"On va continuer à se battre, n'écoutez surtout pas les balivernes du syndicat, sachez que nous irons au tribunal administratif et que nous obtiendrons beaucoup d'argent, je pense que c'est comme ça que ça va se terminer", a déclaré à la presse Gilles Alix, président d'Autolib' SAS, à l'issue du conseil syndical.

Il a regretté la décision de la ville de Paris, majoritaire au sein du syndicat. "Ce soir c'est une grande tristesse pour le service (...) et les contribuables", a-t-il déclaré.

(Julie Carriat, édité par Yves Clarisse)