Face au scepticisme de l'opinion publique française, de l'Etat, et sans doute de sa cible, Fiat-Chrysler a retiré son offre de fusion à 30 milliards d’euros avec Renault. Le groupe italien estime que "les conditions politiques en France ne sont actuellement pas réunies pour qu’une telle combinaison voie le jour avec succès". Un peu plus tôt, le constructeur français avait indiqué que son conseil d’administration n’avait « pas été en mesure de prendre une décision en raison du souhait exprimé par les représentants de l’Etat français de reporter le vote à un conseil ultérieur ».

Valeurs citées dans l'article : Fiat Chrysler Automobiles, Renault