"Nous acceptons que [les réformes] nous obligent à payer plus d'impôts et à les payer à différents endroits dans un nouveau cadre", devrait déclarer M. Zuckerberg dans un discours qu'il doit prononcer demain lors de la conférence de Munich sur la sécurité. "Je comprends qu'il y ait une certaine frustration quant à la façon dont les entreprises technologiques sont taxées en Europe. Nous voulons aussi une réforme fiscale et je suis heureux que l'OCDE se penche sur cette question", peut-on encore lire dans le texte du discours. 

Des discussions sont en cours au sein de l'OCDE. En cas d'échec, l'Europe a d'ores et déjà fait savoir par la voix de Thierry Breton, le Commissaire au marché intérieur, qu'elle proposera son propre dispositif.