COMMUNIQUE DE PRESSE                                                                    

 NEXANS ENREGISTRE UNE SOLIDE PERFORMANCE AU 1ER SEMESTRE 2019

  • Chiffre d’affaires de 3,432 milliards d’euros, en croissance organique de +5,0%1
  • EBITDA de 195 millions d’euros2 pour le premier semestre 2019 (contre 153 millions au premier semestre 2018) ; soit une progression de +19% en données comparables
  • Progrès du plan « New Nexans » en ligne avec les attentes contribuant pour 48 millions d’euros à l’EBITDA avant l’effet de ciseau de prix et de coûts
  • Charges de réorganisation de -182 millions d’euros impactant le résultat net part du Groupe (-116 millions d’euros)
  • Dette nette de 709 millions d’euros au 30 juin 2019 ; soit en augmentation de 43 millions d’euros sur 12 mois en données comparables
  • Amélioration des perspectives d’EBITDA pour 2019 désormais attendues entre 360 et 390 millions d’euros hors IFRS 16

Paris La Défense, le 24 Juillet 2019 – Nexans publie ce jour ses comptes pour le premier semestre 2019, arrêtés par le Conseil d’Administration réuni sous la Présidence de Jean Mouton, le 23 juillet 2019.

Commentant ces résultats du premier semestre 2019, Christopher Guérin, Directeur Général, a déclaré :

« Nos résultats du premier semestre 2019 sont très encourageants. Ils démontrent que la mutation vers le « New Nexans » est en marche, elle porte ses fruits, elle est maitrisée.
La dynamique de redressement est homogène dans le Groupe, que ce soit en termes de zones géographiques ou en termes de business.
Notre plan de transformation livre après six mois intenses, des avancées significatives sur la réduction des coûts, notre programme Shift, et la croissance sélective. L’encouragement le plus grand réside pour moi dans la force de mobilisation et la discipline des équipes au cours de ce premier semestre.
Je suis confiant dans notre capacité à poursuivre et à accélérer notre mutation ».

Le chiffre d’affaires du Groupe pour le premier semestre 2019 s’élève à 3 432 millions d’euros, contre 3 282 millions d’euros au premier semestre 2018. À cours de métaux constants3, le chiffre d’affaires s’élève à 2 311 millions d’euros, soit une croissance organique de +5,0%. Hormis le segment de « Haute tension et Projets » (-6,0%) la croissance des activités « câbles » est de +7,0%.

L’EBITDA s’élève à 195 millions d’euros au premier semestre 2019 contre 153 millions en 2018. Les initiatives de transformation engagées ont eu un impact positif estimé à 48 millions d’euros, compensant un effet de ciseau de prix et de coûts (Price Cost Squeeze) estimé à -30 millions d’euros sur la période. L’effet de volumes est ressorti à +28 millions d’euros et les éléments non récurrents à -18 millions d’euros. Au total, l’EBITDA a progressé de 28 millions d’euros en base comparable hors IFRS 16.

La marge opérationnelle s’établit à 113 millions d’euros soit 4,9% des ventes à cours des métaux constants contre 3,7% au premier semestre 2018.

Le résultat opérationnel s’établit à -54 millions d’euros pour les six premiers mois de 2019 contre 91 millions d’euros au premier semestre 2018. Cette évolution traduit principalement la prise en charge pour 182 millions d’euros de charges de réorganisation reflétant essentiellement le provisionnement du plan de restructuration européen annoncé le 24 janvier 2019, dont les négociations ont été finalisées avec les instances sociales.

Le résultat financier s’établit à -31 millions d’euros au même niveau que celui au 30 juin 2018.

Le résultat net part du Groupe de la période s’élève à -116 millions d’euros, contre +40 millions d’euros au premier semestre 2018. Il correspond à un résultat avant impôt de -85 millions d’euros (contre +59 millions au premier semestre 2018). La charge fiscale s’élève à -27 millions d’euros (contre -23 millions d’euros au premier semestre 2018), l’essentiel des coûts de restructurations ne générant pas de gain fiscal immédiat.

La dette nette consolidée s’établit à 709 millions d’euros au 30 juin 2019, en augmentation de 43 millions d’euros sur 12 mois. Cette évolution correspond à un flux de trésorerie opérationnelle de 243 millions d’euros, à des dépenses d’investissement nettes des cessions pour 242 millions d’euros, des décaissements liés aux restructurations pour 77 millions d’euros ainsi qu’au paiement de dividendes, partiellement compensés par l’augmentation de capital réservée aux salariés pour un décaissement net de 3 millions d’euros. Le besoin en fonds de roulement opérationnel est en réduction de 65 millions d’euros, reflétant une meilleure position dans la courbe de trésorerie des projets haute-tension, malgré la consommation d’une partie des acomptes reçus en décembre 2018.

 


Chiffres clés du premier semestre 2019

(en millions d'euros) S1 2018 S1 2019
Chiffre d’affaires métaux courants 3 282 3 432
Chiffre d’affaires métaux constants 2 201 2 311
     
EBITDA 153 195
 

Marge opérationnelle
 

82
 

113
Taux de marge opérationnelle
(% des ventes à cours des métaux constants)
3,7% 4,9%
     
Résultat opérationnel 91 (54)
     
Résultat Financier (31) (31)
Impôts (23) (27)
     
Résultat net (part du Groupe) 40 (116)
Résultat net dilué par action (en euros) 0,90 (2,67)
     
Dette Nette 534 709
    

CHIFFRE D’AFFAIRES CONSOLIDE PAR METIER

(en millions d’euros) S1 2018 S1 2019  Croissance organique S1 2019 vs S1 2018 Croissance organique
T2 2019 vs T1 2019
A cours des métaux constants A cours des métaux constants  
Bâtiment et Territoires 846 910   +7,5% +0,2%
Haute tension et Projets 348 324   -6,0% +57,9%
Télécommunication et Données 249 270   +7,7% +5,5%
Industrie et Solutions 589 600   +2,2% +2,7%
Autres 169 205   +19,7% +2,3%
Total Groupe 2 201 2 311  +5,0% +8,2%

EBITDA par métier

(en millions d’euros) S1 2018 S1 2019 S1 2019 (hors IFRS 164)
Bâtiment et Territoires 52 81 81
Haute tension et Projets 36 37 33
Télécommunication et Données 22 27 27
Industrie et Solutions 45 57 56
Autres (2) (6) (15)
Total Groupe 153 195 181

Plan de transformation 2019-2021

Les différents volets du plan de transformation « New Nexans » sont tous en phase opérationnelle à fin juin 2019 :

  • Les procédures sociales liées au plan de réorganisation annoncé le 24 janvier 2019 sont achevées et le plan est en cours de mise en œuvre. Il permettra une forte simplification de l’organisation actuelle grâce à la réduction du nombre de niveaux hiérarchiques, la suppression des structures régionales et une optimisation des fonctions support.
  • Le volet SHIFT qui constitue une approche globale pour une transformation durable, a été implanté sur 12 unités considérées comme prioritaires. Il est déployé selon une méthodologie développée en interne par des équipes dédiées, managées de façon centralisée.
  • Un nouveau plan d’économies visant la réduction des frais fixes hors salaires a été lancé dans l’ensemble des unités.
  • Un plan d’amélioration de la performance industrielle est porté localement et supporté par des « task forces » dédiées intervenant sur site.

La dynamique est déjà visible et se traduit dans la progression d’EBITDA en chiffres. Les initiatives stratégiques lancées au cours du plan « New Nexans » ont permis une amélioration de la marge d’EBITDA de 48 millions d’euros au premier semestre 2019 :

  • Les actions de réduction de coûts (fixes et variables) ont contribué à la progression de l’EBITDA à hauteur de 22 millions d’euros.
  • L’impact net du programme de transformation SHIFT est estimé à 14 millions d’euros très concentré sur le segment « Bâtiment et Territoires ». Les initiatives de croissance et de création de valeur ont eu une contribution positive de 12 millions d’euros.

Enfin, l’effet de ciseau des coûts et des prix a atteint -30 millions d’euros sur la période et les éléments non récurrents -18 millions d’euros.

Au cours de la période, le Groupe a enregistré une série de succès dans ses différentes activités.

Poursuivant sa stratégie visant la croissance dans la chaîne de valeur, Nexans en partenariat avec la start-up Cosmo Tech, a lancé le logiciel Asset Electrical, une nouvelle solution pour la gestion d’actifs destinée aux opérateurs de réseaux de distribution (DSO). Cette solution permet de trouver l'équilibre entre les performances du réseau, les dépenses d’investissement (CAPEX) ou d’exploitation (OPEX) et les facteurs de risque (financiers, réglementaires, sécuritaires ou environnementaux). Ce puissant outil pour améliorer l’efficacité économique des actifs du réseau électrique permet des économies pouvant atteindre 10 à 15 % sur les stratégies à moyen et long terme des opérateurs.

Dans le secteur de la haute tension, le Groupe met en place une  task force  dédiée afin d’accélérer sa croissance dans le domaine des énergies renouvelables et plus particulièrement dans celui des fermes éoliennes offshore. Au cours du semestre, un projet de raccordement du parc éolien Kype Muir au réseau électrique écossais par un câble haute tension souterrain a été achevé.

Nexans fournira une solution complète de câbles turbines et accessoires pour les éoliennes de WindFloat Atlantic, premier parc éolien flottant en 66kV. Ce parc de 25 mégawatts (MW) situé au large des côtes portugaises, constitue une étape majeure pour confirmer la viabilité de la technologie FOW (Floating Offshore Wind), avec à la clé un potentiel inépuisable de ressources en Europe.

Dans le secteur Télécommunication et Données, alors que de nouvelles tendances telles que la 5G et l’Edge Computing sollicitent davantage les centres de données, Nexans simplifie la surveillance et l’évolutivité des réseaux avec le lancement de LANsense AIM et de nouvelles solutions haute densité en cuivre et en fibre.

Enfin, fort du succès enregistré en France et en Belgique, Nexans a étendu sa solution innovante « Connected Drums » à de nouveaux marchés internationaux. Avec la géolocalisation en temps réel des tourets, le système d’alerte et de visibilité sur les stocks, cette solution permet de réduire les coûts et apporte encore plus de valeur ajoutée aux opérateurs de réseaux de distribution (DSO) en optimisant l’ensemble des activités liées aux câbles dans le cadre de leurs projets.

Ces quelques exemples illustrent les solutions et services du Groupe pour anticiper et répondre aux enjeux de demande croissante en énergie et en données dans le monde ainsi que la mobilisation des équipes auprès des clients pour y parvenir.

Analyse détaillée par métier

Bâtiment et Territoires

L’EBITDA de l’activité s’établit au premier semestre à 81 millions, en progression de 51% par rapport aux 52 millions d’euros réalisés en 2018. Cette évolution comprend une progression organique de +7,5% du chiffre d’affaires, qui s’établit à
1 423 millions d’euros, et à 910 millions d’euros à cours des métaux constants pour le premier semestre 2019. Elle comprend aussi une amélioration de 260 bps du taux de d’EBITDA qui passe de 6,2% à 8,8% du chiffre d’affaires à cours des métaux constants, reflétant l’impact des initiatives d’améliorations entreprises à tout niveau.

L’amélioration de la performance concerne l’ensemble des domaines et des zones :

  • Les plans de réduction des coûts en Asie Pacifique, au Brésil et au Chili ont apporté leurs premiers résultats. Un pipeline important d’actions visant à améliorer la performance industrielle a été identifié, le deuxième semestre sera focalisé sur leur mise en œuvre.
  • Depuis fin 2018, les modules de transformation SHIFT ont majoritairement été déployés sur le périmètre « Bâtiment et Territoires » : au Brésil, Chili, Colombie, Pérou, Liban, en Turquie et en Amérique du nord. Leur impact sur l’EBITDA du premier semestre est évalué à 14 millions d’euros sur ce périmètre.
  • Le segment a également bénéficié d’un effet de volumes important ayant généré une vingtaine de millions d’euros d’EBITDA dont la grande majorité a concerné le périmètre des « générateurs de profit » (Profit Drivers) pour lesquels la croissance est relutive. L’effet volume en dehors de ce périmètre est surtout lié à des contrats antérieurs qui se sont poursuivis.

L’amélioration de la performance se traduit dans la progression du taux d’EBITDA tant des câbles d’énergie destinés aux bâtiments que des câbles et accessoires de distribution.

Haute tension et Projets

Le taux d’EBITDA de l’activité Haute tension et Projets est stable en 2019 par rapport à 2018 à 10,2% en données comparables (et à 11,5% au total y compris impact IFRS 16) en dépit d’un chiffre d’affaires en recul organique de -6,0% par rapport au premier semestre 2018. Le chiffre d’affaires du premier semestre 2019 pour cette activité s’établit à 350 millions d’euros à cours des métaux courants soit 324 millions d’euros à cours de métaux constants.

En haute tension sous-marine, l’exécution opérationnelle des projets est parfaitement en ligne avec le calendrier. Après un premier trimestre comprenant des séquences d’installation plus faibles qu’en 2018, la croissance organique séquentielle est de +65,8% au deuxième trimestre 2019. Pour l’ensemble du semestre la contraction organique est de -2,5%, correspondant principalement à l’impact du rythme d’installation plus faible en début d’année.

Dans le domaine de la haute tension terrestre, les initiatives visant à restaurer la profitabilité sur une base ajustée ont été poursuivies.

  • En Chine, la fermeture de l’atelier de haute tension de Yanggu sera effective au courant de l’été 2019, après avoir honoré les derniers contrats en carnet. En Europe, la fermeture du site de Hanovre a été annoncée et la procédure de consultation des instances représentatives du personnel est achevée.
  • Le plan de transformation de ce métier est focalisé sur l’amélioration de la qualité d’exécution des projets existants et sur l’amélioration du système de cotation des offres à venir.

Dans ce contexte, le segment de la haute tension terrestre a connu une décroissance organique de -15,9% au premier semestre (contre -21,1% au premier trimestre 2019) qui s’est néanmoins accompagné d’une amélioration de l’EBITDA.

Au total, l’EBITDA du segment « Haute tension et Projets » atteint 37 millions d’euros (33 millions d’euros hors impact IFRS16) au premier semestre 2019 contre 36 millions d’euros en 2018.

Télécommunication et Données

L’activité Télécommunication et Données présente une amélioration de son taux d’EBITDA de 110 bps en données comparables pour un chiffre d’affaires de 301 millions d’euros et de 270 millions d’euros à cours de métaux constants. La croissance organique de +7,7% par rapport au premier semestre 2018 contribue ainsi de façon relutive au niveau de profitabilité du Groupe.

  • Le segment bénéficie des effets des plans de réduction des couts ainsi que des actions d’amélioration de la performance industrielle.
  • Le projet SHIFT est actuellement en cours de déploiement en Amérique du Nord.
  • Les initiatives de croissance impactent positivement les résultats en particulier sur les segments Telecom Infrastructure et Sous-marins.

L’activité de câbles et systèmes LAN progresse de +1,9%. Les ventes de la zone Amérique du Nord montrent une amélioration de leur niveau de profitabilité.

Les ventes de l’activité des infrastructures Telecom sont en hausse de +11,4% par rapport au premier semestre 2018.

Le segment des télécommunications sous-marines affiche une croissance organique de +18,5%, correspondant à un regain d’activité et à l’entrée de nouveaux contrats.

L’EBITDA du segment « Télécommunication et Données » s’établit à 27 millions d’euros au premier semestre 2019 soit 9,8% du chiffre d’affaires à cours de métaux constants contre 22 millions d’euros et de 8,8% du chiffre d’affaires à cours de métaux constants 2018. Ce segment n’est pas impacté par l’IFRS 16.


  

Industrie et Solutions

L’activité Industrie et Solutions présente un taux d’amélioration de son EBITDA de 190 bps (sans impact significatif IFRS16). Le chiffre d’affaires est de 714 millions d’euros au titre du premier semestre 2019 et à 600 millions d’euros à cours de métaux constants, soit une croissance organique de +2,2%.

Les harnais automobiles présentent en 2019 une amélioration de performance par rapport à 2018, tant en ventes qu’en rentabilité. Les ventes progressent de +1,7% portées par le dynamisme du marché des poids lourds aux Etats-Unis qui compense la faiblesse du marché chinois. En Europe, les réorganisations industrielles effectuées en 2018 sont achevées avec pour objectif de viser l’excellence opérationnelle.

Dans le domaine des autres câbles industriels, le taux d’EBITDA progresse de 270 bps pour une croissance organique limitée à +2,5%.

L’EBITDA du segment « Industrie et Solutions » atteint ainsi 56 millions d’euros au premier semestre 2019 contre 45 millions d’euros au premier semestre 2018, soit respectivement 9,3% et 7,7% du chiffre d’affaires à cours de métaux constants.

  • Les plans de réduction des coûts aux USA, en Corée du Sud et sur le segment des harnais automobile, combinés aux actions d’amélioration de la performance industrielle ont eu un impact favorable.
  • Les modules de transformation « SHIFT » sont désormais déployés en Chine, Corée du Sud, et sur l’unité Amercable.
  • L’analyse globale par segment d’activité montre une progression particulièrement dynamique des câbles pour l’aéronautique, le secteur minier, le ferroviaire et l’activité harnais automobile aux USA. Certains secteurs montrent une légère décroissance des volumes, notamment les activités d’automatismes industriels en Allemagne.

Autres

Les ventes des autres activités, essentiellement des ventes externes de fils de cuivre affichent un chiffre d’affaires de 205 millions d’euros, à cours des métaux constants, en croissance organique de +19,7% par rapport au premier semestre 2018. La demande demeure soutenue au Canada et en France.

L’EBITDA des activités autres s’élève à -6 millions d’euros au premier semestre 2019 contre -2 millions d’euros à la même période de 2018.

Il tient compte des coûts de structure centraux non affectés aux métiers et notamment de l’impact du retraitement lié à la nouvelle norme IFRS 16 sur le traitement des locations, associé des actifs non dédiés aux activités. Le total du retraitement IFRS 16 s’établit au 30 juin 2019 à 15 millions d’euros, 10 millions correspondant principalement à des immeubles sont reportés sur le segment « Autres » de l’information sectorielle.

Perspectives pour 2019

A la lumière des résultats de ce premier semestre, la société entrevoit les perspectives suivantes pour l’ensemble de l’année :

L’EBITDA devrait se situer entre 360 et 390 millions d’euros hors IFRS16

La dette nette consolidée de clôture, impactée par le décaissement prévisible de réorganisation, devrait ressortir à environ 600 millions d’euros incluant l’effet IFRS 16 pour environ 130 millions d’euros.

Compte tenu du caractère non déductible d’une part significative de la provision de restructuration (notamment en France et en Allemagne où des actifs d’impôts différés existent déjà), le résultat net pour 2019 pourrait avoisiner -110 millions d’euros.

Une conférence téléphonique (en anglais) est organisée ce jour à 10h (heure de Paris).
Pour y participer, merci de vous enregistrer via le lien ci-dessous :

https://cossprereg.btci.com/prereg/key.process?key=PX6F48AWM

Calendrier financier

7 novembre 2019 :  Information financière du troisième trimestre 2019

Note : Les écarts éventuels sont liés aux arrondis.
  

Les informations de nature prospective contenues dans ce communiqué sont fonction de risques et incertitudes, connus ou inconnus à ce jour, qui peuvent avoir un impact significatif sur les performances futures de la Société.
Le lecteur est également invité à consulter le site Internet du Groupe sur lequel sont disponibles en particulier la présentation aux analystes des résultats annuels, les comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2018 et le document de référence 2018 où figurent les facteurs de risque du Groupe, notamment confirmation des risques liés aux enquêtes des autorités de la concurrence lancées en 2009, ainsi que le chapitre 4 du rapport financier semestriel 2019 « facteurs de risque et principales incertitudes ».

Les éléments majeurs d’incertitudes pour le second semestre 2019 comprennent notamment :

  • L’incertitude relative à l’environnement économique et politique aux États-Unis et en Europe avec notamment des évolutions significatives possibles dans la politique commerciale américaine d’une part, et les conséquences potentielles du Brexit d’autre part, qui pourraient conduire à une croissance plus faible ;
  • L’impact des politiques commerciales protectionnistes (déclenchées notamment par le gouvernement américain actuel), ainsi que les pressions croissantes pour augmenter les exigences de contenu local ;
  • L’instabilité géopolitique notamment dans certains pays ou zones géographiques comme le Qatar, la Libye, le Liban, et le golfe arabo-persique ;
  • La situation politique et économique incertaine au Brésil et en Turquie, qui affecte le marché de la construction et les grands projets d’infrastructure, ainsi que la volatilité des taux de change et le risque accru de défaillance des clients ;
  • Une baisse marquée des cours des métaux non-ferreux se traduisant par une perte de valeur du Stock Outil, celle-ci n’ayant pas d’impact cash ni sur la marge opérationnelle, mais ayant un impact en résultat net ;
  • L’impact des pressions inflationnistes croissantes, notamment sur les coûts des matières premières (résines, acier, etc.) et les coûts de main d’œuvre qui peuvent affecter la compétitivité en fonction de la capacité à les répercuter sur les prix de vente aux clients ;
  • La pérennité des taux de croissance élevés et/ou la pénétration du marché dans les segments liés aux data centers, au développement des énergies renouvelables (parcs éoliens et solaires, interconnexions etc.) et aux transports ;
  • La rapidité et l’ampleur de la reprise sur le marché du LAN aux États-Unis et la capacité du Groupe à saisir les opportunités liées au développement très rapide des centres de données ;
  • Le risque que la croissance soutenue attendue sur les marchés de l’automobile en Amérique du Nord et sur le marché des véhicules électriques dans le monde ne se concrétise pas ;
  • En raison des fluctuations des prix du pétrole et du gaz, les clients Oil & Gas sont amenés à revoir dans des délais courts leurs programmes d’investissements dans l’exploration et la production de l’Oil & Gas. Cette évolution crée une importante incertitude quant à la mise en œuvre de programmes d’investissements et en conséquence sur la confirmation de commandes de câbles pour cette industrie ;
  • Le risque de retard ou d’accélération de l’attribution ou de l’entrée en vigueur des contrats de câbles sous-marins et terrestres, ce qui peut soit perturber la planification ou entraîner des capacités inutilisées, soit engendrer une utilisation exceptionnelle des capacités au cours d’une année donnée ;
  • Les risques inhérents à l’exécution de grands projets haute tension sous-marins clé en main, risques accrus dans les années à venir par la concentration de cette activité sur un nombre réduit de projets de grande ampleur (Nordlink, NSL, East Anglia One, Hornsea 2, Dolwin 6, qui sera la première liaison haute tension à courant continu à isolant extrudé réalisée par le Groupe), au taux d’utilisation élevé des capacités des usines concernées, et à la localisation géographique des projets mais également à la situation politique et sociaux économiques des pays concernés (Venezuela, Philippines) ;
  • Les risques inhérents associés aux grands projets d’investissement, en particulier le risque de retard dans leur réalisation. Ces risques concernent notamment la construction d’un nouveau navire de pose de câbles sous-marins et l’extension de l’usine de Goose Creek en Amérique du Nord pour augmenter la production de câbles haute tension sous-marins, deux projets qui seront déterminants pour l’atteinte des objectifs 2021 ;
  • Le plan de transformation et de réorganisation annoncé dans l’activité Haute Tension terrestre et moyenne tension sous-marine pourrait engendrer des retards de mise en place, de livraison client, et/ou générer des coûts complémentaires qui remettraient en cause un rapide retour à l’équilibre.

Sans impacts opérationnels majeurs, les 2 incertitudes suivantes pourront avoir un impact sur les états financiers:

  • les changements soudains des prix des métaux qui peuvent avoir une incidence sur les habitudes d’achat des clients à court terme;
  • l’impact des variations de change sur la conversion des états financiers des filiales du Groupe situées en dehors de la zone euro.


 

A propos de Nexans

Nexans donne de l’énergie à la vie au travers d’une large gamme de solutions de câblage, de connectivité avancées et de services novateurs. Depuis plus d’un siècle, Nexans met à la disposition de ses clients des infrastructures de câblage de pointe pour la transmission d’énergie et de données. Aujourd’hui, au-delà des câbles, le Groupe conseille, conçoit des solutions et des services qui optimisent les performances de ses clients et l'efficacité de leurs projets dans quatre principaux domaines d’activités : Bâtiment et Territoires (notamment les équipements, l’e-mobilité), Haute Tension & Grands Projets (notamment les fermes éoliennes offshore, les interconnexions sous-marines, la haute tension terrestre), Télécommunication & Données (notamment la transmission de données, les réseaux de télécommunications, les centres de données géants (hyperscale), les solutions de câblage LAN) et Industrie & Solutions (notamment les énergies renouvelables, les transports, le secteur pétrolier et gazier, l’automatisation).
La Responsabilité Sociale d’Entreprise est au cœur des principes appliqués par Nexans dans ses activités et ses pratiques internes. En 2013, Nexans est devenu le premier acteur de l'industrie du câble à créer une Fondation d'entreprise destinée à soutenir des actions en faveur de l'accès à l'énergie pour les populations défavorisées à travers le monde. L’engagement du Groupe en faveur du développement de câbles éthiques, durables et de haute qualité sous-tend sa participation active à diverses associations majeures du secteur telles que Europacable, la NEMA, l’ICF, ou le CIGRÉ pour n’en mentionner que quelques-unes.
Fort d’une présence industrielle dans 34 pays et d’activités commerciales dans le monde entier, Nexans emploie près de 27 000 personnes. En 2018, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 6,5 milliards d’euros.
Nexans est coté sur le marché Euronext Paris, compartiment A.

Pour plus d’informations, consultez le site www.nexans.com  

Pour tout renseignement complémentaire :

Communication Financière Communication
Michel Gédéon
Tel : +33 (0)1 78 15 05 41
e-mail : michel.gedeon@nexans.com

 
Catherine Garipoglu
Tel : + 33 (0)1 78 15 04 78
e-mail : catherine.garipoglu@nexans.com

 
Marième Diop
Tel : + 33 (0)1 78 15 05 40
e-mail : marieme.diop@nexans.com
Angéline Afanoukoe
Tel : + 33 (0)1 78 15 04 67
e-mail : angeline.afanoukoe@nexans.com

 

Annexes

  1. Compte de résultat consolidé
  2. Etat du Résultat Global consolidé
  3. Etat de la Situation Financière consolidée
  4. Tableau des flux de trésorerie consolidés
  5. Informations par segment opérationnel
  6. Informations pour les principaux pays


 

Les procédures d’examen limité sur les comptes consolidés ont été effectuées, le rapport des commissaires aux comptes est en cours d’émission.

Compte de résultat consolidé

(en millions d'euros) 1er semestre 2019(1) 1er semestre 2018
CHIFFRE D'AFFAIRES NET 3 432 3 282
Effet du cours des métaux(2) (1 122) (1 081)
CHIFFRE D'AFFAIRES A PRIX DES MÉTAUX CONSTANTS(2) 2 311 2 201
Coût des ventes (3 040) (2 912)
Coût des ventes à prix métal constant(2) (1 918) (1 832)
MARGE BRUTE 392 370
Charges administratives et commerciales (231) (236)
Frais de R&D (48) (52)
MARGE OPÉRATIONNELLE(2) 113 82
Effet Stock Outil(3) 2 9
Autres produits et charges opérationnels(4) 13 21
Coûts de réorganisation (182) (20)
Quote-part dans les résultats nets des entreprises associées 0 0
RÉSULTAT OPÉRATIONNEL (54) 91
Coût de l'endettement financier (net) (19) (22)
Autres produits et charges financiers (12) (9)
RÉSULTAT AVANT IMPÔTS (85) 59
Impôts sur les bénéfices (27) (23)
RÉSULTAT NET DES ACTIVITÉS POURSUIVIES (113) 36
Résultat net des activités abandonnées - -
RÉSULTAT NET CONSOLIDÉ (113) 36
  • dont part du Groupe
(116) 40
  • dont part des intérêts ne donnant pas le contrôle
3 (3)
RÉSULTAT NET PART DU GROUPE PAR ACTION (en euros)    
  • Résultat de base par action
(2,67) 0,92
  • Résultat dilué par action
(2,67) 0,90
  1. Les comptes au 30 juin 2019 sont établis en appliquant la norme IFRS 16 (utilisation de la méthode rétrospective sans retraitement de l’exercice précédent).
  2. Indicateurs de gestion de l'activité retenus pour mesurer la performance opérationnelle du Groupe.
  3. Effet lié à la revalorisation du Stock Outil à son coût unitaire moyen pondéré.
  4. Sur le premier semestre 2019, les autres produits et charges opérationnels incluent notamment un produit net de cession de 10 millions d’euros. En 2018, ils incluaient un produit net de cession de 44 millions d’euros, ainsi que -18 millions d’euros de dépréciation d’actifs nets.


 

Les procédures d’examen limité sur les comptes consolidés ont été effectuées, le rapport des commissaires aux comptes est en cours d’émission.

État de la situation financière consolidée

(en millions d'euros) 30 juin 2019 31 décembre 2018
Goodwill 241 243
Immobilisations incorporelles 129 131
Immobilisations corporelles(1) 1 326 1 135
Participations dans les entreprises associées 38 39
Impôts différés actifs 162 162
Autres actifs non courants 79 60
ACTIFS NON COURANTS 1 976 1 770
Stocks et en-cours 1 238 1 110
Actifs sur contrats 115 95
Clients et comptes rattachés 1 140 1 021
Instruments dérivés courants 26 38
Autres actifs courants 216 184
Trésorerie et équivalents de trésorerie 464 901
Actifs et groupes d'actifs détenus en vue de la vente 0 0
ACTIFS COURANTS 3 200 3 349
TOTAL DES ACTIFS 5 176 5 119
     
Capital, primes, résultat et réserves 1 201 1 339
Autres composantes des capitaux propres 13 (14)
Capitaux propres - part du Groupe 1 214 1 325
Intérêts ne donnant pas le contrôle 39 42
CAPITAUX PROPRES 1 254 1 367
Provisions pour retraite et engagements assimilés 363 363
Provisions (non courant) 94 84
Dettes financières (non courant)(2) 928 778
Instruments dérivés (non courant) 6 11
Impôts différés passifs 116 109
PASSIFS NON COURANTS 1 507 1 345
Provisions (courant) 191 63
Dettes financières (courant)(2) 246 453
Passifs sur contrats 221 252
Instruments dérivés (courant) 33 51
Fournisseurs et comptes rattachés 1 396 1 290
Autres passifs courants 329 298
Dettes liées aux groupes d'actifs détenus en vue de la vente 0 0
PASSIFS COURANTS 2 415 2 407
TOTAL DES PASSIFS ET CAPITAUX PROPRES 5 176 5 119
  1. Au 30 juin 2019, les immobilisations corporelles comprennent 121 millions d’euros de droits d’utilisation liés à l’application de la norme IFRS 16 « Contrats de location » à compter du 1er janvier 2019.
  2. Au 30 juin 2019, les dettes financières comprennent 123 millions d’euros de dettes sur loyers futurs liées à l’application de la norme IFRS 16 « Contrats de location » à compter du 1er janvier 2019.

Les procédures d’examen limité sur les comptes consolidés ont été effectuées, le rapport des commissaires aux comptes est en cours d’émission.

Tableau des flux de trésorerie consolidés

 (en millions d'euros) 1er semestre 2019(1) 1er semestre 2018
Résultat net (113) 36
Amortissements / dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles (dont goodwill) 82 89
Coût de l’endettement financier (brut) 21 24
Effet Stock Outil(2) (2) (9)
Charge / (produit) d'impôts exigible et différés 28 23
Plus ou moins-value de cessions d’actifs (10) (44)
Autres retraitements(3) 128 (52)
CAPACITÉ D'AUTOFINANCEMENT AVANT COUT DE L'ENDETTEMENT FINANCIER BRUT ET IMPÔTS(4) 136 67
Diminution (augmentation) du besoin en fonds de roulement(5) (203) (112)
Impôts versés (21) (24)
Dépréciations d'actifs courants et provisions sur affaires 3 (1)
VARIATION NETTE DES ACTIFS ET PASSIFS COURANTS (220) (137)
FLUX DE TRÉSORERIE PROVENANT DE L'EXPLOITATION (85) (70)
Encaissements sur cessions d'immobilisations corporelles et incorporelles 12 47
Décaissements sur investissements corporels et incorporels (133) (82)
Diminution (augmentation) des prêts accordés et des actifs financiers court terme 0 (6)
Décaissements sur acquisitions de titres consolidés, nets de la trésorerie acquise - (12)
Encaissements sur cessions de titres consolidés, nets de la trésorerie cédée 0 -
FLUX DE TRÉSORERIE D'INVESTISSEMENT (122) (53)
VARIATION NETTE DE LA TRÉSORERIE APRÈS INVESTISSEMENT (207) (123)
Émissions (remboursements) d'emprunts (199) (99)
  • Dont le remboursement de l’OCEANE 2016-2019
(269) -
  • Dont le remboursement de l’emprunt obligataire 2012-2018
- (250)
Augmentations (réductions) de capital en espèces(6) - (23)
Intérêts financiers versés (29) (39)
Transactions entre actionnaires sans perte ou prise de contrôle (4) -
Dividendes payés (15) (32)
FLUX DE TRÉSORERIE DE FINANCEMENT (246) (193)
Incidence des variations des taux de change 3 (2)
AUGMENTATION (DIMINUTION) NETTE DE LA TRÉSORERIE ET ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE (451) (318)
TRÉSORERIE ET ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE AU DÉBUT DE LA PÉRIODE 886 794
TRÉSORERIE ET ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE À LA FIN DE LA PÉRIODE 436 475
  • Dont Trésorerie et équivalents de trésorerie – Actif
464 483
  • Dont Concours bancaires courants – Passif
(28) (8)
  1. Les comptes au 30 juin 2019 sont établis en appliquant la norme IFRS 16 ( méthode rétrospective utilisée sans retraitement de l’exercice précédent).
  2. Effet lié à la revalorisation du Stock Outil à son coût unitaire moyen pondéré, sans impact sur la trésorerie.
  3. Pour le premier semestre 2019, on relève principalement la neutralisation de la variation nette des provisions opérationnelles (dont les provisions pour retraites, restructuration) pour 116 millions d’euros, l’annulation de la variation liée à la juste valeur des dérivés métaux et change pour 2 millions d’euros ainsi que l’annulation de la charge relative aux paiements en actions pour 4 millions d’euros. Pour le premier semestre 2018, on relevait principalement la neutralisation de la variation nette des provisions opérationnelles (dont les provisions pour retraites, restructuration) pour -39 millions d’euros, l’annulation de la charge liée à la juste valeur des dérivés métaux et change pour -24 millions d’euros, ainsi que l’annulation de la charge relative aux paiements en actions pour 7 millions d’euros.
  4. Le Groupe utilise par ailleurs le concept de « Capacité d’autofinancement opérationnelle » qui s'obtient pour l’essentiel après réintégration des décaissements liés aux restructurations (de 44 millions d’euros au 30 juin 2019 et de 28 millions d’euros au 30 juin 2018), et déduction du coût de l’endettement brut et de l’impôt courant payé sur la période.
  5. Le Groupe avait cédé des créances fiscales pour 20 millions d’euros au cours du premier semestre 2018. Le transfert de la quasi-totalité des risques et avantages ayant été démontré, ces créances sont décomptabilisées de l’état de la situation financière consolidée par analogie aux principes posés par IAS 39 sur la décomptabilisation des actifs financiers.
  6. Au cours du premier semestre 2018, le Groupe avait racheté 784 413 actions propres pour un décaissement de 24 millions d’euros.
     

Les procédures d’examen limité sur les comptes consolidés ont été effectuées, le rapport des commissaires aux comptes est en cours d’émission.

Informations par segment opérationnel

1er semestre 2019
(en millions d'euros)
Bâtiment & Territoires Haute Tension & Projets Télécommunicat° & Données Industrie & Solutions Autres Total Groupe
Chiffre d'affaires net à prix métal courant 1 423 350 301 714 644 3 432
Chiffre d'affaires net à prix des métaux constants 910 324 270 600 205 2 311
EBITDA 81 37 27 57 (6) 195
Dotation aux amortissements (24) (19) (6) (19) (15) (82)
Marge opérationnelle 57 18 21 38 (21) 113
Dotation aux dépréciations / reprise de pertes de valeur sur actifs immobilisés (y.c. goodwill) - - - - - -


1er semestre 2018
(en millions d'euros)
Bâtiment & Territoires Haute Tension & Projets Télécommunicat° & Données Industrie & Solutions Autres Total Groupe
Chiffre d'affaires net à prix métal courant 1 374 379 283 705 541 3 282
Chiffre d'affaires net à prix des métaux constants 846 348 249 589 169 2 201
Chiffre d'affaires net à prix des métaux constants et cours de change 2019 847 345 251 592 172 2 206
EBITDA 52 36 22 45 (2) 153
Dotation aux amortissements (24) (20) (5) (17) (5) (71)
Marge opérationnelle 28 16 16 28 (7) 82
Dotation aux dépréciations / reprise de pertes de valeur sur actifs immobilisés (y.c. goodwill) - (18) - - - (18)

Le Comité Exécutif analyse également la performance du Groupe sous un angle géographique.

Informations pour les pays principaux

1er semestre 2019 (en millions d’euros) France Allemagne Norvège Autres(2) Total Groupe
Chiffre d'affaires net à prix métal courant(1) 557 412 352 2 111 3 432
Chiffre d'affaires net à prix des métaux constants(1) 346 371 322 1 271 2 311
  1. Par zone d'implantation des filiales du Groupe.
  2. Pays ne représentant pas individuellement plus de 10 % du chiffre d’affaires à prix métal constant du Groupe.
1er semestre 2018 (en millions d’euros) France Allemagne Norvège Autres(2) Total Groupe
Chiffre d'affaires net à prix métal courant(1) 553 427 354 1 947 3 282
Chiffre d'affaires net à prix des métaux constants(1) 337 381 323 1 160 2 201
Chiffre d'affaires net à prix des métaux constants
et cours de change 2019(1)
337 381 318 1 169 2 206
  1. Par zone d'implantation des filiales du Groupe.
  2. Pays ne représentant pas individuellement plus de 10 % du chiffre d’affaires à prix métal constant du Groupe.


 

1 Le chiffre d’affaires du premier semestre 2019 à données comparables correspond au chiffre d’affaires à cours des métaux non ferreux constants, retraité des effets de change et de périmètre. Sur le chiffre d’affaires à cours des métaux non ferreux constants, les effets de change s’élèvent à +5 millions d’euros, et les effets de périmètre à -4 millions d’euros.

2 L’EBITDA consolidé s’entend comme la somme de la marge opérationnelle et des dotations aux amortissements sur immobilisations. L’impact de la première mise en œuvre de la norme IFRS 16 au 30 juin 2019 est de +15 millions d’euros sur l’EBITDA consolidé et +132 millions d’euros sur la dette nette consolidée.
3 Pour neutraliser l’effet des variations des cours des métaux non ferreux et mesurer ainsi l’évolution effective de son activité, Nexans établit également son chiffre d’affaires à cours du cuivre et de l’aluminium constants.
4 Les impacts liés à nouvelle norme IFRS 16 sur le traitement des locations s’établissent au 30 Juin à 15 millions d’euros. L’impact associé à des actifs non dédiés à un métier spécifique (essentiellement des immeubles) sont reportés sur le segment « Autre » de l’information sectorielle.

 

Pièce jointe

  • Communiqué de presse H1 2019_FRF_Final