Le PDG Per Hellberg a tout de même tenté de rassurer en expliquant qu'en "excluant les éléments non récurrents, notre activité s'est développée comme nous l'avions prévu au quatrième trimestre". En tout, ce sont près de 32 millions d'euros de dépréciations d'actifs qui ont été effectuées, mais cela n'aura aucun impact sur la trésorerie du groupe.

Dans la branche Casino, certains actifs acquis en 2016 ont été reclassés en produits inactifs (13,2 millions d'euros de dépréciation). Du côté des services financiers, 17,9 millions d'euros de dépréciations ont été effectuées sur des actifs acquis au cours de la période 2017-2018. Mais depuis, les opportunités commerciales au sein de l'UE se sont réduites (options binaires interdites, réglementation plus stricte sur l'effet de levier des CFD, hausse de la volatilité du marché des crypto-monnaies...). 

De son côté, le chiffre d'affaires du dernier trimestre a été de 26,6 millions d'euros, légèrement plus faible que l'année précédente à 27,3 millions d'euros.