Les moteurs construits par CFM, coentreprise entre General Electric et Safran, équipent 13.400 monocouloirs et l'Association internationale du transport aérien (Iata) espère que cet accord sera profitable à ses membres, aux clients de CFM, aux loueurs et aux fournisseurs de pièces et de services de maintenante.

Par le biais de cet accord, CFM ouvrira à des prestataires tiers ses moteurs CF56 et LEAP afin qu'ils puissent fournir des pièces et des prestations de MRO.

"Nous pensons que plus de concurrence aboutira à réduire les charges d'exploitation des compagnies aériennes et permettra de conserver des billets abordables; nous espérons que cet accord sera un exemple à suivre pour les autres constructeurs", a dit mardi Alexandre de Juniac, directeur général de l'Iata.

Conséquence de cet accord, l'association a parallèlement retiré une plainte qu'elle avait déposée auprès de la commission européenne en mars 2016.

(Victoria Bryan, Wilfrid Exbrayat pour le service français, édité par Marc Joanny)

Valeurs citées dans l'article : Safran, General Electric Company