"J'ai pu en discuter avec des banques d'affaires mais aujourd'hui je n'ai aucune envie de vendre Neoen, et je n'en ai discuté ni avec l'Etat ni avec Engie", déclare-t-il au quotidien Les Echos.

BFM Business a auparavant avancé mardi que Jacques Veyrat, qui gère la holding Impala, serait prêt à devenir actionnaire d'Engie en échange de sa participation majoritaire (50,1%) au capital de Neoen.

BFM ajoutait que si Engie rachetait Neoen, Jacques Veyrat pourrait se faire payer en actions Engie et en devenir actionnaire à hauteur de 3% "pour ensuite monter facilement jusqu'à 6%" et ainsi remplacer partiellement l'Etat français au tour de table du fournisseur d'énergie et de services associés.

(Jean-Michel Bélot, édité par Bertrand Boucey)

Valeurs citées dans l'article : ENGIE, Neoen