Les économies de 1,5 milliard de dollars en trois ans constituent un objectif "pro forma", a dit Johannes Dietsch au journal allemand Börsen-Zeitung.

"La base pour les synergies est désormais plus basse. Nous fournirons une mise à jour sur le sujet des synergies", a-t-il déclaré.

Pour obtenir le feu vert des autorités de la concurrence au rachat de Monsanto, Bayer a notamment accepté de céder des activités dans les semences à son compatriote BASF.

Bayer continue de prévoir une augmentation de capital, a dit Johannes Dietsch, tout en refusant d'en préciser l'ampleur.

Cet appel au marché coïncidera à peu près avec la finalisation du rachat de Monsanto et n'interviendra pas avant le 25 mai, a-t-il déclaré.

Immédiatement après cette acquisition, Bayer s'attachera à réduire son niveau d'endettement, a poursuivi Johannes Dietsch.

(Edward Taylor; Bertrand Boucey pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Monsanto, Bayer, BASF