Pagegroup décroche de plus de 14% à la Bourse de Londres en séance, à 433,90 GBp, après avoir annoncé que ses résultats seront dans le bas de la fourchette attendue en 2019. La principale cause est l'attentisme lié au Brexit, explique le management, mais la société éprouve aussi des difficultés en France (où elle est connue sous le nom de Michael Page) et en Chine. Jefferies souligne que les résultats du second trimestre sont inférieurs de 1% au consensus mais que cela entraînera une révision en baisse de 3 à 4% des anticipations de bénéfice par action. L'analyste, qui reste acheteur, s'attend toutefois à un second semestre incertain.