Les investisseurs sont préoccupés par le départ abrupt de Michaelis, qui dirige la société depuis quatre ans. Keller a toutefois réaffirmé ses anticipations annuelles, même si ses activités en Asie-Pacifique souffrent et en Amérique du Nord sont plus difficiles que prévu. C'est le directeur financier, Michael Speakman, qui assurera l'intérim.

Les analystes de Jefferies n'ont pas réduit leurs prévisions, mais signalent que le départ du CEO et le ton prudent vont peser.