Bryan Garnier réaffirme sa recommandation 'achat' sur Moncler et sa valeur intrinsèque ('fair value') de 17 euros, estimant que le fabricant italien de vêtements d'hiver haut de gamme 'conserve sa dynamique'.

Si le deuxième trimestre est le plus petit de l'année en raison d'une activité fortement saisonnière, le broker estime que 'ceci n'empêche pas le groupe de réaliser une dynamique toujours robuste qui surpasse clairement ses pairs du luxe'.

Ainsi, Bryan Garnier anticipe une croissance de 13% hors effets de change au deuxième trimestre (contre une baisse de 1% en moyenne dans son échantillon luxe), tirée par les zones Amériques (+17%) et Asie-reste du monde (+27%).

Sur l'ensemble du premier semestre, l'intermédiaire financier s'attend à un tassement limité de la marge d'EBITDA ajusté, de 30 points de base à 23,7%, en ligne avec son hypothèse pour l'ensemble de l'exercice (-30 points de base à 33,8%).

'A l'approche des résultats du vote sur le Brexit, soulignons que le Royaume Uni ne représente que 4-5% des ventes de Moncler et que la grande majorité des coûts sont libellés en euros', indique en outre le broker.

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