"Electrabel serait à même d’accompagner plus étroitement encore la transition énergétique voulue par le pays tout en restant comme c’est le cas aujourd’hui en situation d’assumer pleinement ses obligations, de couverture, de coût de démantèlement et de gestion de l’aval de cycle nucléaire", souligne le groupe dans un communiqué.

"La Belgique est une géographie historique importante pour le groupe, et Engie a la volonté d’accompagner la transition énergétique dans le pays en collaboration étroite avec les pouvoirs publics", ajoute-t-il.

"Dans ce cadre, Engie analyse un certain nombre d’options pour ses activités en Belgique en vue de renforcer l’ancrage territorial de celles-ci", ajoute-t-il précisant qu'il poursuite les discussions avec les autorités belges.

"Elles sont toujours en cours et s’articulent autour du recentrage d’Electrabel sur un périmètre dont la Belgique serait le centre de gravité", précise Engie.

Sur son site internet, le quotidien belge L'Echo écrit que "Paris a concocté un plan ambitieux pour diminuer son risque sur Electrabel, avec "au menu: une réduction drastique du périmètre d’Electrabel et un cadre strict autour des provisions nucléaires".

(Jean-Michel Bélot)