En mai, Crystal Amber avait révélé avoir pris une participation de 3,11% dans la société qu'il jugeait "hautement vulnérable" après la perte, en avril, du contrat des futurs passeports britanniques au profit du franco-néerlandais Gemalto, spécialiste de la sécurité numérique.

(Noor Zainab Hussain à Bangalore, Véronique Tison pour le service français)