Bank of America : fait état d'une perte nette de 276 millions USD au premier trimestre 2014, soit 0,05 USD par action diluée, pour un chiffre d'affaires de 22,8 milliards USD (A)

Bank of America Corporation a déclaré aujourd'hui une perte nette de 276 millions USD, ou 0,05 USD par action diluée, pour le premier trimestre 2014, comparé à un bénéfice net de 1,5 milliard USD, ou 0,10 USD par action diluée, pour la même période de l'exercice précédent.

Le chiffre d'affaires, net des charges d’intérêts, sur une base EPI^(A) a baissé de 3 % par rapport au premier trimestre 2013, pour atteindre 22,8 milliards USD. Hors ajustements d'évaluation du débit (AED) sur les deux périodes, les recettes ont diminué de 4 % par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 22,7 milliards USD^(B).

Les résultats du premier trimestre 2014 incluent des frais de 6,0 milliards USD liés au règlement d'un litige précédemment annoncé avec l'Agence fédérale de financement du logement (Federal Housing Finance Agency ou FHFA), ainsi que des réserves additionnelles liées principalement à des problèmes d'hypothèques précédemment annoncés.

« Les coûts liés à la résolution de plusieurs problèmes d'hypothèque ont impacté négativement nos bénéfices ce trimestre », a déclaré le président-directeur général Brian Moynihan. « Mais la capacité bénéficiaire de notre société et la stratégie clientèle ont généré des résultats solides, et nous avons continué à reverser du capital excédentaire à nos actionnaires ».

« Durant le trimestre, nos ratios normalisés selon Bâle 3 et notre liquidité ont atteint des niveaux record et la qualité du crédit s'est également améliorée », a indiqué le directeur financier en chef Bruce Thompson. « En outre, les charges liées à la gestion des hypothèques patrimoniales, à l'exclusion des litiges, ont diminué de 1 milliard USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent ».

Faits saillants financiers sélectionnés

¹ La base d'imposition comparable (BIC) est une mesure financière non définie par les PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 21 à 23 de ce communiqué de presse. Les intérêts créditeurs nets sur une base PCGR ont atteint 10,1  milliards USD, 10,8 milliards USD et 10,7 milliards USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement. Le chiffre d'affaires total, déduction faite des intérêts débiteurs, sur une base PCGR a atteint 22,6 milliards USD, 21,5 milliards USD et 23,2 milliards USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

² Le total des recettes, net de charges d'intérêts sur une base EPI hors AED net est une mesure financière non définie par les PCGR. Les gains (pertes) d'AED net se sont élevés 112 millions USD, (617) millions USD et (145) millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

Le revenu net d'intérêts, sur une base EPI, a baissé de 5 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, pour atteindre 10,3 milliards USD^A. Le déclin est dû au moindre rendement des titres de créance en raison d'un recul d'environ 540 millions USD des dépenses d'amortissement de la prime liées au marché. La marge autre que d'intérêt, à l'exclusion des ajustements liés au marché, a été de 2,36 % au premier trimestre 2014, comparé aux 2,30 % du premier trimestre 2013.

Le revenu non productif d'intérêt est resté inchangé par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, car le revenu bancaire hypothécaire plus faible et les recettes des comptes de négociations plus faibles ont été en grande partie compensés par des augmentations d'un exercice à l'autre des recettes d'investissement et de courtage, des revenus de placements en actions et des gains engendrés par la vente de titres de créance.

La provision pour créances irrécouvrables a baissé de 41 % par rapport au premier trimestre 2013 pour atteindre 1,0 milliard USD, en raison d'une meilleure qualité du crédit. Les montants nets passés par pertes et profits ont baissé de 45 % par rapport au premier trimestre 2013 pour atteindre 1,4 milliard USD, avec une chute de 0,62 % du ratio de ces montants au premier trimestre 2014 au lieu de 1,14 % lors de l'exercice précédent. Durant le premier trimestre 2014, la libération des réserves a été de 379 millions USD, comparé à une libération de réserves de 804 millions USD au premier trimestre 2013.

Les dépenses autres que d'intérêt ont atteint 22,2 milliards USD, comparé à 19,5 milliards USD durant le même trimestre de l'exercice précédent en raison de dépenses plus élevées liées aux litiges en matière d'hypothèques, partiellement compensées par la réduction d'autres frais liés aux actifs patrimoniaux et à la gestion hypothécaire (Legacy Assets and Services, LAS). Les frais de litiges, y compris 3,6 milliards USD liés au règlement avec la FHFA, ont atteint 6,0 milliards USD au premier trimestre 2014, comparé à 2,2 milliards USD au premier trimestre 2013. Le premier trimestre 2014 comprenait 1,0 milliard USD de dépenses liées aux coûts des rémunérations incitatives pour les salariés admissibles à la retraite, contre 0,9 milliard USD au premier trimestre 2013. À l'exclusion des frais de litiges et des coûts liés aux rémunérations incitatives des deux périodes, les dépenses autres que d'intérêt ont diminué de 1,2 milliard USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.

Les charges fiscales du premier trimestre 2014 ont atteint 405 millions USD sur une perte avant impôt de 681 millions USD. Ceci se compare à une prestation fiscale de 501 millions USD sur un revenu avant impôt de 2,0 milliards USD durant la période correspondante de l'exercice précédent. Au 31 mars 2014, la société comptait 238 560 employés à plein temps, soit une baisse de 9 % par rapport à l'exercice précédent et de 1,5 % par rapport au quatrième trimestre 2013.

Règlement avec la Financial Guaranty Insurance Co. (FGIC)

Bank of America est parvenue à un règlement avec la FGIC, ainsi qu'à des règlements séparés avec la Bank of New York Mellon, en tant que fiduciaire, concernant certains titres de second rang adossés à des hypothèques résidentielles (residential mortgage-backed securities ou RMBS) pour lesquels la FGIC avait fourni une assurance de garantie financière. Les règlements résolvent tous les litiges en cours entre la FGIC et la société, ainsi que les plaintes en cours ou potentielles déposées par la FGIC et le fiduciaire concernant des allégations de violation de représentation et de garanties et d'autres plaintes relatives à des titres de second rang adossés à des RMBS)pour lesquels la FGIC avait fourni une assurance de garantie financière.

Sept des règlements de fiducie ont déjà été résolus, et les deux règlements de fiducie restants sont soumis à l'approbation des investisseurs dans un processus qui devrait aboutir dans les prochains 45 jours. Bank of America a déjà effectué des paiements totalisant environ 900 millions USD dans le cadre du règlement avec la FGIC et des règlements de fiducie. La banque payera les 50 millions USD additionnels quand les deux règlements de fiducie restants seront résolus. Les coûts des règlements avec la FGIC et le fiduciaire sont couverts par les réserves précédemment établies. Avec ce règlement, Bank of America a résolu des litiges avec quatre rehausseurs de crédit.

Résultats par segment d'activité

La société déclare les résultats de ses cinq segments d'activité : Services bancaires aux particuliers et aux entreprises (Consumer and Business Banking - CBB), Services immobiliers aux particuliers (Consumer Real Estate Services - CRES), Gestion mondiale de patrimoine et d'investissements (Global Commonwealth and Investissement Management - GWIM), Services bancaires mondiaux et Marchés mondiaux, les autres opérations étant comptabilisées dans Autres postes.

Services bancaires aux particuliers et aux entreprises

⁽¹⁾ Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non définie par les PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d'autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 21 à 23 de ce communiqué de presse.

Faits saillants de l'exploitation

• Les soldes des dépôts moyens ont augmenté de 32,1 milliards USD, soit 6 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, pour atteindre 534,6 milliards USD. Cette augmentation est attribuable à la croissance des produits liquides due à un environnement à faibles taux d'intérêts et à l'effet moyen de 11,8 milliards USD des transferts de dépôts en provenance principalement du segment Gestion mondiale de patrimoine et d'investissements.
• Le nombre de clients actifs dans les services bancaires mobiles a augmenté de 19 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 15,0 millions USD, et plus de 10 % des transactions de dépôt sont à présent effectués par des dispositifs mobiles.
• Le taux total de crédits irrécouvrables nets du segment Cartes de crédit à la consommation aux États-Unis pour le premier trimestre 2014 a été de 3,25 %, et reste à un niveau historiquement bas.
• Le taux de rendement du capital alloué moyen a été de 22,8 percent durant le premier trimestre 2014, comparé aux 19,6 % du premier trimestre 2013.

Vue d'ensemble de la situation financière

Le segment Transactions avec la clientèle privée et services bancaires aux entreprises a enregistré un résultat net de 1,7 milliard USD, soit une hausse de 210 millions USD, ou de 15 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Le revenu autre que d'intérêt de 2,5 milliards USD a augmenté de 88 millions USD, principalement dû à un gain de désinvestissement de portefeuille.

La provision pour créances irrécouvrables a baissé de 140 millions USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 812 millions USD, ce qui reflète une amélioration constante de la qualité du crédit, due en partie à des défaillances plus faibles. Les charges hors intérêts ont diminué de 4 % ou 180 millions USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 4,0 milliards USD, principalement en réponse à la baisse des frais liés aux litiges et des frais d'exploitation.

Services immobiliers aux particuliers (SIP)

¹ Les charges autres que d'intérêt incluent des frais de litige de 5,8 milliards USD, 1,2 milliard USD et 2,0 milliards USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013.

Faits saillants de l'exploitation

• Bank of America a financé 10,8 milliards USD de prêts immobiliers résidentiels et de prêts sur avoir domiciliaire durant le premier trimestre 2014, aidant plus de 36 000 propriétaires à refinancer un prêt hypothécaire existant ou à acheter un logement via nos filières de détail. Ces prêts incluent plus de 3 300 hypothèques consenties à des premiers acheteurs et plus de 12 800 emprunteurs ayant des revenus faibles à modérés.
• Le nombre des nouvelles hypothèques a augmenté de 23 % à la fin du premier trimestre 2014 par rapport à la fin du quatrième trimestre 2013.
• Le nombre de prêts hypothécaires de premier rang en souffrance de plus de 60 jours gérés par le département LAS a chuté de 15 % au cours du premier trimestre 2014 pour atteindre 277 000 prêts par rapport à 325 000 à la fin du quatrième trimestre 2013, et a chuté de 58 % par rapport aux 667 000 prêts à la fin du premier trimestre 2013.
• Les charges hors intérêt des services LAS, à l'exclusion des litiges, ont diminué à 1,6 milliards USD au premier trimestre 2014 contre 2,6 milliards USD au même trimestre de l'exercice précédent.

Vue d'ensemble de la situation financière

Le segment Services immobiliers aux particuliers a déclaré une perte nette de 5,0 milliard USD au premier trimestre 2014, comparé à une perte nette de 2,2 milliard USD pour la même période en 2013, ce qui reflète une augmentation de 3,8 milliards USD des frais de litige. Le chiffre d'affaires a diminué de 1,1 milliard USD par rapport au premier trimestre 2013 pour atteindre 1,2 milliard USD, en raison principalement d'un déclin de 548 millions USD du revenu des services hypothécaires, ce qui reflète un portefeuille de services hypothécaires moins important et un déclin de 542 millions USD du revenu de production principale dû à un recul des montages de prêts.

Les constitutions de dossiers de premières hypothèques de CRES ont diminué de 65 % au quatrième trimestre 2014 par rapport à la même période en 2013, reflétant une baisse correspondante de la demande globale du marché pour les refinancements hypothécaires. Le revenu de production principale a diminué au premier trimestre 2014 pour atteindre 273 millions USD contre 815 millions USD au même trimestre de l'exercice précédent, en raison d'un volume plus faible et d'une réduction des marges.

La provision pour créances irrécouvrables a baissé de 310 millions USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 25 millions USD, principalement en réponse d'une amélioration continue des tendances des portefeuilles, y compris dans les prix de l'immobilier.

Les charges hors intérêts ont augmenté de 2,7 milliards USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 8,1 milliards USD, en raison d'une augmentation de 3,8 milliards USD des frais de litige, partiellement compensée par la compression du personnel des services LAS et la réduction d'autres dépenses liées à la gestion des défaillances.

Gestion mondiale de patrimoine et d'investissements (GMPI)

⁽¹⁾ Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non définie par les PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d'autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 21 à 23 de ce communiqué de presse.

² Le total des soldes clients est défini comme des actifs sous gestion, des actifs détenus, des actifs de courtage clients, des dépôts et des prêts clients (y compris les créances sur marge).

Faits saillants de l'exploitation

• La marge avant impôt a été de 25,6 % durant le premier trimestre 2014, comparé aux 25,9 % du même trimestre de l'exercice précédent. Il s'agit du cinquième trimestre d'affilée à plus de 25 %.
• Les frais de gestion d'actifs ont atteint un montant record de 1,9 milliard USD, soit une hausse de 18,4 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.
• Les soldes clients ont augmenté de 7 % pour atteindre 2,40 trillions, en réponse à la hausse des niveaux de marché et des entrées nettes. Au premier trimestre 2014, les flux d'actifs gérés à long terme de 17,4 milliards USD ont représenté le 19ème trimestre consécutif de flux positifs.
• Les soldes moyens de prêts ont augmenté de 9 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 115,9 milliards USD.

Vue d'ensemble de la situation financière

Le segment Gestion mondiale de patrimoine et d'investissements (Global Commonwealth and Investissement Management, GWIM) a déclaré un chiffre d'affaires net de 729 millions USD, soit une légère hausse par rapport au premier trimestre 2013, reflétant une solide performance continue des revenus et de faibles coûts de crédit.

Le chiffre d'affaires a augmenté de 3 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre un montant record de 4,5 milliards USD, en réponse à la hausse du revenu non productif d'intérêt lié à de meilleurs niveaux de marché et flux d'actifs à long terme sous gestion.

La provision pour pertes sur prêts est restée relativement stable par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Les charges hors intérêt ont augmenté de 3 % pour atteindre 3,4 milliards USD, en réponse partiellement à une hausse des dépenses liées aux revenus et des dépenses liées aux volumes ainsi qu'à des investissements additionnels dans la technologie pour soutenir l'activité.

Le rendement du capital alloué moyen a été de 24,7 % durant le premier trimestre 2014, soit un recul de 29,4 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, reflétant la stabilité des revenus ainsi que l'augmentation des allocations de capital.

Les soldes clients ont augmenté de 7 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 2,40 trillions USD, en raison principalement des niveaux plus élevés du marché, des flux de 44,8 milliards USD d'actifs à long terme sous gestion et d'une croissance des prêts à la clientèle de 9,5 milliards USD en fin de période. Les actifs sous gestion ont augmenté de 96,6 milliards USD, ou 13 %, par rapport au premier trimestre 2013 pour atteindre 841,8 milliards USD, en réponse à la valorisation du marché et aux flux d'actifs à long terme sous gestion. Les soldes de dépôts moyens ont diminué de 10,6 milliards USD par rapport au premier trimestre 2013 pour atteindre 242,8 milliards USD, du fait que les 2,4 milliards USD de croissance organique ont été compensés par un transfert de 13,0 milliards USD à CBB, principalement durant le premier trimestre 2013.

Services bancaires mondiaux

⁽¹⁾ Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non définie par les PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d'autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 21 à 23 de ce communiqué de presse.

Faits saillants de l'exploitation

• Bank of America Merrill Lynch (BAML) a maintenu sa position de leader dans le secteur des activités bancaires d'investissement, avec des frais de services bancaires d'investissement de 1,5 milliards, hors transactions autodirigées.
• BAML s'est classée parmi les trois plus grandes institutions financières mondiales en termes de prêts à effet de levier, créances de société de qualité investissement, titres adossés à des actifs, souscription d'actions ordinaires et prêts syndiqués durant le premier trimestre 2014^(C).
• Les soldes de prêts et crédit-baux moyens ont augmenté de 27,4 milliards USD, soit 11 %, par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 271,5 milliards USD, avec une croissance principalement dans les portefeuilles commerciaux et industriels et les portefeuilles immobiliers à usage commercial.

• Les dépôts moyens ont augmenté de 35,1 milliards USD, soit 16 %, par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 256,3 milliards USD, attribuable à une liquidité clients accrue.

Vue d'ensemble de la situation financière

Le segment Services bancaires mondiaux a déclaré un revenu net de 1,2 milliard USD au premier trimestre 2014, soit un recul de 45 millions USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, la hausse du chiffre d'affaires étant contrebalancée par une hausse des charges autres que d'intérêt et une hausse de la provision pour pertes de crédit. Le chiffre d'affaires de 4,3 milliards USD a grimpé de 6 %, par rapport au premier trimestre 2013, reflétant une hausse du revenu net d'intérêt attribuable à la croissance des soldes de prêts.

Le chiffre d'affaires du segment Services bancaires mondiaux aux entreprises a augmenté pour atteindre 1,6 milliard USD au premier trimestre 2014, soit une hausse de 127 millions USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, et le chiffre d'affaires du segment Services bancaires commerciaux mondiaux a augmenté de 80 millions USD pour atteindre 1,8 milliard USD. Ces résultats incluent le chiffre d'affaires de 1,9 milliards USD des Prêts commerciaux, en hausse de 116 millions USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, et le chiffre d'affaires de 1,5 milliard USD des Services mondiaux de trésorerie, en hausse de 91 millions USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Les frais bancaires des investissements du segment Services bancaires mondiaux, hors transactions autodirigées, sont restés stables par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.

La provision pour pertes sur prêts a augmenté de 116 millions USD par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 265 millions USD. L'augmentation des réserves du premier trimestre 2014 a atteint 282 millions USD, contre 81 millions USD au même trimestre de l'exercice précédent.

Les charges hors intérêt ont augmenté de 186 millions USD, ou 10 %, par rapport au même trimestre de l'année précédente, pour atteindre 2,0 milliards USD, principalement en raison d'investissements technologiques destinés aux Services mondiaux de trésorerie et aux plateformes de prêt, ainsi que du personnel additionnel en contact direct avec la clientèle et des frais de litige plus élevés.

Le rendement du capital alloué moyen a été de 16,2 % durant le premier trimestre 2014, soit un recul de 22,6 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, la stabilité des revenus ayant été compensée par des allocations accrues de capital.

Marchés mondiaux

¹ Durant le premier trimestre 2014, la gestion des dettes structurées et de l'AED associé a été transférée des Autres postes aux Marchés mondiaux pour mieux aligner le risque de performance de ces instruments. En conséquence, l'AED net représente le total combiné de l'AED net sur les produits dérivés et les dettes structurées. Certains résultats de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

² Le chiffre d'affaires total, net d'intérêts débiteurs, sur une base BIC, hors AED et le bénéfice net hors AED sont des mesures financières non définies par les PCGR. Les gains (pertes) d'AED net ont atteint 112 millions USD, (617) millions USD et (145) millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

³ Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non définie par les PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d'autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 21 à 23 de ce communiqué de presse.

n/s = non significatif

Faits saillants de l'exploitation

• Hors AED net^(F), le chiffre d'affaires des Ventes et négociations est resté relativement stable par rapport au premier trimestre 2013 à 4,1 milliards USD.
• Hors AED net^(H) , le chiffre d'affaires des Ventes et négociations de titres est resté stable par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. La société a continué à gagner des parts de marché comparé au même trimestre de l'exercice précédent.
• Hors AED net^(F), le rendement du capital alloué moyen a été de 14,8 % durant le premier trimestre 2014, comparé aux 16,3 % du premier trimestre 2013, reflétant un chiffre d'affaires net accompagné d'une hausse du capital alloué par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.

Vue d'ensemble de la situation financière

Le segment Marchés mondiaux a déclaré un résultat net de 1,3 milliard USD au premier trimestre 2014, comparé à 1,1 milliard USD au même trimestre de l'exercice précédent. Hors AED net^(F), le résultat net a atteint 1,2 milliard USD au premier trimestre 2014, une hausse de 3 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.

Le chiffre d'affaires du segment des Marchés mondiaux a augmenté de 235 millions USD, soit 5 %, par rapport au même trimestre de l'exercice précédent pour atteindre 5,0 milliards USD. Hors AED net^(F), le chiffre d'affaires a diminué de 22 millions USD pour atteindre 4,9 milliards USD car les baisses des taux et des devises ont été partiellement compensées par une meilleure performance du crédit et des titres.

Hors AED net^(G), le chiffre d'affaires du revenu fixe, des ventes de marchandises et des négociations de devises (FICC) a atteint 3,0 milliards USD au premier trimestre 2014, soit une baisse de 51 millions USD, ou de 2 %, par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, car les marchés de crédit sont demeurés forts mais les taux et les devises ont diminué en raison de la faiblesse des volumes et de la volatilité du marché. Les résultats de l'exercice précédent ont pris en compte l'impact d'une dépréciation de 450 millions USD liée au règlement d'un contentieux existant. En ajustant le trimestre de l'exercice précédent pour exclure cet impact négatif, le chiffre d'affaires FICC, hors AED net, a baissé de 15 % par rapport au premier trimestre 2013.

Hors AED net^(H), le chiffre d'affaires des Ventes et négoce d'actions a atteint 1,2 milliard USD, soit un résultat comparable à celui du même trimestre de l'exercice précédent. Le trimestre considéré a bénéficié des gains constants en parts de marché et des soldes plus élevés du financement client.

Les charges autres que d'intérêts sont restées stables par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, s'élevant à 3,1 milliards USD.

Autres postes¹

¹ Autres postes regroupent les activités ALM, les investissements de capitaux propres, les cartes de crédit à la consommation internationales, les entreprises en liquidation et autres. Les activités ALM englobent l'ensemble du portefeuille de prêts hypothécaires résidentiels et les titres de placement, les taux d'intérêt et les activités de gestion des risques des devises étrangères, y compris l'allocation du revenu net d'intérêt résiduel et l'impact de certaines méthodologies d'allocation et de l'inefficacité de la comptabilité de couverture.

²Le chiffre d'affaires inclut le revenu tiré des investissements de capitaux propres de 674 millions USD, 393 millions USD et 520 millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement et les gains sur les ventes des titres de créance de 357 millions USD, 363 millions USD et 67 millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

³ Durant le premier trimestre 2014, la gestion des dettes structurées et de l'AED associé a été transférée des Autres postes aux Marchés mondiaux pour mieux aligner le risque de performance de ces instruments. Certains résultats de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

Autres postes a déclaré une perte nette de 182 millions USD au premier trimestre 2014, comparé à une perte nette de 923 millions USD pour la même période de l'exercice précédent. L'amélioration est due principalement à une diminution de la provision pour les pertes de crédit principalement due à l'amélioration continue des tendances de portefeuille, y compris la hausse des prix de l'immobilier, des gains plus élevés sur la vente des titres de créance, et un revenu plus élevé d'investissement de portefeuille dû à un gain sur la vente de l'intérêt restant de la société dans un investissement. L'avantage fiscal a été affecté par la résolution de certaines questions fiscales ainsi que par la récurrence de postes à fiscalisation préférentielle comparé à la même période de l'exercice précédent.

Qualité du crédit

¹ Exclut les radiations de prêts PDR rachetés de 391 millions USD, 741 millions USD, et 839 millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

² Les ratios des montants nets passés par pertes et profits sont calculés en tant que montants nets passés par pertes et profits divisés par l'encours moyen des prêts et crédit-baux pour la période ; les résultats trimestriels sont annualisés.

³ Les ratios des prêts ou baux non performants et des propriétés saisies sont calculés sous forme de prêts ou baux non performants et des propriétés saisies, divisés par l'encours des prêts, baux et propriétés saisies en fin de période.

⁴ La provision pour ratios de pertes sur prêts et baux est calculée sur la base de la provision pour pertes sur prêts et baux, divisée par l'encours des prêts et baux en fin de période.

Remarque : Les ratios n'incluent pas les prêts comptabilisés selon l’option de la juste valeur pendant la période.

L'amélioration de la qualité du crédit s'est poursuivie au premier trimestre 2014, avec une baisse des montants nets passés par pertes et profits dans la plupart des principaux portefeuilles, et une diminution de la provision pour créances irrécouvrables par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Les prêts productifs défaillants de plus de 30 jours, à l'exclusion des prêts totalement assurés, ont baissé, par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, dans la plupart des principaux portefeuilles des clients, atteignant des niveaux bas record dans les portefeuilles des cartes de crédit aux États-Unis. Par ailleurs, la baisse des soldes réservables critiqués et des prêts, baux et propriétés saisies non productifs s'est poursuivie, avec un recul de 15 % et de 22 % par rapport à la même période de l'exercice précédent.

Les montants nets passés par pertes et profits ont atteint 1,4 milliards USD au premier trimestre 2014, en baisse par rapport aux 1,6 milliard USD du quatrième trimestre 2013 et aux 2,5 milliards USD du premier trimestre 2013.

La provision pour pertes de crédit a été de 1,0 milliard USD, soit une baisse de 704 millions USD par rapport au premier trimestre 2013. Au cours du premier trimestre 2014, la libération des réserves a été de 379 millions USD, contre 804 millions USD au premier trimestre 2013 La réduction de la provision est attribuable à l'amélioration du portefeuille, liée entre autres à une hausse des prix de l'immobilier, ainsi qu'à une baisse des niveaux des défaillances dans l'ensemble du portefeuille Prêts à la consommation. Cette réduction a été partiellement compensée par une augmentation de la provision pour pertes de crédit dans le portefeuille commercial alors que la baisse des montants nets passés par pertes et profits a été plus que compensée par un renforcement accru des réserves.

La provision pour pertes de crédit et crédit-baux au ratio annualisé de couverture des créances irrécouvrables nettes a été de 2,95 fois au premier trimestre 2014, comparé à 2,78 fois au quatrième trimestre 2013 et à 2,20 fois au premier trimestre 2013. Cette augmentation est attribuable à l'amélioration des montants nets passés par pertes et profits discutés ci-dessus. La provision sur le ratio annualisé de couverture des montants nets passés par pertes et profits, hors PDR, a été de 2,58 fois, 2,38 fois et 1,76 fois pour les mêmes périodes, respectivement.

Les prêts, crédit-baux non performants et propriétés saisies ont atteint 17,7 milliards USD au 31 mars 2014, en baisse par rapport à 17,8 milliards USD au 31 décembre 2013 et à 22,8 milliards USD au 31 mars 2013.

Gestion du capital et de la liquidité ^1,2,3

¹ Les ratios du capital en actions ordinaires sont préliminaires jusqu'à leur dépôt auprès de la Réserve Fédérale sur formulaire Y-9C.

² Le 1er janvier 2014, la réglementation de Bâle 3 est entrée en vigueur sous réserve des dispositions de transition principalement liées aux déductions réglementaires et aux ajustements affectant les actions ordinaires de 1ère catégorie et le capital de 1ère catégorie.

³ Les ratios de capitaux pro forma du T4/13 incluent l'impact estimé des dispositions de transition de Bâle 3 applicables à 2014 comme si elles étaient entrées en vigueur au T4/13, et représentent une mesure financière non définie par les PCGR.

⁴ Le ratio des capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires et la valeur comptable tangible par action sont des mesures financières non définies par les PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 21 à 23 de ce communiqué de presse.

Les normes de Bâle 3 sont entrées en vigueur pour la société le 1er janvier 2014, sous réserve des dispositions de transition principalement liées aux déductions de normalisation et aux ajustements affectant le capital en actions ordinaires de 1ère catégorie. Le ratio du capital en actions ordinaires de 1ère catégorie selon une approche normalisée des normes de Bâle 3 pour la mesure des actifs pondérés en fonction du risque a été de 11,8 %, au 31 mars 2014, en hausse par rapport au ratio pro forma de 11,7 % du 31 décembre 2013.

Approches entièrement intégrées de Bâle 3

Bien que les approches normalisées et avancées des normes de Bâle 3 entièrement intégrées ne prennent effet qu'en 2018, la société fournit aux investisseurs les estimations suivantes à des fins de comparaison.

Le ratio estimé de capital en actions ordinaires de 1ère catégorie selon une approche normalisée des normes de Bâle 3 entièrement intégrées a atteint 9,3 % le 31 mars 2014, en hausse par rapport aux 9,1 % du 31 décembre 2013.

Le ratio estimé de capital en actions ordinaires de 1ère catégorie selon une approche avancée des normes de Bâle 3 entièrement intégrées a été de 9,9 %, en baisse par rapport aux 10,0 % du 31 décembre 2013, ceci s'expliquant principalement par une augmentation des actifs opérationnels pondérés en fonction du risque durant la période.

Relativement à la règle définitive et à l'avis de proposition de règlementation publiés le 8 avril avec prise d'effet en 2018 ^(E), la société a estimé que les ratios d'effet de levier supplémentaire étaient supérieurs aux 5 % du minimum requis pour le ratio d'effet de levier supplémentaire de la société de portefeuille bancaire et aux 6 % du minimum requis pour le ratio d'effet de levier supplémentaire des filiales de la société bancaire mère.

Le 31 mars 2014, l'excédent mondial de sources de liquidités a atteint 427 milliards USD contre 376 milliards USD le 31 décembre 2013 et 372 milliards USD le 31 mars 2013. La dette à long terme a atteint 255 milliards USD le 31 mars 2014, une hausse par rapport aux 250 milliards USD du 31 décembre 2013 et aux 280 milliards USD du 31 mars 2013. Le délai nécessaire au financement a atteint 35 mois le 31 mars 2014, au lieu de 38 mois le 31 décembre 2013 et 29 mois le 31 mars 2013.

Le montant des actions ordinaires émises et en circulation en fin de période a atteint 10,53 milliards USD le 31 mars 2014, contre 10,59 milliards USD le 31 décembre 2013, et 10,82 milliards le 31 mars 2013. Durant le premier trimestre 2014, environ 87 millions d'actions ordinaires ont été rachetées pour un montant d'environ 1,4 milliards USD à un prix moyen de 16,63 USD par action.

Le 26 mars, la société a annoncé qu'elle envisageait d'augmenter son dividende d'actions ordinaires trimestriel à $0,05 par action, à partir du deuxième trimestre 2014. En outre, le conseil d'administration a autorisé un nouveau programme de rachat d'actions ordinaires d'un montant de 4,0 milliards USD. Cette autorisation, qui couvre des actions ordinaires et des garanties, remplace le programme de rachat de valeurs de l'exercice précédent qui a expiré le 31 mars 2014.

La valeur comptable tangible par action^(I) a atteint 13,81 USD le 31 mars 2014, comparé à 13,79 USD le 31 décembre 2013 et à 13,36 USD le 31 mars 2013. La valeur comptable par action a atteint 20,75 USD le 31 mars 2014, comparé à 20,71 USD le 31 décembre 2013 et à 20,19 USD le 31 mars 2013.

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Remarques finales

Une base d'imposition comparable (EPI) est une mesure financière non définie par les PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 23 de ce communiqué de presse. Les intérêts créditeurs nets sur une base PCGR ont été de 10,1 milliards USD, 10,8 milliards USD et 10,7 milliards USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement. Le chiffre d'affaires total, déduction faite des intérêts débiteurs, sur une base PCGR ont été de 22,6 milliards USD, 21,5 milliards USD et 23,2 milliards USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

B Le total des recettes, net de charges d'intérêts sur une base EPI hors DVA est une mesure financière non définie par les PCGR. Les gains (pertes) d'AED net ont atteint 112 millions USD, (617) millions USD et (145) millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

C Classifications selon Dealogic au 1er avril 2014.

D Les ratios des capitaux propres de 1ère catégorie selon Bâle 3 sur une base entièrement intégrée sont des mesures financières non définie par les PCGR. Pour un rapprochement des mesures financières PCGR, voir la page 18 de ce communiqué. Les estimations sur une base entièrement intégrée en vertu de Bâle 3 pour le 31 mars 2014 sont calculées conformément à l'approche avancée définitive des règles de Bâle 3 récemment publiées par la Réserve fédérale, présumant toutes les approbations du modèle réglementaire, à l'exception de la réduction potentielle des actifs pondérés en fonction du risque résultant du retrait de la Mesure du risque global.

E Le ratio d'effet de levier supplémentaire inclut l'augmentation estimée de l'exposition à l'effet de levier supplémentaire conformément à la Proposition de réglementation approuvée le 8 avril 2014. Pour le premier trimestre 2014, le ratio d'effet de levier supplémentaire est mesuré en utilisant le capital de 1ère catégorie calculé selon Bâle 3 sur une base entièrement intégrée divisé par la moyenne simple de la somme des actifs figurant au bilan et de certaines expositions hors-bilan, y compris, notamment, les transactions de financement de titres et d'instruments dérivés à la fin de chaque mois durant le trimestre.

F Le chiffre d'affaires des ventes et du négoce, le chiffre d'affaires international et le revenu net (perte nette), hors impact AED, sont des mesures financières non définies par les PCGR. Les gains (pertes) d'AED net ont été de 112 millions USD, (617) millions USD et (145) millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement. Durant le premier trimestre 2014, la gestion des dettes structurées et de l'AED associé a été transférée des Autres postes aux Marchés mondiaux pour mieux aligner le risque de performance de ces instruments. Comme tel, l'AED net représente le total combiné de l'AED net sur les produits dérivés et les dettes structurées. Certains résultats de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

G Les recettes du revenu fixe, des ventes de marchandises et des négociations de devises hors AED net, sont des mesures financières non définies par les PCGR. Les pertes AED des Titres à revenu fixe, devises et marchandises ont atteint 80 millions USD, (535) millions USD et (149) millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

H Le revenu des ventes et négociations, hors impact AED net, est une mesure financière non définie par les PCGR. Les gains (pertes) d'AED net sur les titres ont atteint 32 millions USD, (82) millions USD et 4 millions USD pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013, respectivement.

I La valeur comptable tangible par action ordinaire est une mesure non définie par les PCGR. Il se peut que d'autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 23 de ce communiqué de presse.

Remarque : Brian Moynihan, président directeur général, et Bruce Thompson, directeur financier, discuteront des résultats du premier trimestre 2014 à l'occasion d'une téléconférence qui se tiendra à 8h30 heure de New York, aujourd'hui. La présentation et les documents à l'appui sont accessibles en ligne sur le site Web des relations avec les investisseurs de Bank of America à l'adresse http://investor.bankofamerica.com. Pour une connexion à la téléconférence, en mode audio uniquement, composez le 1.877.200.4456 (États-Unis) ou le 1.785.424.1732 (international), puis le code de la conférence :  79795. Veuillez appeler 10 minutes avant le début de la téléconférence.

Une retransmission sera disponible via une webémission sur le site de Bank of America à la rubrique « Relations avec les Investisseurs »Investor Relations. Une retransmission téléphonique sera également disponible à partir de midi le 16 avril jusqu'à minuit, le 24 avril, en appelant le 800.753.8546 (États-Unis) ou le 1.402.220.0685 (pour l'international).

Bank of America
Bank of America est l’une des plus importantes institutions financières internationales, offrant aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises ainsi qu’aux grandes sociétés une gamme complète de produits et services bancaires, d’investissement, de gestion d’actifs, ainsi que d’autres produits et services de gestion financière et des risques. La société offre un service de proximité inégalé aux États-Unis, desservant près de 49 millions de particuliers et de petites entreprises avec environ 5 100 agences bancaires de détail et environ 16 200 distributeurs automatiques de billets, ainsi qu'une banque en ligne primée servant 30 millions d'utilisateurs actifs et plus de 15 millions d'utilisateurs mobiles. Parmi l’une des plus importantes sociétés de gestion de patrimoine, Bank of America est un chef de file mondial des services bancaires aux entreprises et des services d’investissement et de négoce couvrant un large éventail de classes d’actifs et s’adressant aux sociétés, gouvernements, institutions et particuliers dans le monde entier. Bank of America offre à près de 3 millions de propriétaires de petites entreprises la meilleure assistance du secteur grâce à une gamme de produits et services en ligne innovants et faciles à utiliser. La société dessert sa clientèle via des opérations déployées dans plus de 40 pays. Les actions de Bank of America Corporation (NYSE :  BAC) sont cotées à la bourse de New York.

Énoncés prospectifs
Bank of America et sa direction peuvent formuler certains énoncés constituant des « énoncés prospectifs » au sens de la loi Private Securities Litigation Reform Act de 1995. Ces énoncés sont identifiables par le fait qu'ils ne mentionnent pas strictement des faits historiques ou actuels. Ces énoncés prospectifs utilisent souvent des termes, tels que « prévoit », « cible », « s'attend à », « estime », « envisage », « planifie », « a pour objectif de », « pense », « continue » et autres expressions du même genre, ou des verbes au futur ou au conditionnel, tels que « devoir », « pouvoir » et « être ». Les énoncés prospectifs formulés représentent les attentes, plans ou prévisions actuels ou les prévisions de résultats et bénéfices futurs de Bank of America, et d'autres questions semblables. Ces énoncés ne garantissent pas les résultats et les performances futurs et comportent certains risques, incertitudes et hypothèses difficiles à prévoir et souvent incontrôlables par Bank of America. Les résultats réels peuvent sensiblement différer des résultats exprimés ou impliqués par l’une de ces déclarations prospectives.

Il est conseillé au lecteur de ne pas trop se fier outre mesure aux énoncés prospectifs et de considérer tous les risques et impondérables mentionnés ci-dessous ainsi que ceux qu’analyse en détail la rubrique 1A, « Risk Factors » du rapport annuel 2013 de Bank of America sur formulaire 10-K, ainsi que tout autre document ultérieur déposé par Bank of America auprès de la Commission sur les valeurs immobilières : la capacité de la Société à résoudre les revendications de rachat sur déclarations et garanties déposées par les rehausseurs de crédit, les assureurs privés, et d'autres investisseurs, y compris à la suite de toute décision de justice défavorable, et le risque que la Société soit confrontée à des plaintes associées à la gestion hypothécaire, aux obligations, à la fraude, aux indemnités ou à d’autres réclamations initiées par une ou plusieurs compagnies sponsorisées par le gouvernement, par des rehausseurs de crédit, des assureurs privés et par d’autres investisseurs ; l’éventualité de ne pas obtenir l’approbation définitive par le tribunal des règlements négociés ; l’éventualité que la décision du tribunal concernant le règlement avec la banque BNY Mellon soit, entièrement ou partiellement, annulée en appel ; l’éventualité que surviennent des sinistres, des dommages-intérêts, des pénalités et amendes résultant de litiges en cours ou futurs et de procédures réglementaires, y compris des procédures engagées par le département américain de la Justice, les procureurs généraux et les autres membres du Groupe de travail RMBS établi par l'Équipe spéciale de lutte contre la fraude financière liée aux problèmes de crédits hypothécaires ; l’éventualité que la Commission européenne impose des mesures correctives dans le cadre de son enquête sur les pratiques anticoncurrentielles de la Société ; le résultat possible des enquêtes et investigations concernant le LIBOR, et d'autres taux de référence et de change ; l’éventualité que surviennent des pertes sur déclarations et garanties futures en excédent du passif enregistré par la Société et de l'éventail estimé de pertes possibles pour les déclarations et garanties ; l’éventualité que la Société ne recouvre pas ses réclamations d’assurance hypothécaire ; l’éventualité que surviennent de futures réclamations, dommages-intérêts, pénalités et amendes en excédent du passif enregistré par la Société et de l'éventail estimé de pertes possibles pour les expositions de contentieux ; les incertitudes quant à la stabilité financière des juridictions étrangères, le risque que ces juridictions ne puissent pas rembourser leur dette souveraine et les contraintes associées aux marchés financiers, à l'euro et à la zone euro, et les expositions directes, indirectes et opérationnelles de la Société à de tels risques ; les incertitudes liées au calendrier et au rythme de la politique de la Réserve fédérale en matière de diminution de l’assouplissement quantitatif, et l'impact sur les taux d'intérêt mondiaux, les taux de change et les conditions économiques dans un certain nombre de pays ; la possibilité d'enquêtes ou d’investigations futures sur les activités de saisie en cours ou complétées ; l’éventualité que des retards inattendus dans les activités de saisie aient une incidence sur le taux de réductions des coûts liés à la gestion des défaillances ; les incertitudes concernant le calendrier et l’impact des exigences réglementaires (y compris celles de Bâle 3) en termes de capital et de liquidités ; l'impact négatif sur les activités et les bénéfices de la Société de la Réforme Dodd-Frank concernant Wall Street et du Consumer Protection Act, y compris suite à des interprétations et des réglementations supplémentaires et le succès des actions de la Société pour atténuer de tels impacts ; l'impact potentiel de la mise en œuvre et du respect de la règle Volcker ; l'impact potentiel de la future règlementation sur les produits dérivés ; les changements défavorables dans les notes de crédit attribuées à la Société par les principales agences de notation de crédit ; les estimations de juste valeur de certains actifs et passifs de la société ; des atteintes à la réputation de la Société pouvant résulter de la publicité négative, des amendes et des pénalités de violations de la réglementation et des procédures judiciaires ; l'aptitude de la Société à réaliser pleinement les économies de coûts et d’autres bénéfices anticipés du Projet New BAC, y compris en conformité avec les délais actuels anticipés ; une panne ou une défaillance opérationnelle ou de sécurité des systèmes ou des infrastructures de la Société, ou de tiers avec lesquels nous exerçons nos activités, y compris à la suite de cyber-attaques ; l'impact sur les activités de la Société, sur sa situation financière et ses résultats d'exploitation d'un contexte potentiel de taux d'intérêt plus élevés ; et d’autres problématiques similaires.

Ces déclarations prospectives ne valent qu’à la date de leur publication et Bank of America ne s’engage aucunement à actualiser l’une de ces déclarations prospectives afin de refléter l’effet des circonstances ou des événements survenus après la date de publication de la déclaration prospective.

BofA Global Capital Management Group  LLC (BofA Global Capital Management) est une division de gestion d'actifs de Bank of America Corporation. Les entités BofA Global Capital Management offrent des services et des produits de gestion d'investissement aux investisseurs institutionnels et individuels.

Bank of America Merrill Lynch est le nom commercial des activités Services bancaires mondiaux et Marchés mondiaux de Bank of America Corporation. Les prêts, produits dérivés et autres activités bancaires commerciales sont effectuées par des filiales de Bank of America Corporation, y compris Bank of America, N.A., qui fait partie de la FDIC. Les activités liées aux titres, aux conseils financiers et autres activités bancaires d'investissement sont exercées par des banques d'investissement affiliées appartenant à Bank of America Corporation (« Banques d'investissement affiliées »), parmi lesquelles figurent Merrill Lynch, Pierce, Fenner & Smith Incorporated, qui sont des sociétés de courtage agréées membres de la FINRA et de la SIPC. Les produits d’investissement offerts par les Banques d’investissement affiliées :  Ne sont pas assurés par la FDIC * Peuvent perdre de la valeur * Ne sont pas garantis par une banque. Les courtiers-négociants de Bank of America Corporation ne sont pas des banques mais des entités légales séparées de leurs affiliés bancaires. Les obligations des courtiers-négociants sont distinctes de celles de leurs affiliés bancaires (sauf indication contraire explicite) et ces affiliés bancaires ne sont pas responsables des titres vendus, offerts ou recommandés par les courtiers-négociants. Ce qui précède vaut également pour d'autres sociétés affiliées qui ne sont pas des banques.

Pour d'autres actualités sur Bank of America, veuillez consulter la salle de presse à l'adresse http://newsroom.bankofamerica.com.

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(1) Les bénéfices (pertes) dilués par action ordinaire excluent tout instrument de capitaux propres dont l'effet est antidilutif sur les bénéfices par action. Le nombre d'instruments de capitaux propres avec effet antidilutif a été plus élevé durant le premier trimestre 2014 en raison de la perte nette.

(2) Le rendement des capitaux propres tangibles moyens et la valeur comptable tangible par action ordinaire sont des mesures financières non définies par les PCGR. Nous pensons que l’utilisation de ces mesures financières non définies par les PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de la Société. Il est possible que d'autres entreprises définissent ou calculent les mesures financières non PCGR différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 21 à 23.

(3) Les ratios n'incluent pas les prêts comptabilisés selon l’option de juste valeur pendant la période. Les ratios des montants passés par pertes et profits sont annualisés pour la présentation trimestrielle.

(4) Les soldes ne comprennent pas les cartes de crédit en souffrance des particuliers, les prêts aux particuliers garantis par des biens immobiliers dont les remboursements sont assurés par la Federal Housing Administration et les accords de confirmation à long terme assurés par les individus (prêts immobiliers pleinement assurés), et en général, les autres prêts aux particuliers et commerciaux non garantis par des biens immobiliers ; les prêts douteux rachetés, même si le client est en souffrance ; les prêts non performants détenus en vue de la vente ; les prêts non performants consentis en vertu de l'option de juste valeur et les prêts de restructuration de dette de débiteurs n'accumulant pas d'intérêt supprimés des portefeuilles douteux avant le 1er janvier 2010).

(5) Les ratios du capital réglementaire sont préliminaires jusqu'au dépôt auprès de la Réserve fédérale sur le formulaire Y-9C.

(6) Le 1er janvier 2014, les normes de Bâle 3 ont pris effet, sous réserve des dispositions de transition principalement liées aux déductions de normalisation et aux ajustements affectant le capital en actions ordinaires de 1ère catégorie et le capital de 1ère catégorie. Nous avons présenté un bilan selon les normes de Bâle 1 (qui prenait en compte les règles définitives du risque de marché) les 31 décembre 2013 et 31 mars 2013.

(7) Sur une base pro-forma, selon les dispositions de transition de l'approche normalisée vers Bâle 3 (transition normalisée vers Bâle 3), le capital en actions ordinaires de 1ère catégorie et les actifs pondérés en fonction du risque du quatrième trimestre 2013 auraient atteint 153 502 millions USD et 1 315 994 millions USD.

(8) Le ratio du capital en actions ordinaires de 1ère catégorie est égal au capital de 1ère catégorie à l'exclusion des actions privilégiées, des titres fiduciaires privilégiés, des titres hybrides et des participations minoritaires, divisé par les actifs pondérés en fonction des risques.

(9) Le ratio des capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires est égal aux capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires en fin de période, divisés par les immobilisations corporelles en fin de période. Les capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires sont équivalents aux capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires en fin de période, divisés par les immobilisations corporelles de fin de période. Les capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires et les immobilisations corporelles sont des mesures financières non-PCGR. Nous pensons que l’utilisation de ces mesures financières non définies par les PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de la Société. Il est possible que d'autres entreprises définissent ou calculent les mesures financières non PCGR différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 21 à 23.

(10) Sur la base des approches avancées de Bâle 3, présumant toutes les approbations du modèle réglementaire, à l'exception de la réduction potentielle des actifs pondérés en fonction du risque résultant du retrait de la Mesure du risque global.

n/s = non significatif

Certains montants de la période précédente ont été reclassés parmi les segments pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

La Société évalue ses activités à l'aide d'une base équivalente pleinement imposable, une mesure financière non définie par les PCGR. La Société estime que la gestion des activités avec un revenu net d'intérêt sur une base équivalente pleinement imposable donne une idée plus précise de la marge d'intérêts à des fins de comparaison. Le chiffre d'affaires total, net des charges d’intérêts, inclut le revenu net d'intérêt sur une base équivalente pleinement imposable et le revenu autre que d'intérêts. La Société considère les ratios et les analyses connexes (à savoir, les ratios d'efficacité et le rendement net d'intérêt) sur une base équivalente pleinement imposable. Afin de dériver la base équivalente pleinement imposable, le revenu net d'intérêt est ajusté pour refléter le revenu non imposable sur une base comparable hors taxes avec une augmentation correspondante de la charge d'impôt sur le revenu. Dans le cadre de ce calcul, la Société utilise le taux d'imposition fédéral prévu par la loi de 35 %. Cette mesure garantit la comparabilité du revenu net d'intérêt émanant des sources imposables et non imposables. Le ratio d'efficacité mesure les coûts consacrés pour générer un dollar de chiffre d'affaires, et le rendement net d'intérêt mesure les points de base perçus par la Société sur le coût des fonds.

La Société évalue également ses activités en fonction des ratios suivants qui prennent en compte les fonds propres tangibles, une mesure financière non définie par les PCGR. Les fonds propres tangibles représentent le montant rajusté des fonds propres des actionnaires ou des capitaux propres attribuables aux actionnaires ordinaires qui a été réduit par les écarts d'acquisition et les actifs incorporels (à l'exception des droits de gestion hypothécaires), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. Le rendement des capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires ordinaires mesure la contribution aux résultats de la Société sous forme de pourcentage des capitaux propres moyens rajustés attribuables aux actionnaires ordinaires. Le ratio des capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires représente les capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires ordinaires en fin de période, divisés par le total des actifs moins les écarts d'acquisition et des actifs incorporels (hors droits de gestion hypothécaires), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. Le rendement des capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires ordinaires mesure la contribution aux résultats de la Société sous forme d’un pourcentage des capitaux propres moyens ajustés attribuables aux actionnaires ordinaires. Le ratio des fonds propres tangibles représente le total des capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires en fin de période, divisé par le total des actifs moins les écarts d'acquisition et les actifs incorporels (hors droits de gestion hypothécaire), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. La valeur comptable tangible par action ordinaire représente les capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires ordinaires divisés par les actions ordinaires en circulation en fin de période. Ces mesures servent à évaluer l'utilisation des actions par la Société. De plus, les modèles de rentabilité, relationnels et d'investissements ont tous recours au rendement sur les capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires ordinaires comme mesures clés pour soutenir nos objectifs de croissance globaux.

En outre, la Société évalue ses résultats par segment d'exploitation sur la base des mesures qui utilisent le capital alloué moyen. Pour allouer le capital à ses segments d'exploitation, la Société utilise une méthodologie qui considère l'effet des besoins en capital règlementaire en plus des modèles de capital internes fondés sur le risque. Les modèles internes du capital à risque de la Société utilisent une méthodologie ajustée en fonction du risque intégrant les éléments de risque de crédit, du marché, des taux d'intérêt, commercial et opérationnel et commercial de chaque segment. Le rendement du capital alloué moyen est calculé en divisant le revenu net ajusté en fonction du coût des crédits sur fonds et revenus et certaines charges liées aux immobilisations incorporelles, par le capital moyen. Le capital alloué, le capital et les rendements connexes sont des mesures financières non définies par les PCGR. Le capital alloué est sujet à modification et la société procède à des ajustements en fonction de multiples considérations, dont, notamment et sans limitation, les expositions et le profil de risque de ses segments d'activité, les contraintes réglementaires et les plans stratégiques. Dans le cadre de ce processus, durant le premier trimestre 2014, la Société a ajusté le montant du capital alloué à ses segments d'activité. Ce changement a engendré une réduction du capital non alloué qui se reflète dans le segment Autres postes, ainsi qu'une augmentation du montant du capital alloué aux segments d'activité. Les périodes antérieures n'ont pas été affectées.

Consulter les tableaux ci-dessous et les pages 22 à 23 pour un rapprochement de ces mesures financières non-PCGR avec les mesures financières définies par les PCGR pour les trois mois clos les 31 mars 2014, 31 décembre 2013 et 31 mars 2013. La Société pense que l’utilisation de ces mesures financières non définies par les PCGR permet une évaluation plus claire de ses résultats. Il se peut que d'autres entreprises définissent ou calculent leurs données financières supplémentaires différemment.

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

(1) Aucun ajustement du revenu net (perte) déclaré ou des capitaux propres alloués moyens pour le segment Services immobiliers aux particuliers.

(2) Représente le coût des fonds, des crédits sur les bénéfices et de certaines dépenses liées aux immobilisations incorporelles.

(3) Les capitaux propres alloués moyens sont composés du capital alloué moyen plus le capital pour la portion des écarts d'acquisition et des immobilisations incorporelles qui a été spécialement attribué au segment d'activité.

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

Il s'agit d'informations préliminaires fondées sur les données de la société disponibles au moment de la présentation.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.