Ce transfert de 1,1 milliard de dollars pourrait être finalisé d'ici la fin de l'année, ajoute l'agence de presse.

Nissan, qui fabrique des voitures avec la société chinoise Dongfeng Motor depuis 2003, réinvestit les bénéfices pour éviter les taxes, a déclaré l'une des sources. Rapatrier ses fonds au Japon donnerait une flexibilité financière à Nissan, au cas où l'alliance tripartite avec Renault et Mitsubishi Motors évoluerait mal.

"Nissan n'envisage ni n'entreprend aucun transfert, à l'exception de ceux qui seraient communément effectués dans le cadre de ses activités", déclare le groupe dans un communiqué, refusant de préciser s'il transfère de l'argent en provenance de Chine.

"L'idée que ce transfert est inhabituel est sans fondement", ajoute-t-il.

NOTE: Ces informations n'ont pas été vérifiées par Reuters, qui ne garantit pas leur exactitude.

(Bureau de Paris, Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français, édité par Benoit Van Overstraeten)