L'opération porte sur 4,3 milliards de livres d'actifs environ, dont 300 millions sont dépréciés, explique Lloyds, et ils ont dégagé une perte avant impôt d'une quarantaine de millions de livres sur l'exercice annuel clos fin décembre.

La banque ajoute que l'opération se traduira par une perte avant impôt de quelque 110 millions de livres, susceptible d'être imputée dans les comptes du premier semestre. En revanche, elle aura aussi pour effet d'améliorer plus que prévu le ratio de fonds propres CET1, de quelque 25 points de base.

A la suite de cette transaction, qui doit être bouclée au second semestre, Lloyds dit qu'elle n'aura plus qu'une présence minimale en Irlande.

(Simon Jessop; Wilfrid Exbrayat pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Lloyds Banking Group, Barclays