L'équipementier automobile allemand a ajouté qu'il établissait le nombre de véhicules ainsi que les pays concernés. La plupart des composants en question sont vendus depuis 2016.

Une directive de l'Union européenne définit la quantité du plomb et celle d'autres métaux lourds autorisées dans les composants.

"La manipulation du véhicule, les émissions et la sécurité ne sont pas affectés par l'utilisation des composants en question", déclare Continental dans un communiqué.

Le groupe dit travailler en concertation avec le ministère de l'Environnement du Land de Basse-Saxe, où se trouve son siège, pour ramener la quantité du plomb sous la limite autorisée.

(Tom Sims, Benoit Van Overstraeten pour le service français)