédit-baux est calculée en tant que provision pour pertes sur prêts et baux divisée par l'encours des prêts et baux en fin de période.
Note :  Les ratios excluent les prêts comptabilisés selon l’option de la juste valeur pendant la période.}

La qualité du crédit est restée solide au troisième trimestre 2015, avec une baisse des créances irrécouvrables nettes dans la plupart des principaux portefeuilles, comparé au trimestre de l'année précédente. Le solde des prêts productifs en souffrance de plus de 30 jours, à l’exclusion des prêts totalement assurés, a baissé dans la plupart des portefeuilles de prêts aux particuliers par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent. Par ailleurs, les prêts, baux et propriétés saisies non productifs ont baissé de 27 % par rapport à la période de l'exercice précédent.

Les créances irrécouvrables nettes s'élevaient à 932 millions USD au troisième trimestre 2015, par rapport à 1,1 milliard USD au deuxième trimestre 2015 et 1,0 milliard USD au troisième trimestre 2014. Le ratio des créances irrécouvrables nettes s'est amélioré pour atteindre 0,42 % au troisième trimestre 2015 par rapport à 0,46 % au trimestre correspondant de l'exercice précédent. Les créances irrécouvrables nettes ont baissé en réponse à une amélioration, principalement au niveau des tendances des portefeuilles de prêts aux particuliers, en partie contrebalancée par une hausse des créances irrécouvrables commerciales. La provision pour créances irrécouvrables a augmenté de 170 millions USD par rapport au troisième trimestre 2014, pour atteindre 806 millions USD. Au troisième trimestre 2015, la libération nette de réserves s’élevait à 26 millions USD, par rapport à une libération nette de réserves de 407 millions USD au troisième trimestre 2014.

La provision pour pertes sur prêts et crédit-baux et le ratio de couverture des créances irrécouvrables nettes annualisées était de 3,42 fois au troisième trimestre 2015, par rapport à 3,65 fois au troisième trimestre 2014. Les prêts et baux non productifs et les propriétés saisies se chiffraient à 10,3 milliards USD au 30 septembre  2015, en baisse par rapport à 11,6 milliards USD au 30 juin  2015 et 14,2 milliards USD au 30 septembre  2014.

Dans le portefeuille de prêts commerciaux, les prêts critiqués réservables ont augmenté de 15 % par rapport au trimestre de l'exercice précédent en réponse à certains déclassements dans le portefeuille de pétrole et de gaz de la société. Toutefois, le taux critiqué réservable est toujours inférieur aux niveaux de la crise pré-financière.

^{1 Les ratios de capitaux règlementaires sont préliminaires. Le capital de fonds propres de 1ère catégorie (CET1), le capital de 1ère catégorie, les actifs pondérés en fonction des risques (RWA), le ratio CET1 et le ratio de levier supplémentaire (SLR) indiqués sur une base entièrement intégrée, sont des mesures financières non conforme aux PCGR. Pour plus d'informations, se reporter à la note en fin de texte (C) à la page 13. Pour obtenir un rapprochement aux mesures financières PCGR, se reporter à la page 18 de ce communiqué de presse.
2 Bank of America a obtenu l'autorisation de commencer à utiliser le cadre capital Approches avancées pour déterminer les besoins en fonds-propres basés sur les risques à compter du quatrième trimestre 2015. Comme indiqué précédemment, avec l'autorisation de quitter le cycle parallèle, les organismes de règlementation des services bancaires américains ont demandé des modifications à certains modèles analytiques internes dont les modèles de crédit de gros (par ex., commercial), ce qui augmentera nos actifs pondérés en fonction des risques au quatrième trimestre 2015. En incluant ces modifications, le ratio CET1 pro-forma estimé en vertu des Approches avancées de Bâle 3 sur une base entièrement intégrée serait de 9,7 % et 9,3 % au 30 septembre  2015 et au 30 juin 2015, respectivement. Pour plus d'informations, se reporter à la Note en fin de texte (C) à la page 13.
3 Les estimations en vertu des Approches avancées de Bâle 3 présument l'approbation de nos modèles analytiques internes par les organismes de règlementation bancaire américains, y compris l'autorisation de la méthodologie des modèles internes (MMI). Au 30 septembre 2015, BAC n'avait pas obtenu l'autorisation IMM.
4 Le ratio des capitaux propres tangibles et la valeur comptable tangible par action sont des mesures financières  non conformes aux PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, se reporter aux pages 22 à 24 du présent communiqué de presse.}

Le ratio des capitaux propres de 1ère catégorie en vertu de l'approche transitoire normalisée de Bâle 3, était de 11,6 % au 30 septembre  2015 et de 11,2 % au 30 juin  2015.

Bien que les Approches normalisées et avancées sur une base entièrement intégrée de Bâle 3 ne prennent effet qu’en 2018, la société fournit aux investisseurs les estimations suivantes à des fins de comparaison.

• Le ratio estimé des capitaux propres de 1ère catégorie en vertu de l'approche transitoire normalisée de Bâle 3 sur une base entièrement intégrée était de 10,8 % au 30 septembre  2015 et de 10,3 % au 30 juin  2015^(C).
• Le ratio estimé des capitaux propres de 1ère catégorie en vertu des Approche avancées de Bâle 3 sur une base entièrement intégrée était de 11,0 % au 30 septembre 2015 et de 10,4 % au 30 juin 2015.^(C).

Le 3 septembre 2015, le Conseil de la Réserve fédérale et le Bureau du contrôleur des devises ont annoncé que Bank of America avait obtenu l'autorisation de commencer à utiliser le cadre capital Approches avancées pour déterminer les besoins en fonds-propres à risque à compter du quatrième trimestre 2015.

Comme indiqué précédemment, avec l'autorisation de quitter le cycle parallèle, les organismes de règlementation des services bancaires américains ont demandé des modifications à certains modèles analytiques internes, y compris les modèles de crédit en gros (par ex., commercial), ce qui a augmenté les actifs pondérés en fonction des risques au 1er octobre 2015. Si les modifications de ces modèles avaient été incluses, le ratio CET1 estimé en vertu des Approches avancées de Bâle 3 sur une base entièrement intégrée serait de 9,7 % et 9,3 % environ au 30 septembre 2015 et au 30 juin 2015, respectivement^(C).

Au 30 septembre  2015, le ratio de levier supplémentaire (SLR) sur une base entièrement intégrée estimé^(L) de la Société de portefeuille bancaire était d'environ 6,4 %, ce qui est supérieur au ratio minimum de 5,0 % dévolu aux sociétés de portefeuille bancaires, et le SLR estimé sur une base entièrement intégrée de l'entité bancaire principale de la société était d'environ 7,0 % au 30 septembre  2015, supérieur au niveau « bien capitalisé » de 6,0 %.

Au 30 septembre  2015, les sources de liquidités excédentaires mondiales s'élevaient à 499 milliards USD, par rapport à 484 milliards USD au 30 juin  2015 et 429 milliards USD au 30 septembre  2014^(D). Le temps avant la nécessité d'un financement était de 42 mois au 30 septembre  2015, par rapport à 40 mois au 30 juin  2015 et 38 mois au 30 septembre  2014^(D). Le ratio de couverture des liquidités américaines estimé au 30 septembre  2015 était supérieur au minimum requis pour 2017 sur une base entièrement intégrée^(M).

 Les actions ordinaires émises et en circulation en fin de période s’élevaient à 10,43 milliards au 30 septembre  2015, 10,47 milliards USD au 30 juin  2015 et 10,52 milliards USD au 30 septembre 2014. La société a racheté environ 800 millions USD d'actions ordinaires au troisième trimestre.

La valeur comptable tangible par action^(E) était de 15,50 USD au 30 septembre  2015, par rapport à 15,02 USD au 30 juin  2015 et 14,09 USD au 30 septembre  2014. La valeur comptable tangible par action était de 22,41 USD au 30 septembre  2015, par rapport à 21,91 USD au 30 juin  2015 et 20,99 USD au 30 septembre  2014.

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^{Notes de fin de texte}

^{(A) Les charges autres que d’intérêts, hors litiges, sont une mesure financière non conforme aux PCGR. Les charges autres que d'intérêts sur une base PCGR étaient de 13,8 milliards USD, 13,8 milliards USD et 20,1 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement. Les frais de litiges se chiffraient à 231 millions USD, 175 millions USD et 6,0 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement.}

^{(B) Les charges autres que d’intérêts du segment Actifs patrimoniaux et Gestion hypothécaire (LAS), hors litiges, sont une mesure financière non conforme aux PCGR. Les charges autres que d'intérêts LAS sur une base PCGR étaient de 1,1 milliard USD, 961 millions USD et 6,6 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement. Les frais de litiges LAS étaient de 228 millions USD, 59 millions USD et 5,3 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement.}

^{(C) Les estimations sur une base entièrement intégrée sont des mesures financières non conforme aux PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir la page 18 de ce communiqué. Le 1er janvier 2014, les règlementations de Bâle 3 ont pris effet, sous réserve des dispositions de transition principalement liées aux déductions et aux ajustements règlementaires impactant le capital en actions ordinaires de 1ère catégorie (CET1) et le capital de 1ère catégorie. Bank of America a obtenu l'autorisation de commencer à utiliser le cadre capital des Approches avancées pour déterminer les besoins en fonds-propres basés sur le risque à compter du quatrième trimestre 2015. Comme indiqué précédemment, avec l'autorisation de quitter le cycle parallèle, les organismes de règlementation des services bancaires américains ont demandé des modifications à certains modèles analytiques internes dont les modèles de crédit de gros (par ex., commercial), ce qui augmentera nos actifs pondérés en fonction des risques au quatrième trimestre 2015. En incluant ces modifications, le ratio CET1 pro-forma estimé en vertu des Approches avancées de Bâle 3 sur une base entièrement intégrée serait de 9,7 % et 9,3 % au 30 septembre  2015 et au 30 juin 2015, respectivement. Les estimations en vertu des Approches avancées de Bâle 3 présument l'approbation de nos modèles analytiques internes par les organismes de réglementation bancaire américains, y compris l'approbation de la méthodologie des modèles internes (MMI). Au 30 septembre 2015, BAC n'avait pas obtenu l'autorisation IMM.}

^{(D) Les sources de liquidités excédentaires mondiales incluent les espèces et les titres liquides non grevés de haute qualité, limités aux titres du gouvernement américain, aux titres des agences américaines, aux MBS des agences américaines, et un groupe sélectionné de titres de gouvernements non américains et de supranationales, et sont disponibles pour répondre aux besoins de financement à mesure qu'ils se présentent. Cela n'inclut pas la capacité d'emprunt de la fenêtre d'escompte de la Réserve Fédérale ou de la Federal Home Loan Bank. Les transferts de liquidités d'une banque à d'autres organismes réglementés sont soumis à certaines restrictions réglementaires. Le temps avant la nécessité d'un financement est une mesure de couverture de la dette qui est exprimée sous forme du nombre de mois pendant lesquelles les obligations non garanties des sociétés de portefeuille de Bank of America Corporation peuvent être satisfaites en utilisant seulement son excédent mondial de sources de liquidités sans émettre d'emprunts ni approvisionner des liquidités supplémentaires. Nous définissons les obligations contractuelles non garanties aux fins de ce système métrique comme l'échéance des dettes subordonnées ou senior émises ou garanties par Bank of America Corporation. Nous avons inclus dans le montant des obligations contractuelles non garanties le passif de 8,6 milliards USD, y compris les coûts estimés, pour les règlements, principalement pour le règlement de la titrisation privée BNY Mellon, annoncée auparavant.}

^{(E) La valeur comptable tangible par action ordinaire est une mesure financière non PCGR. Pour de plus amples informations, se reporter aux pages 22 à 24 du présent communiqué de presse.}

^{(F) Le rendement sur capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires ordinaires est une mesure financière non conforme aux PCGR. Pour de plus amples informations, se reporter aux pages 22 à 24 du présent communiqué de presse.}

^{(G) La base d'équivalent pleinement imposable (EPI) de la société est une mesure financière non conforme aux PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, se reporter aux pages 22 à 24 du présent communiqué de presse. Le revenu net d'intérêts sur une base PCGR se chiffrait à 9,5 milliards USD, 10,5 milliards USD et 10,2 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre  2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement. Le revenu net des intérêts sur une base EPI, hors ajustements liés au marché, représente une mesure financière non PCGR. Les ajustements liés au marché de la dépense d’amortissement de prime et de l’inefficacité des couvertures étaient de (0,6) milliard USD, 0,7 milliard USD et (0,1) milliard USD pour les trois mois clos le 30 septembre  2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement. Le chiffre d'affaires total, net d'intérêts débiteurs, sur une base PCGR était de 20,7 milliards USD, 22,1 milliards USD et 21,2 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre  2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014, respectivement. Les gains DVA nets se chiffraient à 313 millions USD, 102 millions USD et 205 millions USD pour les trois mois clos le 30 septembre  2015, 30 juin  2015 et 30 septembre 2014, respectivement.}

^{(H) Classements selon Dealogic au 5 octobre 2015 pour le trimestre clos le 30 septembre  2015.}

^{(I) Le chiffre d'affaires Ventes et opérations, hors DVA, est une mesure financière non conforme aux PCGR. Les gains DVA nets du segment Ventes et opérations se chiffraient à 313 millions USD et 205 millions USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015 et 2014, respectivement. Les gains DVA nets sur les titres étaient de 35 millions USD et 72 millions USD pour les trois mois clos le 30 septembre  2015 et 2014. Les gains DVA nets FICC s'élevaient à 278 millions USD et 133 millions USD pour les trois mois clos le 30 septembre  2015 et le 30 septembre  2014, respectivement.}

^{(J) Le chiffre d'affaires du segment Marchés internationaux, hors DVA net, est une mesure financière non conforme aux PCGR. Les gains DVA nets se chiffraient à 313 millions USD et 205 millions USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015 et 2014, respectivement.}

^{(K) Les charges autres que d’intérêts des Marchés internationaux, hors litiges, sont une mesure financière non conforme aux PCGR. Les charges autres que d'intérêts du segment Marchés internationaux s'élevaient à 2,7 milliards USD et 3,4 milliards USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015 et 2014, respectivement. Les frais de litiges du segment Marchés internationaux s'élevaient à 32 millions USD et 601 millions USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2015 et 2014, respectivement.}

^{(L) Le ratio d'effet de levier supplémentaire estimé est mesuré en utilisant le capital de 1ère catégorie en fin de trimestre en tant que numérateur, calculé en vertu de Bâle 3, sur une base entièrement intégrée. Le dénominateur est une exposition du levier supplémentaire sur la base d'une moyenne quotidienne de la somme des expositions sur bilan, moins les déductions autorisées de 1ère catégorie, ainsi que la moyenne simple des engagements hors bilan, à compter de la fin de chaque mois dans un trimestre. Les expositions hors bilan incluent les engagements de prêt, les lettres de crédit, les dérivés de gré à gré, les transactions assimilables aux pensions et les engagements de prêt sur marges. Au 30 septembre 2015, le SLR estimé pour la société de portefeuille bancaire sur une base de transition était de 6,5 %. Les différences entre les expositions de levier supplémentaire sur une base entièrement intégrée et transitionnels sont insignifiantes.}

^{(M) Les estimations du ratio de couverture des liquidités (LCR) sont basées sur notre compréhension actuelle des règlementations américaines finales du LCR qui ont été publiées le 3 septembre 2014.}

Note :  Le président-directeur général Brian Moynihan et le directeur financier Paul Donofrio commenteront les résultats du troisième trimestre 2015 dans le cadre d'une téléconférence à 8 h 30, heure de New York, aujourd’hui.

La présentation et le matériel de support sont accessibles sur le site Web des relations avec les investisseurs de Bank of America à l'adresse http://investor.bankofamerica.com. Pour une connexion à la téléconférence, en mode audio uniquement, composez le 1.877.200.4456 (États-Unis) ou le 1.785.424.1732 (international), puis le code de la conférence :  79795. Veuillez appeler 10 minutes avant le début de la téléconférence.

Une retransmission sera disponible via un Webcast sur le site Internet Bank of America Investor Relations. Une retransmission de la téléconférence sera également disponible à partir de midi, heure de l'Est, le 14 octobre jusqu’à 23 h 59, heure de l'Est, le 22 octobre, en composant le 1.800.753.8546 (États-Unis) ou le 1.402.220.0685 (pour l’international).

Bank of America
Bank of America, l'une des plus importantes institutions financières internationales, offre aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises, ainsi qu'aux grandes sociétés une gamme complète de produits et services bancaires, d'investissement et de gestion d'actifs, ainsi que d'autres produits et services financiers et de gestion des risques. La société offre des services inégalés aux États-Unis, desservant près de 47 millions de particuliers et de petites entreprises avec environ 4 700 centres financiers de détail et à peu près 16 100 distributeurs automatiques de billets, ainsi qu'une banque en ligne primée servant 32 millions d’utilisateurs actifs et plus de 18 millions d'utilisateurs mobiles. Figurant parmi les plus importantes sociétés de gestion de patrimoine au monde, Bank of America est un chef de file mondial des services bancaires aux entreprises et des services d’investissement et de négociations couvrant un large éventail de classes d’actifs et s’adressant aux sociétés, gouvernements, institutions et particuliers du monde entier. Bank of America offre à près de 3 millions de propriétaires de petites entreprises la meilleure assistance du secteur grâce à une gamme de produits et services en ligne innovants et faciles à utiliser. La société dessert des clients à travers des opérations dans l’ensemble des 50 états, le district de Columbia, les Îles Vierges américaines, Puerto Rico et plus de 35 pays. Les actions de Bank of America Corporation (NYSE :  BAC) sont cotées à la bourse de New York.

Énoncés prospectifs
Bank of America et sa direction peuvent formuler certains énoncés constituant des « énoncés prospectifs » au sens de la loi Private Securities Litigation Reform Act de 1995. Ces énoncés sont identifiables par le fait qu’ils ne mentionnent pas strictement des faits historiques ou actuels. Ces énoncés prospectifs utilisent souvent des termes, tels que « prévoit », « cible », « s’attend à », « espère », « estime », « envisage », « planifie », « a pour objectif de », « pense », « continue » et d’autres expressions du même genre, ou des verbes au futur ou au conditionnel, tels que « devoir », « pouvoir » et « être ». Les énoncés prospectifs représentent les attentes, les projets ou les prévisions actuels des résultats et des revenus futurs de Bank of America ainsi que, plus généralement, les futures conditions économiques et commerciales et autres sujets liés à l'avenir. Ces énoncés ne garantissent pas les résultats ou la performance futurs et impliquent certains risques connus et inconnus, incertitudes et hypothèses difficiles à prévoir et souvent indépendants de Bank of America. Les résultats réels peuvent sensiblement différer des résultats exprimés ou impliqués par l’une de ces déclarations prospectives.

Le lecteur est avisé de ne pas se fier outre mesure aux énoncés prospectifs et de considérer les incertitudes et risques suivants, ainsi que les risques et incertitudes discutés plus en détail sous l’article 1A. Risk Factors du rapport annuel 2014 de Bank of America sur formulaire 10-K et dans tous les documents ultérieurs déposés par Bank of America auprès de la Commission des valeurs mobilières des États-Unis : la capacité de la société à résoudre les réclamations de rachat de représentations et garanties et les réclamations connexes, y compris les réclamations ou actions en justice émanant d'investisseurs ou de fiduciaires visant à distinguer certains aspects du règlement ACE Securities Corp. v. DB Structured Products, Inc. (ACE) ou sa capacité à présenter d’autres réclamations dans le but d’éviter l’impact du règlement ACE ;  la possibilité que la société soit assujettie à des réclamations connexes en termes de gestion hypothécaire, titres, fraude, indemnité, contribution ou autres réclamations d’une ou de plusieurs contreparties, y compris des fiduciaires, acquéreurs de prêts, preneurs-fermes, émetteurs, d’autres parties engagées dans des titrisations, des réhausseurs de crédit ou des titrisations engagées par des entités privées et d'autres investisseurs ; la possibilité que de futures pertes de représentations et garanties surviennent en sus de la responsabilité enregistrée de la société et l’étendue estimée de la perte éventuelle pour ses expositions aux représentations et garanties ; la possibilité que la société ne recouvre pas les réclamations d'assurance hypothécaire ; les revendications, dommages, pénalités, amendes et atteintes à la réputation potentiels résultant des litiges et poursuites réglementaires en cours ou futurs, notamment la possibilité que les montants soient supérieurs aux limites enregistrées de responsabilité de la société et à l'étendue estimée de ses pertes possibles suite à des expositions à des litiges ;  la possibilité que la Commission européenne impose des mesures correctives suite à son enquête sur les pratiques concurrentielles de la société ; les résultats possibles du LIBOR, autres enquêtes et investigations sur les taux et les changes de référence ; les incertitudes concernant la stabilité financière et les taux de croissance des juridictions non américaines, le risque que ces juridictions soient confrontées à des difficultés de gestion de leur dette souveraine, et aux difficultés liées aux marchés financiers, aux devises et au négoce, et l’exposition de la société à de tels risques, y compris directs, indirects et opérationnels ; l’impact des taux d’intérêt américains et mondiaux, des taux de change et de la conjoncture économique ;  l’impact sur les activités, les conditions financières et les résultats des opérations de la société dans un environnement à des taux d’intérêt potentiellement plus élevés ; les changements adverses causés aux cotes de crédit de la société par les principales agences d’évaluation de crédit ; les estimations de la juste valeur de certains des actifs et passifs de la société ; les incertitudes liées au contenu, au calendrier et à l'impact des exigences en matière de capital règlementaire et des exigences de liquidités, y compris l'adoption potentielle des besoins en capacité d'absorption de perte totale ; le potentiel que l'exposition à l'assurance de protection des paiements augmente en réponse aux actions de la Financial Conduct Authority ; l'impact potentiel des actions de la Réserve fédérale sur les plans d'immobilisations de la société ;  l’impact de la mise en œuvre et de la conformité aux règlementations internationales et américaines, nouvelles et en évolution, y compris mais sans s’y limiter, les exigences de planification en termes de recouvrement et de résolution, la loi Volcker, et les réglementations dérivées ; l’impact des changements de la législation fiscale du Royaume-Uni récemment proposés, y compris une réduction du taux d’imposition des sociétés au Royaume-Uni et la création d’une taxe de surcharge bancaire qui, ensemble, pourraient entraîner une charge d’impôt après promulgation et des charges fiscales supérieures par la suite, ainsi qu’une réduction des prélèvements bancaires ; une défaillance dans ou une violation des systèmes d’exploitation ou de sécurité ou de l’infrastructure de la société, ou ceux de tiers, y compris résultant de cyberattaques et autres questions similaires.

Ces déclarations prospectives ne valent qu’à la date de leur publication et Bank of America ne s’engage aucunement à actualiser l’une de ces déclarations prospectives afin de refléter l’effet des circonstances ou des événements survenus après la date de publication de la déclaration prospective.

BofA Global Capital Management Group, LLC (BofA Global Capital Management) est une division de gestion d'actifs de Bank of America Corporation. Les entités BofA Global Capital Management offrent des services et des produits de gestion d’investissement aux investisseurs institutionnels et individuels.

Bank of America Merrill Lynch est le nom commercial des activités de Services bancaires mondiaux et Marchés internationaux de Bank of America Corporation. Les prêts, produits dérivés et autres activités bancaires commerciales sont effectués par des banques affiliées de Bank of America Corporation, y compris Bank of America, N.A., qui fait partie de la FDIC. Les activités liées aux titres, aux conseils financiers et autres activités bancaires d’investissement sont exercées par des banques d’investissement affiliées appartenant à Bank of America Corporation (« Banques d’investissement affiliées »), parmi lesquelles figurent Merrill Lynch, Pierce, Fenner & Smith Incorporated, qui sont des sociétés de courtage agréées membres de la FINRA et de la SIPC. Les produits d’investissement offerts par les banques d’investissement affiliées :  Ne sont pas assurés par la FDIC * Peuvent perdre de la valeur * Ne sont pas garantis par une banque. Les courtiers-négociants de Bank of America Corporation ne sont pas des banques, mais des entités légales séparées de leurs affiliés bancaires. Les obligations des courtiers-négociants sont distinctes de celles de leurs affiliés bancaires (sauf indication contraire explicite) et ces affiliés bancaires ne sont pas responsables des titres vendus, offerts ou recommandés par les courtiers-négociants. Ce qui précède vaut également pour d’autres sociétés affiliées qui ne sont pas des banques.

Pour d’autres actualités sur Bank of America, veuillez visiter la salle de presse de Bank of America à l’adresse http://newsroom.bankofamerica.com.

www.bankofamerica.com

^{(1) Le bénéfice (perte) dilué par action ordinaire exclut l’effet des instruments de fonds propres qui sont antidilutifs sur le bénéfice par action. Aucune action ordinaire potentielle n'était dilutive au troisième trimestre 2014 en raison des pertes nettes applicables aux actionnaires ordinaires.
(2) Le retour sur capital moyen tangible attribuable aux actionnaires ordinaires et la valeur comptable par action ordinaire sont des mesures financières non conformes aux PCGR. Nous pensons que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de la société. Il est possible que d’autres entreprises définissent ou calculent les mesures financières non PCGR différemment. Se reporter aux pages 22 à 24 pour les rapprochements aux mesures financières PCGR.
(3) Les ratios n'incluent pas les prêts consentis en vertu de l’option de la juste valeur au cours de la période en question. Les ratios des créances irrécouvrables sont annualisés pour la présentation trimestrielle.
(4) Les soldes n'incluent pas les cartes de crédit à la consommation en souffrance, les prêts aux consommateurs garantis par l'immobilier où les remboursements sont assurés par la Federal Housing Administration et individuellement assurés par des accords de confirmation à long terme (prêts aux logements entièrement assurés) et, en général, d'autres prêts commerciaux et à la consommation qui ne sont pas garantis par l'immobilier ; les prêts douteux rachetés même si le client peut être contractuellement échu ; les prêts non productifs destinés à la vente ; les prêts non productifs consentis en vertu de l'option de la juste valeur et les prêts restructurés de la dette en difficulté non accumulés supprimés du portefeuille des prêts douteux rachetés avant le 1er janvier 2010.
(5) Les ratios du capital réglementaire sont préliminaires.
(6) Le ratio du capital en actions ordinaires de 1ère catégorie au 30 septembre 2015 et au 30 juin 2015 reflète la migration du calcul des actifs pondérés en fonction du risque selon l'approche générale basée sur le risque à l'approche normalisée de Bâle 3, et le capital en actions ordinaires de 1ère catégorie inclut les dispositions transitoires du capital réglementaire intégrées 2015.
(7) Le ratio des capitaux propres tangibles est équivalent aux capitaux propres tangibles des actionnaires en fin de période divisé par les immobilisations corporelles en fin de période. Le ratio des capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires sont équivalents aux capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires en fin de période, divisés par les immobilisations corporelles de fin de période. Les capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires et les immobilisations corporelles sont des mesures financières non PCGR. Nous pensons que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de la société. Il est possible que d’autres entreprises définissent ou calculent les mesures financières non PCGR différemment. Se reporter aux Rapprochements aux mesures financières PCGR aux pages 22 à 24.
(8) Bank of America a obtenu l'autorisation de commencer à utiliser le cadre capital des Approches avancées pour déterminer les besoins en fonds-propres basés sur le risque, à compter du quatrième trimestre 2015. Comme indiqué précédemment, avec l'autorisation de quitter le cycle parallèle, les organismes de règlementation bancaire américains ont demandé des modifications à certains modèles analytiques internes y compris les modèles de crédit de gros (par ex., commercial), ce qui augmentera nos actifs pondérés en fonction des risques au quatrième trimestre 2015. En incluant ces modifications, le ratio estimé des actifs pondérés en fonction des risques pro-forma et des capitaux propres de 1ère catégorie en vertu des Approches avancées de Bâle 3 sur une base entièrement intégrée serait de 1 570 milliards USD et 9,7 % au 30 septembre  2015.
(9) Les estimations sur une base entièrement intégrée sont des mesures financières non conforme aux PCGR. Pour les rapprochements aux mesures financières PCGR, voir ce qui précède. Les estimations en vertu des Approches avancées de Bâle 3 sur une base entièrement intégrée présument l'approbation des organismes de règlementation bancaire américains de nos modèles analytiques internes, y compris l'approbation de la méthodologie des modèles internes. Au 30 septembre 2015, nous n'avons pas obtenu l'approbation de notre méthodologie de modèles internes.}

n/s = non significatif

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

^{(1) L'équivalent pleinement imposable est une mesure de performance utilisée par la direction dans l'exploitation de l'entreprise. La direction pense que cette mesure fournit aux investisseurs une image plus précise de la marge d'intérêt à des fins de comparaison.
(2) Le retour sur capital alloué moyen est calculé comme un revenu net, ajusté pour le coût des crédits sur fonds et revenus et certaines dépenses liées aux immobilisations incorporelles, divisé par le capital alloué moyen. Le capital alloué et les rendements connexes sont des mesures financières non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de ses segments. Il est possible que d’autres entreprises définissent ou calculent ces mesures différemment. (Voir Pièce documentaire A :  Rapprochements non PCGR - Rapprochements aux mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24).}

n/s = non significatif

Parmi les segments, certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

^{(1) L'équivalent pleinement imposable est une mesure de performance utilisée par la direction dans l'exploitation de l'entreprise. La direction estime que cette mesure fournit aux investisseurs une image plus précise de la marge d'intérêt à des fins de comparaison.
(2) Le retour sur capital alloué moyen est calculé comme un revenu net, ajusté pour le coût des crédits sur fonds et revenus et certaines dépenses liées aux immobilisations incorporelles, divisé par le capital alloué moyen. Le capital alloué et les rendements connexes sont des mesures financières non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de ses segments. Il est possible que d’autres entreprises définissent ou calculent ces mesures différemment. (Voir Pièce documentaire A :  Rapprochements non PCGR - Rapprochements aux mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24).}

n/s = non significatif

Parmi les segments, certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

^{(1) La base EPI est une mesure financière non PCGR. La base EPI est une mesure de la performance qu’utilise la direction dans l’exploitation de la société et qu’elle juge de nature à donner aux investisseurs une image plus précise de la marge d’intérêt à des fins de comparaison. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24.}

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

La société évalue ses activités sur une base équivalente pleinement imposable, une mesure financière non conforme aux PCGR. La société estime que la gestion des activités avec un revenu net des intérêts sur une base équivalente pleinement imposable donne une idée plus précise de la marge d’intérêts à des fins de comparaison. Le chiffre d’affaires total, net des charges d’intérêts, inclut le revenu net des intérêts sur une base équivalente pleinement imposable et le revenu autre que d’intérêts. La société considère les ratios et les analyses connexes (à savoir, les ratios d’efficacité et le rendement net d’intérêt) sur une base équivalente pleinement imposable. Afin de dériver la base équivalente pleinement imposable, le revenu net des intérêts est ajusté pour refléter le revenu non imposable sur une base comparable avant impôts avec une augmentation correspondante de la charge d’impôt sur le revenu. Dans le cadre de ce calcul, la société utilise le taux d’imposition fédéral prévu par la loi de 35 %. Cette mesure garantit la comparabilité du revenu net des intérêts émanant des sources imposables et non imposables. Le ratio d’efficacité mesure les coûts consacrés pour générer un dollar de chiffre d’affaires, et le rendement net d’intérêt mesure les points de base perçus par la société sur le coût des fonds.

La société évalue également ses activités en fonction des ratios suivants qui utilisent les fonds propres tangibles, une mesure financière non conforme aux PCGR. Les fonds propres tangibles représentent le montant ajusté des fonds propres des actionnaires ou des capitaux propres attribuables aux actionnaires ordinaires, ayant été réduit par les écarts d’acquisition et les actifs incorporels (à l’exception des droits de gestion hypothécaires), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. Le rendement des capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires ordinaires mesure la contribution aux résultats de la société sous forme de pourcentage des capitaux propres moyens ajustés attribuables aux actionnaires ordinaires. Le ratio des capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires représente les capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires ordinaires en fin de période, divisés par le total des actifs moins les écarts d’acquisition et des actifs incorporels (hors droits de gestion hypothécaires), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. Le rendement des capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires mesure la contribution aux résultats de la société sous forme d’un pourcentage des capitaux propres moyens globaux ajustés attribuables aux actionnaires. Le ratio des fonds propres tangibles représente le total des capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires en fin de période, divisé par le total des actifs moins les écarts d’acquisition et les actifs incorporels (hors droits de gestion hypothécaire), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. La valeur comptable tangible par action ordinaire représente les capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires ordinaires en fin de période, divisés par les actions ordinaires en circulation en fin de période. Ces mesures servent à évaluer l’utilisation des actions par la société. De plus, les modèles de rentabilité, relationnels et d’investissements ont tous recours au rendement sur les capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires comme mesures clés pour soutenir nos objectifs de croissance globaux.

Par ailleurs, la société révise périodiquement le capital affecté à ses activités et alloue le capital annuellement au cours des processus de planification stratégique et du capital. Nous utilisons une méthodologie qui prend en compte l'effet des besoins en capital règlementaire, outre les modèles de capital internes basés sur le risque. Les modèles internes du capital à risque de la société utilisent une méthodologie ajustée en fonction du risque intégrant les éléments de risque de crédit, du marché, des taux d’intérêt, commercial et opérationnel de chaque segment. Le rendement du capital alloué moyen est calculé en divisant le résultat net, ajusté en fonction du coût des crédits sur fonds et revenus et certaines charges liées aux immobilisations incorporelles, par le capital moyen alloué. Le capital alloué et les rendements connexes sont tous deux des mesures financières non PCGR. Le capital alloué fait l'objet de révisions périodiques et des raffinements sont effectués en fonction de multiples considérations incluant, sans s'y limiter, les actifs pondérés en fonction du risque mesurés en vertu des Approches avancées et normalisées de Bâle 3, des risques des segments d'activité et du profil de risque, et des plans stratégiques. Dans le cadre de ce processus, en 2015, la société a ajusté le montant du capital alloué à ses segments d’activité, principalement Actifs patrimoniaux et Gestion hypothécaire.

Les tableaux ci-dessous et aux pages 23 et 24 présentent les rapprochements de ces mesures non PCGR avec les mesures financières définies par les PCGR pour les trois mois clos le 30 septembre 2015 et 2014 et les trois mois clos le 30 septembre  2015, 30 juin  2015 et 30 septembre  2014. La société pense que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire de ses résultats. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent leurs données financières supplémentaires différemment.

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.